C'est vraiment trop injuste. Je suis client de cette banque depuis des années. Et depuis que cette jeune femme est devenue responsable de l'agence, je n'arrive plus a obtenir le moindre découvert sur mon compte.

Je la déteste d'autant plus que je la trouve trés sexy et que j'aimerais bien me la taper. Mais elle s'en fiche complètement. 

Miraculeusement, l'occasion s'est présenté de me venger lorsque je me suis rendu compte qu'elle est inscrite sur un site de rencontre sur internet.

Sans dire qui je suis, je l'ai draguée et je lui ai donné rendez-vous chez moi. 

Sa surprise est grande de découvrir qui est l'inconnu qui a dialogué avec elle pendant ces derniers jours. Je me rends compte qu'elle voudrait repartir sans tarder mais quelle hésite de peur de me froisser sans doute. 

J'en profite pour lui offrir un verre en la baratinant. Au bout d'un moment, je l'entraine dans la pièce que j'ai emmenagé pour mener à bien des expériences sexuelles plutôt hors norme avec des partenaires occasionnelles.

Là, elle découvre avec horreur mes installations sadomaso et veut s'en aller.

Mais il est trop tard.

Je la pousse contre le mur et trousse sa jupe pour découvrir ses fesses potelées.

Tu peux crier ma belle, personne ne t'entend...Maintenant, je vais t'attacher là, sur le béton froid du sol, contre ce mur, jusqu'à ce que tu accepte toutes mes demandes sexuelles. Je reviendrais dans une heure, ou deux, ou demain et tu me donneras tout ce que je veux.

Et c'est vrai que lorsque je reviens au bout de quelques heures, ma belle salope accède sans le moindre problème à ma sollicitation d'obtenir une bonne fellation. j'ai même le sentiment qu'elle y met de la gourmandise.

Quelle bonne pipe, a mesure que ma queue s'enfonce dans sa gorge j'ai l'impression que la tige grossit démeusurément.

Et quelle bonne idée de me gober ainsi les couilles, de me titiller le gland avec la langue. Je la sens bien soumise, la banquière.

Mais je ne veux surtout pas qu'elle ait le sentiment d'avoir son libre arbritre dans cette séance de baise qui doit rester humiliante pour elle.

Je la déplace pour l'attacher face contre le mur et j'entre ma bite dans son vagin avec une brutalité qui lui fait pousser des cris de douleur.

Il n'est pas question que tu puisse retirer la moindre satisfaction de ce que je te fais subir.

Et si tu dois jouir, ce doit être dans la souffrance et l'humiliation de la femelle bafouée.

J'ai éjaculé dans ta chatte et tu crois que c'est est fini.

Mais non, je la laisse mariner quelques heures.

Je reviens et je la jette sur la paillasse. Je la ligotte pour l'empêcher de résister.

Et c'est à ce moment là que me prends l'envie de me faire son cul. Je découvre son anus étroit et je veux le défoncer.

La salope serre les fesses et je sais que son petit trou va résister, mais c'est mieux. Je force le passage jusqu'au point de rupture et d'un coup j'entre ma queue dans son fondement jusqu'aux couilles.

Elle a beau gueuler comme une truie, ce n'est pas ce qui m'empêche de lui ramoner le cul à m'en claquer les roustons contre ses fesses.

Trop bon, trop bon, trop bon.

Mon jus glicle dans son anus et lui glisse dans la raie de ses fesses lorsque je me retire avant de m'y enfoncer de nouveau.

Et puis je la retourne sans ménagement, la salope, pour récupérer avec mes doigts du sperme à l'intérieur de son cul et en maculer sa chatte déjà trempée de son foutre.

Et vous savez quoi ? Je n'en ai vraiment pas encore fini avec elle.

Il faudra qu'elle donne encore beaucoup de sa personne pour se faire pardonner...

Finalement ça a du bon de se faire refuser un découvert, lorsque cela vient de la part d'une banquière, qui plus est appétissante et adepte des rencontres sur internet...