Elles sont deux, des filles de la ville, venues d'on ne sait où.

Elles ont achetés une vieille ferme à l'entrée du village qu'elles veulent retaper pour créer un atelier d'artisanat et élever quelques bêtes.

Et elles veulent faire venir d'autres jeunes de la ville, on ne sait pas trop pourquoi.

Mais nous, les habitants du village, on ne voit pas ça d'un bon oeil. 

On est quelques uns à vouloir passer à l'action pour leur donner une bonne leçon.

D'autant qu'elle ne sont pas dégueues, les poulettes.

On attrape la plus jeune au détour du chemin. 

Faut pas longtemps pour la maîtriser et arracher sa chemise.

Elle n'a pas de soutien gorge la salope. 

On l'attache comme on le fait avec notre bétail et on l'entraîne dans un coin tranquille...

 

 

 

 

 

Je profite de l'hésitation des autres mecs pour sortir ma bite et la fourrer dans le gosier de la pétasse.

Elle se rebelle. Tant mieux, j'aime ça.

Elle finit par avaler ma queue, contrainte et forcée.

 

 

 

 

 

 

Puis c'est un copain qui lui cogne son engin au fond du gosier...

Pendant qu'un autre baisse le froc de la suceuse, découvrant un joli petit cul aux fesses bien fermes.

Un petit cul très prometteur...  

La minette hocquette, en perd le souffle.

Nous, on s'en fout, on la pilonne dans ses orifices intimes. 

A un moment, on l'attache pour mieux l'immobiliser, parce qu'elle gigotte comme pas possible avec l'idée de se barrer.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On prépare entre les jambes de la fille tremblante le passage de nos bites en écartant les lèvres de son vagin asséché par la peur.

 

 

 

 

 

Et puis on fourre le ventre de la fille à grands coups de bite dans son orifice vaginal. 

A partir de ce moment, tout le monde y passe. 

Chacun son tour on la ramone par la chatte ou par le cul en la positionnant comme on préfère. 

Elle devient de plus en plus docile, la minette apeurée.

Elle sait qu'elle va devoir tous nous satisfaire, de grès ou de force. 

Pour que ca se passe le moins mal possible pour elle, elle ferme ne résiste plus...

Et accepte de se faire baiser comme la chienne qu'elle est.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A un moment on voit un mec approcher...

Sans doute l'étalon qui la monte elle et sa copine.

Le mec, un baba cool sans doute, se laisse attacher sans tellement  protester et assiste sans oser réagir, impuissant, à la domination sauvage de la fille.

 

 

 

 

 

 

 

 

Il y a ce petit trou du cul entre les fesses de la salope qui me donne trop envie.

Comme je ne veux rien me refuser, je force brutalement le passage fermé de l'anus et j'encule la fille qui gueule de honte et de douleur.

 

 

 

 

C'est trop bon de lui bourrer l'anus qui se dilate.

Et encore mieux lorsque je sens à travers la mince paroi anale la bite d'un pote labourer le vagin de la pétasse.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bientôt, la jeune fille n'a pas le choix, elle doit contenter sexuellement tous les mecs qui la veulent.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au bout dun moment de baise sauvage plus ou moins long, on éjacule tous dans la fille, dans ses orifices de femelle, dans sa bouche. 

Elle doit tout avaler par sa bouche, par son vagin, par son anus.

Elle a plein de sperme dans le gosier, dans le ventre...

 

 

 

 

 

 

 

 

Satisfait par cette première étape, on entraîne la fille meurtrie devant la maison de la ferme. 

Là on oblige sa copine à la fister...

En menaçant la copine qu'on vient de dénicher de s'occuper méchamment de ses intimités de femelle si elle ne s'exécute pas.

 

 

 

 

Evidement on ne tient pas parole.

On baisse le short et la culotte de la salope.

Cette fois encore je suis le premier à la niquer pendant qu'elle fiste l'anus de son amie. 

Le calvaire sexuel des deux filles n'est pas près de se terminer.

Elles sont trop bonnes !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On n'est plus certain de vouloir qu'elles se cassent d'ici, les deux jeunes garces.

Ca nous convient de pouvoir revenir régulièrement nous occuper d'elle. 

Faudrait pas qu'elle abandonnent les lieux, leur projet, et qu'elles se débinent.

On a encore beaucoup de sexe sauvage à exiger d'elles