Jeudi 23 janvier 4 23 /01 /Jan 18:30

 

 

En temps normal, je vous jure que c'est vrai, je suis un homme tout ce qu'il y a de plus "normal".

Je suis marié avec des enfants. Je me prends une maîtresse parfois pour pimenter ma vie sexuelle.

Tout le monde me concidère comme un mec comme il faut.

Tout serait parfait si régulièrement je ressentais si souvent ce besoin irrépréssible de devenir le jouet sexuel d'autres hommes.

 

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C'est pour avoir répondu à une invitation explicite sur internet que je me retrouve ici, attaché nu, à la merci des ordres pervers d'inconnus en mal de sexe brutal...


 

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Je sens l'imposant crochet entrer en moi, dans mon intimité anale en forçant le passage qui ne veut pas céder...

Le métal me fait mal et incroyablement du bien en s'insérant en moi. Le crochet dilate l'intérieur de mon cul, fait prendre à mon intimité anale la forme du crochet

 

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Je suis leur lopette comme ils disent. 

Ils profitent de moi sans gêne ni limites.

Mais je ressens plus de plaisir que de honte...

 

 

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Ils m'ont attaché à nouveau et il y a cet homme qui me sodomise à grand coup de bite profondément enfoncé dans mon ventre en incessant vas et viens brutaux...

 

 

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Je sais qu'ils vont abuser de moi le temps que tout leur plaisir ne sera pas obtenu de moi.

Ce que c'est bon d'être ainsi l'ojet sexuel de mecs qui veulent profiter de moi au delà de toutes limites...

Ce sera dure de ne rien laisser paraître de ce que je subis à ma femme lorsque je renterais à la maison...


 

Par Le Pierre - Publié dans : Sexe entre hommes - Communauté : Sexe brutal.
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Commentaires

Notre ami Paul est venu nous rendre visite.
Il revient de 15 jours de vacances. Toujours musclé, le corps trapu, il m’a toujours impressionné par sa capacité à
s’exhiber totalement devant n’importe qui.
Sa calvitie bien avancée n’a pas atténué sa capacité sportive et son besoin de plaire.

Ma femme Nadia apprécie son humour décalé. Elle ne le trouve pas beau, mais lui reconnaît un beau regard.

Il est arrivé en fin de semaine. Amateur tout comme moi de vin fin, il nous avait offert une bonne bouteille. Pour
fêter sa venue, nous avons commencé par prendre un superbe apéritif.
Le vin coulait à flot, et l’atmosphère se réchauffait aussi vite que nos esprits s’enflammaient.

Malgré le froid extérieur, je claironnais que j’allais finir par un digestif dans la piscine.
Un verre à la main, je me suis déshabillé entièrement pour entrer dans la piscine. J’oubliais, alcool aidant, que je
portais ma cage de chasteté.
Nadia lui proposa de me rejoindre. Quand il me vit dans l’eau, il s’est rendu compte que je portais une cage. Mon
épouse, en s’approchant de la piscine avec des linges de bain, lui expliqua, l’air amusé
- Karim porte une cage car il le veut. C’est mon petit soumis et cocu.
Paul riait car il croyait à une plaisanterie
J’étais rouge de honte et vite dégrisé. Il m’a fallu montrer l’objet du délit. J’ai du avouer que j’étais bisexuel,
j’aimais le SM, et que j’aimais ma femme au point de lui laisser toute liberté.
Ma femme ne voulait pas parler de mon statut de cocu, pour ne pas donner des idées à Paul. C’était mal connaître
Paul.
Mon ami, devinant le trouble et l’embarras de Nadia, agit comme un chasseur ayant trouvé sa proie et ne voulant
pas la laisser perdre.

