Aurélie, ma nouvelle copine est vraiment une drôle de fille.

Depuis que je la connais, je pratique le sexe comme jamais auparavant.

Faut dire qu'elle a des tendances perverses et des fantasmes particulièrement crades. 

Regardez ce qu'elle exige de moi aujourd'hui. 

Elle m'entraine dans son appartement et m'introduit dans la chambre de sa colocataire.

La jeune femme dort encore et je suis terriblement géné de forcer ainsi son intimité.

 

 

 

 

 

Aurélie retire ses vêtements, ne laissant que son slip et son soutien gorge et me dit de me dévêtir aussi. 

Elle monte sur le lit de sa coloc et l'observe longuement, un sourire inquiétant sur ses lèvres

 

 

 

 

 

 

 

ma copine me dit de passer derrière elle, de baisser son slip et de l'enfiler en levrette au dessus de la dormeuse. 

Soudain celle-ci se réveille en sursaut du fait des mouvements brusques du lit. 

Aurélie intime l'ordre à la jeune femme allonguée sous elle de ne pas bouger.

L'autre terrorisée ne bouge pas.

Aulérie la maintient plaquée contre le matelas pendant que je baise ma copine complètement excitée...

 

 

 

 

C'est Aurélie qui oblige Sophie, sa colocataire, à me sucer la bite en dirigeant la bouche de la jeune femme contre ma pine en érection.

Elle force la jeune femme à y aller, plus fort, plus profond en poussant sa tête pour forcer le passage de sa bouche fermée. 

Sophie exprime toute sa panique mais ne peut que s'executer. 

 Elle doit sucer. Elle doit pomper ma bite. Elle doit lécher, gober mes couilles...

 

 

 

Je commence à prendre sérieusement goût à la chose. 

C'est moi à présent qui mène le va et vient de ma queue dans la gorge de la jeune femme, pendant qu'Aurélie se fait masser les seins.

 

 

 

 

 

 

 

C'est incroyable ce qu'Aurélie parvient à imposer. 

Elle gifle brutalement de plusieurs aller retour Sophie pour que celle-ci accepte de s'empaler par le vagin sur ma queue. 

Pendant qu'elle lui doite le cul, je ramone la soumise par sa chatte à grands coups de bite.

 

 

 

 

La pauvre Spohie hurle qu'elle n'a jamais été sodomisée, qu'elle a peur de trop souffrir. Aurélie, s'en amuse bruyamment. 

Moi, je ne me fais pas prier pour enfoncer ma bite dans l'anus dont je dois forcer sèchement l'orifice. 

La fille pousse des cris de douleur, pleurniche. Je m'en fous.

Je veux la ramoner entre ses fesses, cette pétasse.

 

 

 

 

Pendant que j'encule Sophie, Aurélie sort de la pièce pour revenir avec des cordes et tout un attirail. 

Sophie se débat avec l'énergie du désespoir mais ne peut rien contre nous deux.

Elle se retrouve attachée, écartelée, jambes et bras écartés. 

Je rentre ma bite entre les cuisses de Sophie, dans sa fente trempée de foutre. 

En la baisant méchamment, sans retenue, j'étouffe la fille pour atténuer ses cris de truie qui va à l'abbatoir. 

C'est Aurélie qui se marre méchamment en regardant sa colocataire pleurer à chaudes larmes, secouée de mouvements désordonnés de douleur, à la recherche désespérée de sa respiration....

 

 

 

 

Maintenant, ces pointes électriques torturent ses seins, son ventre. 

Appliquées sur son clito, elles la rendent folle hystérique de souffrance mélée de plaisir malsain.

 

 

 

 

On la détache, la petite salope, pour l'obliger à répondre à toutes nos exigences salaces. 

Elle ne peut rien refuser. 

En a-t-elle encore la volonté ?

 

 

 

 

Plus tard dans la journée, après que je lui ai bien déchargé dans la chatte, on entraine notre femelle dominée dans la cuisine. 

Je l'attache pour pouvoir mieux en disposer à ma guise. 

C'est sur la table que je l'encule. 

Aurélie lui prépare pendant ce temps un truc qui ne va pas lui plaire !

 

 

 

 

Sophie est harponnée par le cul comme un vulgaire animal !

 

 

 

 

 

Aurélie exhibe son drôle de god et l'attache autour du visage de sa colocataire craintive. 

Celle-ci ne sait quoi faire et attend bêtement. 

Aurélie se place sur la table, jambes écartée, cuisses ouvertes, les lèvres du vagin entrouvertes, prètes à recevoir. 

J'approche le visage de Sophie de la fente mouillée d'Aurélie. Je positionne le gode contre l'orifice. J'appuie sur la tête de Sophie pour faire entrer l'engin dans le trou plein de foutre de ma chérie. 

J'ordonne à Sophie de mener le va et vient dans le vagin de ma copine.

Ce qu'elle fait sans discuter, avec ardeur pour ne pas nous mécontenter.

 

 

 

 

Moi pendant ce temps je nique encore Sophie à grands coups de reins pour défoncer son trou de salope...

 

 

 

 

 

 

Après qu'elle nous ai donné notre plaisir, à ma copine et à moi, nous laissons Sophie étendue attachée sur le sol de la cuisine, inerte, anéantie, épuisée, ravagée par la honte et la douleur.

Comblée aussi peut être. 

Avec ma copine, on mange un morceau, on regarde un truc à la télé et on revient. 

Sophie cette fois ne cherche même plus à lutter.

Elle fait exactement ce qu'on lui dit, et nous en profitons un maximum ! 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je crois bien que je vais emmenager dans cet appartement. 

Entre Aurélie la perverse et Sophie la soumise, je crois que je vais bien m'amuser...

 Je vais devenir le maître des lieux...