J'aime bien de temps à autre montrer les plaisirs particuliers qu'éprouvent les chiennes que je drague lorsque vient le moment de l'extase sexuelle après que je les ai travaillées à fond...

A cet instant ces pétasses sont devenues de simples objets sexuels, au point de leur faire accepter l'impensable.. 

Car c'est bien de la jouissance sexuelle qu'elles éprouvent au moment précis où je les prends en photo.

Si mes partenaires gueulent en se tortillant, elles mouillent en même temps.

Leur foutre de femelles soumises coule entre leurs cuisses secouées de spasmes violents . 

Et leurs larmes ne sont pas seulement de dégoût d'elles-même, mais aussi l'expression de leur besoin inconscient de subir encore plus de domination masculine. 

D'être confrontées à du sexe de plus en plus crade et méchant. 

Je vous présente pour commencer Emilie.

Après lui avoir serré les seins, et l'avoir fouettée sur tous les corps en insistant particulièrement sur ses parties intimes, je m'occupe sévèrement de sa chatte.

La garce adore !

Nadine, une autre de mes conquète, j'ai eu envie de percer ses petits seins...

Je les torture sans pitié après les avoir emprisonné dans une corde le temps que je la baise par son petit cul.

Apprécie-t-elle la torture mammaire ?

Je n'en suis pas certain.

Mais de toute manière, cette fille fait toujours la gueule !

Je viens d'en finir avec Martine... 

Voici une bonne vraie salope !

Cette femelle toujours en manque de sexe ne refuse jamais aucun excès.

Un véritable plaisir de la travailler sévèrement...

Nadia, ma boniche sexuelle, je l'ai forcée à pisser dans ce pot et à boire son urine à peine sorti de son ventre. 

C'est lorsqu'elle a tout vomi que j'ai le plus kiffé...

J'en ai profité pour la tringler par sa chatte et par son cul à grands coups de bite !

Concernant Jeanne, je dois dire que j'ai eu une envie totale de lui brûler les endroits les plus intimes

Cela a commencé sauvagement par les seins et les tétons. Puis j'ai attaqué sa chatte en écartant bien les lèvres pour que la cire liquide lui brûle le vagin.

J'ai martyrisé son anus en ouvrant au maximum de petit trou avec les doigts...

Ensuite, comme vous le voyez, j'ai torturé sa langue qui articule habituellement tellement de paroles prétentieuses.

Pauvre conne !

Claire est une petite garce qui se croit tout permis.

J'éprouve du plaisir tout particulier à lui frapper sévèrement les seins et l'entre-cuisses avec ce baton.

Lorsque je lui défoncerai le minou à grands coups de bite, la douleur qui lui vrillera le sexe jusqu'à l'intérieur du ventre lui fera oublier le plaisir de la baise qu'elle espérait éprouver...

Caroline est une fille sympa.

Si je la maltraite c'est sans autre raison que l'envie de lui faire du mal tout en la possédant comme la sale pute que je voudrais qu'elle devienne.

Mais elle restera toujours, je pense, un petit animal maltraité...

Agnés, c'est pareil...

Je la brûle par ses parties intimes de femelle docile et je lui martysise les seins par unique besoin de faire le mal avant de niquer...

Comme il y a des femelles têtes à claques, il y a des femelles faites pour être humiliées et maltraitées...

Les toutes petites manelles de Christelle, je les sers comme au maximum possible...

La souffrance que j'occasionne entre ses cuisses, entre ses fesses est tellement intense qu'elle risque fort de défaillir...

Elle voudrait crier, la pétasse, elle ne peux qu'implorer du regard un peu de répit que je le lui accorde pas.

Christelle, tu vas encore déguster.

Imbécile, essaies de te détendre un peu...

Une prochaine fois, je continuerai à vous présenter mes victimes consententes, enfin a peu prés consententes...

Vous aussi, amusez vous bien avec les femelles que vous draguez.

Avant de les baiser bien sûr...