J'ai rencontré une jeune femme sur internet adepte du sexe sado maso et je lui ai demandé de me rejoindre chez moi.

Lorsqu'elle a accepté, j'ai compris que je pourrais faire ce que je veux d'elle.

Mieux encore, elle a accepté que l'on montre nos exploits sur le net. Ce que je ne me prive pas de faire...

L'idée est de lui serrer les seins au maximum pour bien les faire saillir et faire se pointer les mamellons.

Le bondage, moi j'adore ça. Et elle aussi.

Faire gonfler les mamelles, enfoncer la cordelette dans la chair tendre du ventre, des cuisses, l'insérer entre les lèvres de la chatte, entre les fesses...

je la branle pour reccueillir son foutre et lui faire lécher sur mes doigts.

Même si je le fais avant tout pour mon plaisir personnel, je sais qu'elle a besoin d'être frappée pour obtenir davantage de jouissances.

Le travail de ses seins en écrasant ses mamellons, en martyrisant les mamelles lui occasionne des souffrances intenses qui irradient au plus profond de son corps de salope vicieuse.

Les douleurs fulgurantes lui transpersent le ventre jusqu'à lui faire échapper par le sexe de longs filets de foutre qui glissent entre ses cuisses.

J'ai bricolé cet appareil à tortures et je m'en sers souvent pour pouvoir disposer comme bon me semble des femelles que je veux soumettre.

J'ai notamment crée un piston mécanique que je place entre les fesses des salopes afin de leur forcer l'anus et leur ramoner le fondement au plus profond de leur ventre.

Pour la bouche, c'est pareil, je veux pouvoir l'utiliser comme bon me semble.

Et maintenant, je veux l'empêcher de respirer correctement pour lui offrir d'autres sensations en appliquant ce sac plastique sur sa tête.

La femelle est terrorisée, cela ajoute à son plaisir malsain, et au mien...

La salope cherche désespérément sa respiration. Ses seins emprisonnés par les pinces tirent de plus en plus fort sur la corde à mesure qu'ils se tendent sous l'effet des poumons qui recherchent l'air...

Elle lutte ardemment pour trouver un peu d'air et tout son corps se crispe dans cette quête...

Et toujours ce piston qui lui pilonne le cul, lui détruisant l'anus, lui explosant le fondement.

Plus tu cherches à lutter, plus les liens tirent sur tes seins, plus l'engin rabotte l'intérieur de ton petit cul d'enculée !

Et puis vient le moment de ta jouissance brutale, contrariée par l'étouffement qui va te faire tomber dans les vapes.

J'attends que tu ai atteinte le sommet de l'orgasme avant de libérer ta tête, mais je n'en ai pas fini vec toi.

La bouche grands ouverte à la recherche désespérée de ta respiration, je regarde ton corps de pétasse secoué de spasme de douleur et de jouissance...

Et dès que tu auras repris ton souffle, je m'occupe à nouveau de toi...