On vient de surprendre cette petite garce en train de voler dans les rayons de notre magasin.

Nous, nous avons l'habitude de ne pas faire appel à la police. Nous préférons toujours régler nos comptes nous même.

Cette voleuse, nous avons vite fait de la foutre à poil en retirant brutalement ses vêtements à grands coups de ciseaux.

La jeune femme peut hurler supplier, chialer autant qu'elle veut, ça nous fait ni chaud ni froid.

Et ce ne sont pas les clients qui vont l'aider !

Trop contents qu'ils sont de pouvoir se rincer l'oeil à bon compte, et peut être même plus.

 

 

 

 

 

 

 

Ma vendeuse et moi, Nous attachons solidement la pétasse pour pouvoir plus tranquillement nous occuper d'elle...

Elle va déguster, la pouffiasse !

 

 

 

 

 

 

Elle a tellement la trouille la fille prise au piège qu'elle se pisse dessus.

Nous, ça ne nous gêne pas, et ça fait rire les clients autour...

Clara, ma vendeuse, écarte bien les fesses de la pétasse.

On va l'enculer cette voleuse.

A grands coups de bâton dans son cul.

On lui dilate à sec l'anus...

 

 

 

 

 

 

A moi de la baiser maintenant.

Tu peux serrer ton trou de femelle autant que tu veux, salope. Je te bourre la chatte quand même...

Et j'y vais bien profond dans ton ventre secoué de spasmes de peur, de douleur ou de plaisir...

 

 

 

 

 

 

Je lui fourre cette serpillière dans le gosier pour qu'elle arrête de gueuler comme une truie qu'on mène à l'abattoir.

Quelle conne !

Elle devrait se laisser faire !

 

 

 

 

On va tous te baiser comme une pute.

Et de toutes les manières !

Les plus humiliantes !

Pour que tu n'ai plus jamais envie de recommencer à voler les honnêtes gens.

Plus jamais ici en tout cas !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voilà, salope, tu as subi la punition que tu mérites. Tu as en quelque sorte payé ta dette envers nous.

On va te foutre à la porte avec tes vêtements déchirés, souillée en dedans et sur ton corps pas mal fichu.

Du sperme, nous en avons tous craché dans tes orifices de pétasses.

On s'en fou que tu puisses avoir un gosse à cause de nous.

Casse-toi ! Qu'on ne te revoit plus par ici ! Sinon gare à toi !