Jeudi 4 juillet 4 04 /07 /Juil 12:00

Quatre hommes se lèvent et viennent se saisir de Nadine en riant. Ils l'entraînent vers le centre de la pièce. 

Je suis sa meilleure amie. Nous avons été attirée ici par Jérome, un copain. Nous ne savions pas qu'il y aurait tant d'hommes que nous ne connaissons pas. 

Nous nous retrouvons toutes deux entièrement nues, malgrés nos protestations. 

C'est comme l'accomplissement d'un rite de soumission, sous mon œil incrédule, car je ne pensais pas la voir obéir, que je vois Nadine tendre ses poignets à l'homme qui les lie sans ménagement.

Un autre homme, grimpé sur une sorte de tabouret saisit l'extrémité de la corde et la passe dans un gros anneau fiché dans le plafond.

 

 


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Ils tendent la corde et, de la sorte, les bras de celle qui s'est laissée entraver à ma grande surprise sont dressés tendus à la verticale de sorte que c'est à peine si ses pieds nus reposent sur le sol. 

 Nadine ne dit mot, et n'ose bouger. 

Peut-être la notion du vice, du dévoiement coupable est-elle liée à un certain plaisir ? 

Les hommes se déshabillent. Un autre homme, de son coin, tire une corde plus volumineuse, puis un flacon d'huile dont il enduit la soumise, sauf aux extrémités. Il plie la corde en deux tenant en main chaque bout effiloché et attend. 


"Commencez ! Cinq coups chacun" dit Jérome.  


Un homme, tout aussi nu que ses compagnons, lève lentement le bras et cingle le dos de ma compagne. Nadine gémit sous le coup qu'elle ne peut éviter. Son sursaut ravit l'assemblée  


Il attend quelques secondes, puis brandit à nouveau la corde et l'abat violemment sur les fesses tendres. Le claquement fait passer une sorte de frisson dans mon corps brûlant. Les autres hommes ricanent, les yeux luisant d'une cruelle concupiscence.

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Un troisième coup frappe les cuisses de Nadine. Un quatrième, puis un cinquième, rougissent sa croupe sublime.

  


"A moi, dit le plus grand des tortionnaire. Quel cul !"

  


Bien campé sur ses jambes, il fouette rudement le dos et les fesses de ma jeune femme. A chaque claquement, son corps tressaute. Enfin, au dernier coup, elle pousse un hurlement de douleur extrême, insupportable.

 

Satisfait de lui avoir arraché ce cris terrible, l'homme tend la corde à un troisième, dont la verge est incroyablement dressée.
 

Deux tortionnaires s'avancent l'un devant elle et l'autre derrière.

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Le premier lui lève une jambe s'introduisit dans son sexe.

 

 Je la vois faire un effort sur ses bras pour se décoller du sol et entourer le bassin de l'homme de ses jambes.

 

 L'homme la saisit par les fesses et les lui écarte dans un invite muette pour son compère qui n'hésite pas une seconde et lui viole le fondement la faisant couiner comme une bête.

 

Tel deux animaux en rut ils la besognent farouchement.

 

Les plaintes de la jeune baisée changent de tonalité pour passer de la douleur aux râles de plaisir.

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Je ne peux saisir si elle atteint l'orgasme lorsque deux hommes se retirent d'elle pour la laisser de nouveau dans sa situation inconfortable, au bout de sa corde.

 

Le troisième homme se prépare. Il cingle les cuisses nues, le cul déjà rougi, le dos strié.

 

Lorsqu'il est satisfait de sa punition, il s'avance vers Nadine, l'œil exalté. La poitrine de ma compagne souleve à un rythme peu commun.

 

De la main droite, il entretient sans vergogne l'excitation de sa verge, qu'il brandit sous les yeux de la femelle martyrisée. Il lui annonca qu'il va la baiser en cherchant à lui faire mal.

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Quand la verge brûlante pénétre en son ventre, ma copine noue d'instinct ses cuisses autour de des hanches de son baiseur, augmentant la pénétration. Lorsqu'il va et veint en elle, les ongles du mec griffant son dos, elle pousse de petits cris un peu ridicule...

 


Presque aussitôt, homme atteind l'apogée de sa coupable entreprise en rugissant
"Je te baise, je te baise !"

  


Un quatrième homme s'empare de la corde, mais ne se résout pas encore à fouetter Nadine exténuée, haletante, le corps tendu.

