C'est une soirée entre amis chez une vague connaissance.

Je ne connais pas plus que ça les participants, mais l'ambiance est agréable et les gens sympathiques.

Il y a beaucoup de plaisanteries et de rires. je passe un bon moment.

Je suis venue seule, plusieurs hommes m'on fait du gringue, mais je n'ai pas envie de débuter une relation amoureuse.

Je me sens bien célibataire.

A un certain moment quelqu'un lance une plaisanterie graveuleuse à mon encontre.

Elle concerne ma poitrine qui forme une avantageuse avancée à travers mon chemisier et mes cuisses mises en valeur par ma jupe courte.

Je répond un peu dédaigneusement c'est vrais.

Aussitôt je ressent une certaine accrimonie à mon égard.

Je crois bien que je risque de gâcher la fête.

Un homme me défie d'oser me mettre nue devant tout le monde.

Je ne veux pas le faire, mais plusieurs autres hommes insistent, me poussent à le faire.

Alors pour ne pas tout gacher, je m'exécute à contre coeur, très gênée.

C'est alors que la situation dérape totalement.

Plusieurs hommes très excités s'emparent d'une autre jeune femme et la caressent sans ménagement, contre sa volonté.

La fille a beau protester, pleurer à moitié, rien n'y fait !

Elle est vite mise à nue pendant qu'autour d'elle des mecs osent lui pétrir les seins, glisser leur main entre ses cuisses qui n'a plus la culotte pour protéger son intimité...

Nous sommes jetée toutes deux sur des canapés.

Et alors nous subissons la fureur sexuelle innomable des mâles saisies d'une folie sado maso incontrôlable

Je sens le sexe de mon agresseur aller et venir furieusement dans mon vagin, profondément dans mon ventre.

Une boule est enfoncée dans ma bouche pour me faire taire.

Elle m'empêche de respirer convenablement et j'ai peur de m'étouffer.

Je regarde l'autre fille devant moi.

Un homme la besogne sauvagement pendant qu'un autre la contraint à pomper son sexe en érection.

Des larmes coulent sur ses joues, mais elle ne peut lutter...

C'est une soirée d'enfer sexuel sado maso que nous vivons alors avec horreur, ma compagne d'infortune et moi.

La pauvre fille et moi, nous ne sortirons pas indemnes de cette terrible mésaventure.

Nous ne sommes pas seulement blessées physiquement par les brutalités sexuelle que nous avons subis.

Nous sommes aussi humiliées en tant que femmes.

Le plus horrible est que nous n'avons pas pu nous empêcher de jouir à certains moments.

Et puis, je me rend compte que je dois être une salope, car je n'ai pas détesté le traitement horrible qui m'a été infligé...