Voici le genre de femmes dont on aime profiter dans le quartier. 

C'est la bonne bourgeoise, bien comme il faut qui astique sa grosse bagnole en tortillant du cul pour aguicher tous les mecs du coin. 

Ca fait des semaines qu'elle fait son petit cinéma dès que son mari est parti bosser.

Avec son homme elle fait sa pétasse indiférente aux autres et hautaine.

Mais dès qu'il n'est pas là, c'est tout autre chose !

A force de baver en voyant son cul, on a fini par en discuter à quelques mecs des maisons alentours. 

Et aujourd'hui on va à la rencontre de la garce en petit comité bien décidé à profiter de ce qu'elle soit seule à la maison. 

La salope se rend vite compte du pourquoi de notre présence. 

Elle a d'ailleurs tout fait pour qu'il en soit ainsi.

Regardez comment elle se comporte après qu'elle nous ait invité chez elle boire un verre. 

Quel beau cul !

La salope s'attend à profiter d'une partie de baise à plusieur dont elle serait la reine.

Elle ne s'attend apparemment pas à ce qu'on se saisisse d'elle avec brutalité. 

On ne sait pas trop ce qu'elle espérait en nous aguichant ainsi. Mais nous on veut en profiter tout de suite et sans manière. 

Il y a ce gars qui a amené un énorme god qu'il veut enfoncer dans son gosier. Et moi qui lui saisit un sein pour le pétrir en l'écrasant douloureusement.

On arrache ses vêtements plus qu'on les retire.

Lorsqu'elle est à poil, pendant que le mec au god la branle à fond la chatte, on en profite pour jouer méchamment avec elle

D'abord, on force la jeune femme à nous sucer la bite, et puis on lui défonce la bouche, à fond le gosier. 

Elle pousse des petits cris bizarres, étouffés par le va et vient de nos queues entre ses lèvres.

Je m'arrange pour être le premier à lui bourrer la chatte. 

La salope se laisse faire, pendant qu'un autre se fait pomper le dard.

Il y a ce mec qui lui serre les seins dans une corde pendant qu'un autre la nique férocement. 

Elle ne sait plus où elle en est, la pétasse !...

Faudrait quant même pas ameuter les voisins avec ses cris de truie qu'on mène à l'abatoir ! 

On lui enfonce une boule dans la bouche. 

Un mec lui pince les tétons avec cette chaine qui la fait grimacer de douleur. 

Et un autre qui se décharge les couilles dans son ventre par son orifice de femelle vicieuse !

J'ai trop longtemps rêvé de son petit cul qu'elle fait danser devant nous chaque jour pour ne pas le fourrer. 

Je n'aurais pas cru que j'aurais tant de mal à forcer le passage de son anus.

Elle résiste la garce.

Mais ma bite est bien dur, je peux enfin lui défoncer son cul...

Elle voudrait dévier ses fesses, mais ma bite s'y glisse, force dificilement le passage de l'anus pour entrer dedans jusqu'aux couilles. 

Je vois qu'elle gueule, mais aucun son de sort de sa bouche encombrée par la boule bien utile.

Trop bon de l'enculer, cette pétasse !

C'est trés serré à l'intérieur de son fion, étroit.

Ma bite doit forcer le passage à chaque coup de boutoir, et c'est encore meilleur !

Les autres m'imitent.

On y va tous dans son cul, à la salope.

C'est sacrément bon. 

Le sperme craché par les uns et les autres lubrifie le passage anal dilaté. 

Trop bien ! Le top !

On a éjaculé une première fois dans les orifices explosés de la pouffiasse, et maintenant on va lui offrir un deuxième service, dans sa bouche.

La femme épuisée, violenté sans limite, ne peut plus tenir sur ses jambes.

Son corps est exange. Ses intimités de femelle sont cramées, douloureuses.

Lui n'en a pas fini avec elle. 

Nous, on le regarde faire, en nous servant dans le frigo de la pétasse pour boire un coup.

Lorsqu'on sort de la maison, laissant la femme à poil sur le sol, crade, inerte, on lui promet de revenir remettre ça lorsque son mari sera à nouveau absent ...

Et vous savez quoi, elle nous regarde souillée, épuisée, et ne se rebelle même pas...