Oui, je suis lesbienne !
Et alors ? je fais ce que je veux, non ?
Aucun homme ne me procurera jamais autant de plaisirs qu'une femme !
Ce soir j'ai rencontré sur internet une inconnue sympa et je l'ai invitée chez moi.
Alice me plait beaucoup.
Tout de suite le courant passe entre nous deux.
Et nous faisons l'amour une grande partie de la soirée avec infiniment de passion et de tendresse.
C'est trop génial, j'adore tout ce que cette fille me fait.
Et je lui rend la pareille en y mettant toute ma sensualité de femme amoureuse.
Dommage qu'Alice doive partir si vite.
J'aurais aimé qu'elle passe la nuit avec moi !
Quelques minutes après son départ, j'entend sonner à la porte.
Je suis toute heureuse en songeant qu'elle s'est ravisée et qu'elle veut finalement rester.
Ma surprise est grande en découvrant ces deux inconnus.
Je n'ai pas le temps de rien leur demander qu'ils me sautent dessus en me maintenant les bras dans le dos.
Je ne veux pas qu'ils me touchent.
Ce qu'ils me font peur !
Je hurle à toute voix que je déteste les hommes. Que je ne peux rien leur apporter en matière de sexe.
Ils rigolent.
L'un d'eux explore brutalement mon entre-cuisse, insinue ses gros doigts fébriles dans mon vagin.
Ils me jettent à genoux et me force à sucer leurs horribles membres de mâle en quête de sexe sans amour.
Ce que je subis est indescriptible !
Ils sont immondes !
Ils me font souffrir.
j'ai terriblement honte d'en éprouver tellement de plaisir malsain.
Je les supplie de ne pas me pénétrer.
Je ne veux pas, absolument pas.
Mais ces ordures ignorent mes supplications.
Ils en rient bruyamment.
Je sens douloureusement un énorme dard forcer le passage de mon vagin.
Ils violent sauvagement mon intimité de jeune femme allergique aux hommes...
Je suis attachée, dominée, humiliée.
Je cherche à me rebeller, à me dégager de leur étreinte violente et sordide.
Je ne peux rien faire contre cette barbarie masculine atroce.
Mes deux agresseurs s'amusent avec moi comme avec un simple objet sexuel...
Les hommes affirment que mon calvaire va durer toute la nuit.
Qu'ils vont me torturer, me martiryser.
Ils parlent avec gourmandise de m'engrosser...
C'est horrible !
Je suis trop inconsciente pour réagir lorsque les deux hommes enfin satisfait quittent l'appartement.
Ils me laissent nue blessée, souillée, étallée à même le sol dans une position obsène.
Ils ont déchargé en moi tout ce que leurs bourses maudites contenaient de saloperie de semence de mâles.
J'ai mal, j'ai peur...
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