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Le spectacle de la jeune femme furieusement fustigée auparavant puis besognée, semble le fasciner. Puis il se décide, la contourne  pour frapper le pubis et le devant des cuisses de Nadine. Ils subissent à leur tour le châtiment prévu.

 

Ensuite, sans attendre, il revient derrière elle et brusquement s'accole contre son petit cul. Il lui écartet les fesses et veut s'y introduire. D'un seul élan, son membre volumineux, noueux, disparaît à moitié dans le fondement de Nadine en extase dont le cri démentiel me surprend.

 

Le membre fougueux la pilonne, sans qu'elle puisse retenir aucunement ses cris, ses halètements, les petites saccades de son bassin, les contractions de ses fesses pétries par les mains de son possesseur.

 

Tout aussi vaillant que les autre, l'homme qui la sodomise furieusement ressort de son anus et décide pour tenir plus longtemps, de se priver de plaisir. Il prend le tabouret et y grimpe se trouvant peu ou prou à la hauteur de la bouche de Nadine ou il s'enfonce et finit par y éjaculer.

 

 

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Le supplice de la salope apparemment terminé, on délie Nadine, assez éprouvée par ce qu'elle vient de subir.

 

Tandis qu'elle se masse les poignets, on lui présente un verre d'eau pour récupérer un peu.

 

Elle en boit quelques gorgées, puis. titubante, vient s'allonger auprès d'un de ses baiseurs et de moi.
"Tu as mal ?" demandais-je
"C'est assez cuisant…." Convint-elle, mais c'est si excitant….

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Troublée, je réfléchis à ces étranges paroles, et me demande comment on peut tirer du plaisir de la souffrance physique. Cela peut, à limite, rejoindre, pense-je, celui que l'on prend à s'abaisser, à se livrer bestialement à tous les vices en compagnie d'hommes exigeant et vicieux dont on ne sait rien. Un plaisir que je dois moi-même avouer éprouver.

  


Près de nous Jérome et les autres hommes se concertent. Jérome invite Nadine à s'approcher. Il lui murmure quelques mots à l'oreille, puis jette un regard vers moi, ainsi que ses compagnons. Un frémissement parait les animer

  


"Je... je ne sais pas..." bredouille Nadine.

  


L'un des hommes, alors, vient se poster devant moi et me saisit les poignets prestement. Je tente de me débattre, comprenant alors le sort qui m'attend.

  


"Non, pas ça ! Je ne veux pas !" 

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Ma frayeur ne fait que fortifier la résolution des hommes. Malgré mes hurlements, on m'attache, puis on me traîne au centre de la pièce.

  


"Pas la peine de crier, on n'entend rien dans ce batiment abandonné !"dit l'un des homme.

  


Cependant, je continue de protester, d'implorer mes bourreaux.

  


"Nadine , aides-moi !"cris-je.

 


"Allons, allons…. tentes cette expérience. Tu aimes jouer les salopes… assumes…."

 
"Aaahh ! Ce n'est pas possible ! Non !..."

 

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Malgré ma terreur on m'attache à l'anneau tout comme Nadine et peut-être a cause de mes cris on me tire les bras et sans douceur on tend la corde. Sans défense, je halete de frayeur et cessa d'implorer ceux dont je sais qu'ils ne m'épargneront pas.

 


"Elle se régalait de te voir fouettée, dit Jérome à Nadine. Elle va comprendre !"
"Nooooooon !" hurlais-je.

 
Déjà, l'un des hommes s'empare de la corde et se place derrière moi. Les cinq autres mecs font cercle autour de moi. Il grogne :

  


"Quel beau cul !"

  


Il se met à me pétrir outrageusement les globes ronds et tendres de ma croupe, dont les courbes ne pouvent qu'attiser les désirs les plus dépravés.

  


Et là je commets une erreur. Au lieu d'accepter mon sort et de subir les mêmes sévices que Nadine avant moi, je me rebelle encore et d'une ruade, je réussis à frapper un des hommes.

 

Il prend mon pied dans les couilles et se plie en deux de douleur. A bout de quelques instants il se relève et vient vers moi l'air mauvais. Jérome l'arrête et lui donne, me semble-t-il, ses directives à l'oreille.

