Samedi 27 septembre 6 27 /09 /Sep 18:30

 

 

Je suis pliée en deux sur la table.

 
Mes genoux me lancent un peu : mes chevilles, attachées aux pieds de la table, mes tirent les jambes en avant, et tendent d’autant plus mes fesses en arrière.
 
Mes bras, tendus devant moi, sont liés par les poignets, eux-mêmes attachés ailleurs. Je ne peux pas bouger.
 
 Je ne peux que rester présentée ainsi, passive. Réceptacle. Soumise.
 
 
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Ma tête est, elle, tirée en arrière.
 
Mon collier est attaché à une chaîne qui s’achève par un crochet en métal, logé dans mon anus. La chaîne, tendue au maximum, me force à garder la tête relevée si je veux respirer.
 
Parfois je fatigue, je me relâche. Je m’étrangle vite, et arque de nouveau le cou.
 
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Mes fesses sont brûlantes. Mon dos aussi.
 
 Mon maître vient de me fouetter au martinet.
 
J’aime l’odeur du cuir, j’aime le son de ces lanières qui me claquent la peau, et j’aime cette sensation brutale, cette douleur qui irradie autour des coups. J’aime qu’il me fouette.
 
Cela me rappelle que je lui sers à ce qu’il veut, pas seulement le plaisir.
 
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Ma douleur est à son service aussi.
  

Ce matin, il m’a fouettée de manière à ce que je m’en souvienne toute la journée. Peut-être même un peu plus, à vrai dire.
 
 
 
Je sens ma peau qui chauffe.
 
 Il est allé me fouetter jusque sur les cuisses, les mollets.
 
Sous les coups violents, mes jambes ont parfois cédé, et je me retrouvais retenue seulement par les poignets.
 
 
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Je peinais pour reprendre mon équilibre, les chaussures à talon haut se dérobant parfois sous moi, mais toujours je revenais.
 
Je veux que rien n’empêche mon maître de me soumettre à sa volonté.
 
 
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C’est la quatrième fois cette semaine que la journée commence ainsi. Nous nous réveillons une heure plus tôt que d’habitude, afin qu’il ait le temps de m’utiliser avant que je parte au travail.
 
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Les deux premiers jours, il ne s’était occupé que de mes seins. Pincés, frappés, malaxés, puis pressés ensemble pour qu’il s’en serve pour se faire jouir, sur ma gorge.

 
Ensuite, juste le droit d’étaler son sperme sur ma peau avant de mettre mes vêtements, comme par hasard décolletés, et de partir travailler.
 
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Hier et aujourd’hui, c’était, littéralement, pour mon cul.
 
C’était lui qui avait subi les plus durs coups de fouet, c’était lui qui était tiraillé par ce crochet logé dans mon anus.
 
 Aujourd’hui, nouveauté, ledit croché était terminé d’une boule.
 
 
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Je le sentais donc encore plus bouger lorsque mon cou se relâchait et tirait de plus belle sur la chaîne.
 
La veille, il avait terminé en me garnissant d’un rosebud terminé par une queue en crin de cheval, qui s’arrêtait quelques centimètres plus haut que l’ourlet de ma jupe. J’avais passé la journée sans avoir le droit de l’enlever.
 
 
 
Je ne crois pas avoir eu une seule pensée cohérente après trois heures de l’après-midi.
 
 
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— Ouvre la bouche.

J’ouvris grand.
 
 Il glissa entre mes dents la poignée du fouet, en travers, pour que je le tienne pendant qu’il ne s’en servait pas. Je le serrai délicatement entre les dents, soulagée que les coups s’interrompent.
 
 J’avais passé toute la matinée de la veille à trouver des excuses pour me lever de mon siège, tellement mes fesses chauffaient. Une deuxième séance n’arrangerait rien à l’affaire.
 
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Je sentis mon maître tirer sur la chaîne qui reliait mon collier à mon cul. Quelques petits mouvements, souples, pour agiter le crochet au fond de moi.
 
 Je lâchai un râle.
 

 
Car bien sûr, pour le quatrième jour consécutif, il ne s’occupait pas du tout de mon sexe. Et si la douleur m’excite, si l’humiliation m’excite, si le fait de passer deux jours à sentir l’odeur du sperme de mon maître m’accompagner m’avait fait vaciller les genoux à quelques reprises, je n’avais toujours pas joui.
 
Quatrième jour consécutif… je m’étais sentie mouiller dès qu’il m’avait plaquée sur la table.
 
 
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Pour l’heure, il détacha la chaîne de mon collier.
 
 Ma tête retomba presque aussitôt en avant, soulagée de cette libération.
 
 Puis il retira le crochet de mon cul, qui n’offrit guère de résistance.
 
 C’était donc fini ? Bon.
 
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Mais non. Je sentis son sexe presser contre mon anus ainsi dégagé. Enfin ! Il allait me prendre. Et par expérience, je savais très bien qu’il pouvait me faire jouir par le cul.

 
 Mon anus s’ouvrit volontiers pour le laisser entrer… mais il ne glissa en moi que son gland.
 
Puis, quelques secondes après, je sentis une série de coups brutaus et rapides contre mes fesses. Croyant d’abord à une nouvelle fessée, je serrai les dents… mais non, ce n’étaient pas des coups.
 
 
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Alors… la lumière se fit, bien sûr. Il avait glissé le gland dans mon cul et se masturbait en moi.
 
 De mon côté, immobilisée comme je l’étais, je ne pouvais que subir cette utilisation, et sentir les brusques mouvements qu’il imprimait à son gland.
 
Encore une fois, de quoi m’exciter, mais pas me satisfaire.
 

Quelques minutes plus tard, je le sentis jouir. Il se retira et remplaça vite son gland par un rosebud… sans doute le même que la veille.

— Voilà. Aujourd’hui plus que jamais, tu es une vide-couilles. Bonne journée au bureau.
Il me détacha, me donna mes vêtements et m’amena m’habiller sur le palier.
  
 
 
Par Le Pierre - Publié dans : Femelles soumises - Communauté : Sexe brutal.
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  • : 27/11/2009

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