"Salope, tu m'a trompée avec un de tes collègues de boulot."

Je les surprends, cette pute et son amant au pieu, dans notre lit, en train de baiser comme des dingues alors que je rentre plus tôt que prévu du boulot.

Cette garce va le payer chèrement.

Hors de question que je sois cocu sans réagir...

"Tu peux pleurnicher, garce, tu vas salement déguster."

"Regarde ton connard d'amant qui se débine la queue entre les jambes." 

"Tu as laissé tes instincts de salope en chaleur prendre le dessus sur ta condition d'épouse fidèle."

"Et bien je te jette en pature aux appétits sexuels sauvages d'inconnus pervers dans un bordel sordide."

"Ils vont tous te niquer comme la dernière des putains sado maso...."

Tu n'es pas fière, là, maintenant, utilisée par tous ces types assoiffés de sexe...

Tu peux supplier et pleurnicher autant que tu veux. Je ne veux rien entendre de tes excuses à la con. 

Je veux qu'ils te défoncent, qu'ils te déchirent.

"Torturez là, brourrez là par tous ses trous de garce..."

"Défoulez-vous!..."

Ils vont s'occuper pendant des heures encore de tes intimités.

Ils vont te maltraiter avec cruauté.

Ils vont te soigner afin que tu ne sois plus poussée par ton instinct de femelle perverse à te transformer en vulgaire chienne en chaleur.

Tu continues de les implorer d'arrêter de te faire souffrir.

Tu ne vas réussir qu'à les pousser à te faire subir davantage de perversions sadiques.

"Mais oui, sale pute ! Tu peux me jurer autant que tu veux que tu ne te laisseras plus guider par ton bas ventre, mais je ne veux plus rien savoir..."

"Je ne t'écoute pas."

"D'autant moins que moi, saletée de pouffiasse,  je constate que tu continues à jouir comme une putain des rues."

Tu n'en peux plus de plaisir crades pendant que tous ces inconnus violent tes orifices trempés de ton foutre de femelle tordue du cul.