Cette fille est une gentille bourgeoise tombée amoureuse de moi, sans doute pour donner du piment à sa vie.

Faut dire qu'elle a tout pour mener la meilleure des existences : un mec plein aux as, un boulot plutôt tranquille et bien payé, une grosse bagnole, une belle maison.

Ele aurait pas dû me prendre comme amant.

Amélie devait se douter que je ne faisais que lui raconter de baratin pour pouvoir la niquer.

 

 

 

 

 

 

Maintenant il est trop tard pour revenir en arrière.

Je la tiens, et bien.

Lorsque j'en ai envie j'organise avec ma femme une folle équipée à travers la ville.

Ma jeune maitresse doit nous suivre et exécuter tour ce qu'on exige d'elle.

 

 

 

 

 

 

Regardez ma salope de femme a foutu ma jeune maîtresse à moitié à poil.

Maintenant, elle la maltraite méchamment pour se venger de son infortune.

Amélie violentée comme une moins que rien n'en mène pas large !

 

 

 

 

 

 

 

 

J'exige qu'Amélie me pompe le dard devant les passants qui regardent en marchant avec insistance.

La garce a intérêt de me sucer la bite avec plus que de l'application.

Faut qu'elle me donne un max de plaisir avec une fellation d'enfer, la chienne.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Elle doit maintenant s'enfiler la chatte entre ses cuisses, dans son trou de femelle.

 

 

 

Gare à toi, pétasse, si tu ne glisses pas ton orifice correctement sur ma queue.

Enfile là à fond dans ton trou de femelle.

Je veux que tu te ramones au plus profond de ton ventre.

 

 

 

 

 

C'est dans sa bouche que je veux décharger aujourd'hui.

C'est trop bon !

Cette pétasse d'Amélie avale tout mon jus, sans en perdre une goutte !

 

 

 

 

 

J'ai eu mon plaisir sexuel.

On entraîne alors Amélie dans un lieu mal fréquenté de la ville.

Sous le pont, il y a toujours un attroupement de mecs louches, des pervers qui ne cherchent qu'à magouiller ou tirer un coup avec n'importe qui.

On leur offre notre docile soumise qui va se transformer en vide couilles.

Elle va être salement violentée, la jeune femelle.

 

 

 

 

 

Impossible pour Amélie de s'enfuir, mais le voudrait-elle ?

Elle doit subir les assauts crades de tous ces mecs vulgaires et agressifs qui l'utilisent comme une vulgaire putain.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au bout d'une bonne heure de baises agressives, humiliantes, sales, nous devons extraire la jeune femme épuisée, sans force, de la furie.

Nous l'emmenons plus loin pour lui permetre de récupérer un peu.

Nous décidons de prendre le bus.

 

 

 

 

 

Dans le véhicule, nous la foutons carrément à poil et nous la proposons aux passagers ébahis.

 

 

 

 

 

 

Ils ont trop la trouille, tous ces gens, pour se la farcir.

Tant pis pour eux, c'est moi qui en profite à nouveau...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans quelques temps on va la ramener près de chez elle, jusqu'à la prochaine fois ...

Elle sera totalement démontée, démolie...

Ma femme et moi, par contre, quel pied on aura prit !