 

 

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Nadine tient me faire la traduction. Je pense qu'elle prit un malin plaisir à me dire :
"Il passera en dernier… après que les autres se soient bien occupés de toi…. Jérome lui a dit qu'il pourrait te punir aussi sévèrement qu'il le voudrait…. M'est avis que tu vas déguster ma belle !"

 


Déjà le calcul est simple, ils sont six. Donc six fois cinq coups de fouet… trente…

 

Si le même régime que celui de Nadine m'est infligé… plus un bonus à celui que j'ai bêtement frappé… Aïe, aïe, aïe… mes pauvres fesses… et puis, et puis… il y aura leurs pénétrations et j'aime mieux vous dire que déjà tout à l'heure, j'ai trouvé qu'il y allaient fort, pour Nadine, cela avait été aussi très chaud. Alors pour moi….

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Ils commencent par enfoncer deux piquets dans le sol à un bon mètre de mes pieds. Avant que je ne puisse faire aucun geste, ils se saisissent de mes jambes et me passent des cordes autour des chevilles.

 

Ils n'ont plus qu'à tirer sur les cordes et mes cuisses sont impitoyablement écartées. Pour me maintenir dans cette position de Y renversé, dès qu'ils jugent l'écartement de mes cuisses suffisant ils attachent les cordes aux piquets. Je me sents ainsi encore plus vulnérable et je me maudis de ma sottise.

 

Ce n'est pas fini….

 


 

Le premier se prépare, il fait quelques pas en arrière et frappe une première fois mon postérieur. Je pousse un cri qui ravit tout le monde; une strie rouge vient certainement de blésser la blancheur de ma peau. Puis l'homme me fouette à quatre reprises, et sans douceur sur les fesses bientôt écarlates.

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Tandis qu'il céde la place à l'un de ses compagnons, son sexe dressé bat outrageusement devant moi.

 

Deux hommes me sodomisent à tour de rôle ensuite.  


Un autre flagellant succède au deuxième. Je ne crie plus, mais tressaute à chaque coup de corde. Ma tête retombe sur sa poitrine, mes seins dansent brutalement au rythme de mes soubresauts.   


"Pitié, assez ! "... Gémis-je   


De la pitié… il est évident qu'elle me sera refusée.

 

 Le troisième donne sa corde au quatrième puis vient se placer contre mon dos et utilise le même trou de mon anus que les autres avant lui.

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L'homme à la corde parait pris d'une inspiration démoniaque. Pendant que je suis emmanchée entre les fesses, il me fustige le ventre et l'avant des cuisses me forçant à m'empaler au delà de la mesure sur mon enculeur.

 

 Je me remets à crier de douleur…

 

Et puis mon enculeur, me retourne pour me positionner à sa concenance, juste avant qu'il ne me prenne par devant.

 

Des deux hommes me sandwichent sans retenue et jutent dans mes orifices dilatés.

 


Un autre de mes bourreaux s'approche de moi et pince rudement mes tétons, me faisant crier. Il gifle mes seins puis m'ouvre les cuisses et se met à me masturber tout debout. Je gémis, ne pouvant résister à l'extrême pénétration sauvage et au feu qui ne tarde pas à ravager mon ventre.

  

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"Cette salope va jouir ! "s'écrie l'homme dont les doigts épais me fouillent profondément, apparemment le frère de celui que j'ai blessé.

  


"Dis-nous que tu es une pute !" crie-t-il.

  


Comme je rechigne, il me claque violemment les fesses, les seins, puis me gifle .
"Oui... je suis une pute... "Bafouille-je.

  


Tandis qu'il me branle comme un furieux, je jouis violemment. Mes seins, mon ventre, mon sexe en feu ne savent plus répondre à la retenue de la situation. Il continue et je connais un autre orgasme, plus sourd, plus long.... Aussitôt l'homme me délaissa cyniquement pour venir  se camper derrière moi.

 

Au lieu de pénétration à laquelle je m'attends je subis à nouveau la douleur cuisante de la flagellation.

 

A cinq reprises, la corde vient cingler mon cul nu, mes fesses se crispent à chaque claquement, puis se relâchent avant le coup suivant.

 

 Je râle, sanglotte, mais j'espère en avoir bientôt terminé.

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L'homme me prend par devant, me posséde méchamment puis d'un coup se retire, me laissant vide et interloquée.

 

 Il y a un conciliabule entre lui et les autres qui bandent comme des ânes de me voir punie ainsi.

