Je suis une jeune femme tout à fait classique.

Je travaille comme chargée de clientèle dans une banque. J'ai un petit mari qui m'apporte toute satisfaction.

Je m'entends bien avec ma famille et la sienne.

Dans la vie de tous les jours, je sais être caline mais pas délurée. 

Tout cela c'est en temps normal, si j'ose m'exprimer ainsi.

Mais je dissimule à tout le monde et notamment à mon entourage une partie secrète de ma vie. 

Depuis plusieurs années maintenant, je suis possédée par un homme qui dispose de moi comme il l'entend. 

C'est mon maître et je ne peux rien lui refuser. Souvent je le voudrais mais j'en suis incapable. 

A tout moment il me convoque pour accomplir sa volonté de m'utiliser pour ses pulsions sexuelles brutales. Aussitôt je laisse mon occupation du moment, pour le rejoindre n'importe où. 

Aujourd'hui, je suis avec mon petit ami, lorsque je reçois un SMS. Je dois trouver une excuse pour partir imédiatement.

Mon maître n'est pas content de m'avoir attendu.

Je mérite la punition cinglante qu'il m'inflige.

Je ne suis pas grand chose, une petite pétasse de femelle.

Mon maître a raison de vouloir s'en prendre à mes seins.

Il dit que mes seins sont trop tentant. Qu'ils pervertissent les hommes.

Je suis certaine qu'il a raison.

il est normal que je sois punie par cette poitrine qui crée tant d'envies malsaines. 

Mon Dieu ce que je souffre !

Maman pourquoi m'as-tu faite comme ça.

Viens à mon secours, Maman, je t'en supplie !...

Mon maître me dit que les femelles dans mon genre sont des moins que rien, qu'elles exhibent leurs poitrines comme des trophés.

Il me dit qu'il faut me punir par le biais de cette tentation permanente.

Je sais que je vais souffrir encore un long moment par mes seins, mais j'accepte la punition de mon maître.

Le temps qu'il voudra me torturer par mes mamelles de femelle, je ne serais plus rien d'autre que son esclave consentante. 

Je suis prêt à toutes les souffrances pour le satisfaire.

Il a raison, mon maitre, je ne suis rien d'autre qu'une paire de seins à maltraiter...

Il y a tant de jeunes femmes qui aimeraient avoir une poitrine comme la mienne.

Auparavant, moi aussi, elle me plaisait bien ma poitrine.

Mais c'était avant que mon maître décide que mes seins ne sont pas une bonne chose pour moi...

 Pourtant mon mari les aime bien lui, mes seins...