Je voulais qu'elle le fasse depuis que je la connais, et cela fait plus de 2 ans.

Jusqu'à présent elle avait toujours refusée.

Mais là, elle n'a plus le choix : elle accepte de se faire niquer par un animal de la ferme, ou je la vire de chez moi.

Elle avait le choix entre les différents animaux mâles de la ferme, y compris le chien.

Elle a choisi le cheval.

Ca se passe dehors, dans le petit prè à coté de la maison. Je lui caresse les seins de la fille et lui branle son vagin pour l'exciter un max.

Elle prend la bite du cheval et masturbe jusqu'à ce que le membre de l'animal prenne une belle dimention.

Je dois encore la pousser pour qu'elle y mette la bouche.

Ca y est, la salope suce enfin la grosse bite : d'abord du bout de la langue, puis avec toute la bouche.

Elle me demande si elle doit vraiment mettre la bite énorme du cheval dans son sexe si étroit et pas vraiment humidifié par son foutre.

Je l'exige.

Alors elle se retourne et positionne la bite contre son vagin.

Elle pousse le membre, se penche davantage en avant pour aider la pénétration.

Ca entre péniblement.

Elle cris de douleur et me lance des regards se supplication.

Mais ça s'enfile à peine, pas suffisamment.

Alors j'ai l'idée de placer cette table sous l'animal.

J'y allonge ma copine.

Elle renonce à discuter et prend à pleine main la bite du cheval qu'elle entre dans son vagin. Cette fois la bite s'enfonce profondément dans le trou de la femelle.

L'animal prend du plaisir et fait aller et venir sa bite dans le sexe de la fille.

Elle aussi commence à prendre du plaisir.

Elle se tortille sur la table. Elle écarte davantage les cuisses pour favoriser les va et vient en elle.

Son ventre se creuse, ses seins se soulèvent de plus en plus rapidement.

La salope n'ose plus me regarder, trop honteuse de ce qu'elle fait, du plaisir intense et malsain qu'elle en  retire malgrè elle.

Ma copine jouit follement lorsque le cheval décharge dans son sexe brûlant de long jets de sperme qu'elle ne parvient pas à garder entièrement dans son orifice vaginale.

Très bien, pétasse, tu as fait ce que j'attendais de toi.

Tu peux rester à la maison.

Mais tu n'en a pas fini avec mes animaux...