 

Il passe la corde à l'un d'eux que je vois se placer devant moi, non plus derrière. Je suis son regard sur moi et ayant deviné ses intentions je m'écrie :

 


" Non, ! Pas ça !"

  


L'autre éclate de rire, leve le bras, brandit la corde et me dit quelques mots  que je ne comprends pas dans ma panique, mais dont je devine l'obscénité.

 

Avec des coups secs, il fouette mes gros seins offerts, avec violence. Je pousse des hurlements à chaque impact sur mes mamelles.. Alors, l'homme me cingle au niveau du ventre, puis entre mes cuisses.

 

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 A chaque sifflement, suit le claquement de la corde sur ma peau nue. Je pousse un long râle rauque, interminable, implorant la pitié.

 


"Non, je vous en prie ! Pas les seins, pas mon vagin !"

 


Ces plaintes ne font qu'attiser l'ardeur de mes bourreaux.

 

Le dernier inconnu à n'avoir pas encore jouit en moi se post derrière moi et me pétrit la croupe, en écartant mes globes pulpeux.

 


Tout contre moi, l'homme pointe sa verge tendue entre mes fesses. Je ne peux le voir me pénétrer, mais je pousse un beuglement en tremblant de tout mon corps quand il m'encule sans ménagement.

 

Une nouvelle série de gifles s'abat sur mes seins, les lèvres de ma chatte, tandis que l'autre me sodomise tout debout, me maintenant fermement au ventre. L'autre ne cesse pas de me flageller le bas ventre, la poitrine.De temps à autre, il s'amuse à me griffer les seins, me pincer les mamellons.
"Aahh !... assez ! assez ! Libérez-moi !"

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Cela ne les fait que ricaner sadiquement.

 


A ma grande honte, je ne peux me cacher le trouble pervers qui, lentement, m'envahit.

 

Flagellée nue, violée dans une tournante, par ces être frustres, dans ce lieu hors du monde s'avère une inconcevable révélation. Je sents monter en mon ventre une chaleur torride, insoutenable ; prise d'un sentiment étrange, inconnu, sans plus me dissimuler le noir plaisir que j'y puise.

 


Mon calvaire cesse. Enfin c'est du moins ce que je crois, puisque l'homme qui me torture les seins prend la place de l'autre et se vide les couilles dans mon cul et que l'autre venant d'en sortir, prend le tabouret, y grimpe et se met à me jouir dans la bouche en m'ayant prévenu à l'avance.

 


"Si tu me mords, je te coupe le bout des seins"

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Je reste ainsi un moment, exposée aux regard, sans force, inerte.

 

C'est Nadine qui romp le silence :

 

"Ce spectacle m'excite. Donnez-moi cette corde que je la fouette à mon tour !" dit-elle en se redressant

 


Je ne peux supporter pareille perversion et me rebelle :

 


"Non ! Ce n'est pas possible..., je t'en supplie ! Je brûle à travers tout mon corps !"


"Bien sûr ma chérie. Mais je ne vais pas me priver de maltraiter une aussi belle salope que toi ! Allons, prépares-toi à souffrir encore !

 


Elle passe devant moi et me prenant par les cheveux me roule une pelle insensée, puis elle me contourne. Résignée devant un sort que je sais inéluctable, je ferme les yeux, baisse la tête avec résignation. Je la redresse brusquement comme si une décharge électrique m'avait frappée.

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Nadine m’assene le premier coup cinglant. Je ne crierais plus, ne supplierais plus.

 

Mes lèvres exhalent de simples soupirs, quelques gémissements pathétiques, fort excitants pour d'aussi pervers instincts que ceux de ma tortionnaire.

 


Nadine me fouette, à quinze reprises, claquant à plaisir mes fesses cramoisies, cinglant vertement mon dos, mes cuisses, s’acharnant sur mes seins et vicieusement mon entrejambe sous l’œil vivement échauffé des hommes.

 

A présent, les coups cruels que je ne peux éviter me brûlent d'une chaleur intense, douloureuse, insoutenable, terrifiante.

 

Je ne réalise pas immédiatement la fin de mon supplice.


Ce n'est que lorsqu'on me délie, puis que l'on m'allonge sur le sol en bêton. Dès que je récupère un peu de force, je me sauve, même s'ils ne me rendent pas mes vêtements. 

 

 

 

 

Par Le Pierre - Publié dans : Mauvaises expériences - Communauté : Sexe brutal.
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