J'en profite, lorsque nos parents ne sont pas là.

Je récupère ma salope de soeur et je m'occupe d'elle. J'assouvie mes pulsions sexuelles en la soumettant à toutes mes envies de sexe crade et brutal.

Je maltraite ma soeur où qu'elle soit dans la maison et je l'entraine généralement dans le séjour.

Dès que je l'aggrippe elle sait à force à quoi s'en tenir.  

Elle se rebelle bien sûr, parce que, quant même, on est frère et soeur.

Néanmoins, c'est sans doute plus par principe qu'autre chose.

Et puis elle sait que je suis plus fort, que je vais la soumettre avant de la niquer sauvagement.

Je la jette au sol ou sur la table.

Je la fiche à poil en l'immobilisant comme je peux, car elle se débat comme une petite furie, la pétasse.

Je l'attache le plus souvent pour qu'elle soit totalement à ma merci et je m'amuse à torturer son corps de gamine déjà bien formée.

 J'adore !

Regardez, cette fois, je l'ai emballée comme un jouet sexuel et je l'empêche de respirer convenablement.

La première fois que je l'ai enculée, elle a poussé des cris qui ont résonnés dans toute la maison et elle a chialée pendant au moins une heure.

Mais maintenant je glisse fréquemment ma bite entre ses petites fesses pour m'enfoncer dans son anus étroit qu'elle serre tant qu'elle peut.

Je lime férocement son fion à m'en claquer les couilles dans sa raie.

Ma soeur souffle de plus en plus fort avec des ronronnements rauques de plus en plus courts de jeune chatte en chaleur.

A chaque nouvelle séance de domination sexuelle, j'invente d'autres pratiques brutales et toujours plus perverses.

Nos séances de sexe la laissent épuisée, souillée, les orifices, le ventre, les seins douloureux à force d'être maltraités.

Je ne sais pas si elle aime ou pas ce que je lui fais.

Je m'en fout en fait. Je prends mon plaisir comme je veux sans lui demander son avis.

Si nos parents savaient, ils deviendraient dingues !

Ils n'en sauront jamais rien.

Ma soeur a peut être honte ou est peut être amoureuse de moi.

Ou elle devient accros au sado maso...