Je suis la femme du patron et quiconque veux me piquer mon homme doit en payer le prix fort.
Cette salope a voulu me faire cocue mon homme. Je l'ai surprise, la garce, occupée de se faire mettre par mon chéri dans son bureau.
Terminé le bon job agréable.
Je lui ai donné un nouveau travail : nettoyer les chiottes.
Et je veux qu'elle les astique chaque jour à a moitié à poil, un god dans le cul... que chaque mec qui la veut la nique comme il veux.
Ce matin je ne peux m'empêcher de venir voir cette pétasse bosser. j'en profite pour lui faire subir des sévices salaces qui vont lui faire souvenir que c'est moi la seule femme du patron.
Et qu'elle n'attende pas d'aide de lui, il s'en fout !
Ma salope de rivale ne souffrira jamais assez.
Elle ne sera jamais assez humilié, cette poufiasse de salope !
Je la hais !
Je veux dilater son cul jusqu'à lui déchirer son anus.
La pétasse est à moi, elle va souffrir.
Allongée sur le carrelage froid des chiottes, je lui fiste son orifice anale au dela de toute souffrance.
La fille étouffe ses cris de douleur, la salope, pour ne pas rameuter tout le monde.
J'en profite...
Pas loin des chiottes, il y a l'infirmerie, c'est dans le lit médical que je continue de m'occuper d'elle.
Je la viole par le cul, sans pitié, avec un max de sauvagerie
Lorsque j'en ai fini avec cette petite pute, je ne la laisse pas tranquille pour autant.
Je la met à disposition du premier salaud qui voudra d'elle.
La garce attends une bonne demi heure avant qu'un homme arrive.
L'inconnu veut, bien sûr profiter de la bonne occasion de baiser une femelle appétissante...
J'ai envie d'en profiter aussi pour prendre un peu de plaisir.
Cette salope n'a que ce qu'elle mérite.
Et c'est loin d'être terminé pour elle.
Elle devrait démissionner de son poste.
Mais même si c'est le cas, je ne la laisserais pas tranquille...
Elle m'appartient maintenant et je vais en faire mon esclave sexuelle sado maso...
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