Nous avons un maître cruel et pervers qui nous oblige à accomplir toutes ses envies avilissantes, sans hésitation, sans plainte.

Nous ne pouvons rien lui refuser, même si les humiliations nous abaissent plus bas que ce qu'une femme peut accepter.

Nous ne sommes pas gouines, mais comment faire pour ne pas nous plier à ses exigences de sexe crade...

Et bien sûr nous en rajoutons dans la cruauté l'une vers l'autre pour le satisfaire, pour espérer un peu de reconnaissance de sa part...

Nicole, salope, pourrite, sale ordure ! Tu me fais mal !

Cette pouffiasse me dilate terriblement mon anus.

Mon cul prend feu et la douleur gagne mon vagin, irradie l'intérieur de mon ventre de femelle...

Cette main qui force le passage de mon orifice anal, qui percute le fond de mes entrailles...

C'est trop affreux !

Notre maître me donne l'autorisation de m'occuper de cette pétasse de Nicole, maintenant.

Je ne vais pas m'en priver.

Je me venge, brutalement, avec le plus de sauvagerie dont je suis capable...

Gueule, pouffiasse, pleurniche !

Tu me fais plaisir...

Maintenant le maître nous laisse libre cours à nos instincts de femelles enragées.

C'est à celle qui sera la plus forte de nous deux, celle qui dominera l'autre le plus implacablement.

Et à ce jeux là je ne suis jamais gagnante. C'est Nicole qui m'impose sa loi.

Cette pourriture.

Notre maître doit être satisfait de nous.

Il accepte de nous baiser avec sa cruauté habituelle.

Nous sommes heureuses toutes les deux de pouvoir être utilisées par lui pour sa jouissance sexuelle...

Lorsque le maître en aura fini, il nous congédira sans ménagement, jusqu'à sa prochaine convocation.

Nicole et moi retournerons chacune de notre côté vivre notre vie avec nos familles, nos habitudes.

Frustrées de devoir attendre, heureuses aussi d'être esclaves sexuelles sadomaso...