Je trouve qu'on fait trop souvent l'amour comme un vieux couple Magalie et moi.

Et j'en arrive à vouloir la baiser autrement en exprimant mes fantasmes, ce qu'elle n'est pas petre à accepter facilement.

Cette fois j'exige de ma chérie trop bourgeoise qu'elle se plie à mes exigences sexuelles.

Pas sûr du tout qu'elle apprécie ce que je lui impose , mais quant je veux quelque chose je l'obtiens.

Magalie une fois encore accepte d'être prise comme je veux sexuels, malgré ses réticences de femme sage.

Regardez la, ma belle salope se faire durement posseder.

Elle ne sait plus où elle en est à force d'humiliation.

Et tout en me connaissant bien, elle n'est pas plus rassurée que ça face à mon envie de la malmener avent de la niquer sauvagement.

Faut dire que j'ai des envies de sexe vraiment tordues lorsque ça me prend de l'utiliser pour assouvir mes pulsions vicieuses.

Je sais que tu veux que je te fasse l'amour tendrement ou que je te laisse tranquille...

Mais je m'en fiche et je vais t'utiliser comme je veux pour te forcer à jouir comme une salope dans la souffrance !

Je veux continuer de faire de toi le jouet sexuel qui me sert à expérimenter mes penchants  les plus avilissants.

Ne fais pas la gueule, Nadège, détends toi. 

Si tu ne me satisfait pas,  je vais devenir vraiment méchant avec toi.

Je veux te niquer durement, te défoncer, comme jamais tu ne l'a été par aucun de tes mecs précédents...

Tu as tord de me résister, mais j'adore ça.

Plus tu résistes, et plus je te l'enfonce profond, ma bite, dans ta gorge.

Cette fois, je veux aller au bout de mon fantasme et te posséder sans pitié... 

Toi qui n'aime ni être dominée  et encore moins te faire enculer.

Et bien tu vas poirauter comme ça à poil, offerte, attachée au pieu un bon moment...

Avant que je vienne te chevaucher et enfoncer mon pieu entre tes fesses, dans ton cul.

Tu chiales comme une trouillarde.

Tu protestes comme une conne.

Tu gueules que c'est un cas de séparation.

Je n'en ai rien à foutre !

Pour le moment tu es entièrement à moi, à ma merci !

Trop bon ton petit cul bien serré que je dois forcer...

Un vrai bonheur que de le bourrer à grands coups de queue !

Je veux te posséder comme une pute soumise à chaque fois que je veux te niquer salement. 

C'est à prendre ou à laisser. 

Sinon, tu peux te casser !

Mais je sais que tu resteras et que je t'aurais encore tant que je l'exige avec d'autres fantasmes sexuels bien crade et violent.

Tu es ma bonne chienne qui ne peux rien refuser à son maître.