Je n'en veux pas à ma femme d'avoir des amants, puisque nous nous sommes mis d'accord là dessus.
Et puis, j'ai moi même plusieurs maîtresses dont j'use et j'abuse.
Mais là où je me fiche en rogne c'est lorsqu'elle en amène un à la maison qui la tringle encore alors que je rentre.
J'ai fichu le mec à la porte, encore à poil : tant pis pour lui. Qu'il se démerde !
Et il me vient l'envie d'en profiter pour coller une bonne raclée à ma salop e de femme.
Elle passe un sale quart d'heure et le pire c'est que malgré les apparences elle aime ça.
J'attache la salope encore allongée entièrement nue dans notre lit et je l'entraine dans le séjour.
Ma pétasse de femme peut gueuler autant qu'elle veut, je m'en fout complètement.
La conne est bien seule : son amant s'est débiné sans demander son reste.
C'est trop bon de te voir déguster un max et pleurnicher que tu ne le feras plus, que tu est désolées, que tu es prêtes à tout pour satisfaire ma queue...
Mais moi je m'en fout.
Ce qui m'intéresse, c'est te frapper et te voir souffrir à en devenir une moins que rien.
Quel pied je prends !
Tu sais, salope, je te prends en photo pendant que tu dérouilles !
Je montrerai ton calvaire à nos amis et à ta famille, histoire de bien montrer la petite merde que tu es lorsque je te soumets.
Et comme je suis particulièrement motivé, excité serait le terme le plus juste, je vais faire durer le sévice trés trés longtemps.
Tu mettras du temps à t'en remettre...
Mais comme je l'ai déjà dit : en plus tu aimes ça, salope, et tu jouis malgrés toi sous les coups.
Mais bien sûr que je fais exprès de frapper tes seins et ta chatte, pour décupler la souffrance par tes attributs de femelle.
Je remercie ton corniaud d'amant, abrutie.
Grâce à lui je me paie une super séance comme j'en voulais depuis longtemps.
C'est bon de ne pas avoir à demander.
C'est mieux de profiter comme on veut d'une bonne pétasse...
!
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