Il proposa à Nadia de venir dans la piscine. Elle refusa car elle avait froid. Paul sortit de l’eau avant que ma belle
s’en retourne à l’intérieur. La vue de son sexe en érection stoppa net mon épouse. Il lui demanda, en plongeant ses
beaux yeux bleus dans ceux de ma chérie, de l’essuyer. Elle s’avança timidement. Il la questionnait à voix basse, lui demandant si elle me cocufiait. Ma femme restait immobile, comme figée. Elle répondait dans un murmure.
Personne ne comprenait. Sortant de l’eau, je poussais Paul en lui disant « Embrasse-la, elle déteste qu’on lui
demande l’autorisation ! »
Paul ne réfléchit plus. Il se lance dans un long baiser. Avec surprise pour moi, je vis Nadia lui rendre et mettre ses
mains autour de son cou. Le temps semblait s’arrêter. Ils s’embrassaient si tendrement qu’ils en étaient que plus
beaux.
Paul prenait la tête de ma femme pour mieux l’embrasser. Elle lui caressait le torse, et effleurait sans cesse son sexe.
Mon ami ne restait pas inactif. De sa main gauche, il remontait la robe au dessus des fesses, découvrant avec
stupeur l’absence de string. Sa main droite pétrissait les seins.
Ma chérie s’écarta comme pour reprendre son souffle. Elle fit tomber la robe et apparut nue, dans toute sa beauté.
Paul s’approcha d’elle et la fit se mettre sur le dos. Il s’avança à genoux entre ses cuisses et entreprit de lécher le
sexe de ma femme. Elle s’arc boutait pour mieux profiter de cet instant. Tantôt, elle se tenait les seins, tantôt ses
mains se portaient sur la tête de son amant, comme pour mieux le guider. Dans un superbe râle, ma femme jouit.
Paul se redressa aussitôt et présenta son sexe bandé à l’entrée de sa chatte. Dans une invitation muette, elle le tira
vers elle pour qu’il s’enfonce. Paul prit son temps et s’enfonça lentement, déclenchant une jouissance immédiate.
Il ne lui laissa pas le temps de reprendre son souffle. Il pilonnait mon amour avec une force incroyable. Il alternait
les positions.
C’est debout que Nadia, jambes nouées dans son dos, les fesses contre le mur, accueillit l’orgasme de notre ami. Il
se déversa en elle en spasmes successifs. Il semblait ne jamais arrêter de se déverser dans la chatte de ma femme.
Paul fut le premier à se souvenir de mon existence. Je n’avais pas débandé depuis le début de leur accouplement.
Mon érection, comprimée par la cage, me faisait mal.
Paul me demanda de venir récolter le fruit de sa jouissance. Nadia me fit m’allonger sur le sol, avant de venir
s’accroupir sur mon visage m’offrant sa chatte béante à lécher. Le sperme commençait à couler. Je m’empressais de tout lécher, m’attardant sur les lèvres gonflées. La semence s’écoulait lentement, me permettant de bien profiter de cette chatte. L’odeur m’enivrait presque.
Nadia se mit à gémir.
Mais Paul ne l’entendait pas de cette oreille. Il était devenu le maître du jeu. Cette femelle lui appartenait. Lui seul devait lui donner du plaisir. Il nous fit donc nous relever.
Il m’ordonna de lui rendre sa vigueur. Je m’approchais du sexe flasque et le pris en bouche J’entrepris de lui faire
une fellation qui permettrait à ma belle de bien profiter de ce sexe.
En pleine érection, il demanda à ma tendre de se retirer dans notre chambre avec lui pendant que je rangerai la
maison.
Une heure après, la maison enfin rangée, je suis monté vers notre chambre. La porte était ouverte. Nadia, à quatre
pattes, subissait les assauts de son amant. Paul semblait infatigable.
Je me suis retiré pour aller dormir, comme ils me l’avaient demandé, dans la chambre d’amis…
commentaire n° :1 posté par : lailatvx le: 24/01/2014 à 05h27
J'aimerai vivre cela..!!!!
commentaire n° :2 posté par : pauline la tafiole le: 30/08/2014 à 14h45
Karim mon mari esclave
Mon mari Karim (lailatvx sur le net) et moi, nous formons un vrai couple depuis 10 ans. Notre vie sexuelle est épanouie, et je prends plaisir à le sucer autant qu'à me faire sucer et enculer. Mais dernièrement, tout a basculé suite à une vantardise de sa part : Je te parie qu'on peut baiser pendant une heure d'affilée sans que je débande ! Prétendait-il.
Moi, je doutais un peu. Il m'a limée, avec sa petite queue bien droite et fine, mais pas durant une heure car il a vite joui en quelques secondes. Au fait, c’est un éjaculateur précoce !
Total en gage, j'ai eu le droit de lui demander ce qui me plaisait.
- Karim, je vais t'habiller en femelle et tu m'obéiras en tout ! Tu seras ma petite pute à queue !
Mon mari faisait la grimace. Je l'ai fait mettre nu, je l'ai lavé partout, et j'ai déballé mes sous-vêtements. J'ai étiré un slip en dentelles sous son nez. Une fois en érection maximale, j'ai accroché le slip au bout de sa bite pour l'humilier. "Ta queue sera comme un portemanteau", lui ai-je dit. Alors Karim a rougi comme un gamin. Amusée, j'ai pris le slip par ses extrémités et j'en ai fait une sorte d'élastique passé autour de la queue de mon homme.
J'ai cisaillé son membre en tirant le slip par les deux bouts. Karim gémissait et me demandait d'arrêter. "Non, tu dois m'obéir en tout! ". II a compris et s'est calmé, alors je l'ai fait mettre à quatre pattes. J'ai doigté son anus en le félicitant d’avoir une si belle croupe, et puis même jeu avec le slip tendu comme un élastique.
Chaque fois que je passais et repassais ce bout de tissu entre ses fesses, il couinait très fort. Finalement, je le lui ai fait enfiler. J'ai complété avec des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge. Je l'ai emmené devant la glace, et là, je l'ai peloté. II bandait si dur que mon pauvre petit slip était prêt à se déchirer. Je n’en revenais pas, mon mec était une vraie salope !
Pour le calmer, je suis allée prendre le plumeau, à manche de bambou et je lui ai donné vingt coups sur le cul. Il se trémoussait, de larges zébrures rouges le marquaient sur les fesses. Je me suis calmée, le temps de me mettre nue. "Karim, vilain petit chien, lèche ta maîtresse !" II a dû faire le beau entre mes cuisses et me donner de grands coups de langue dans la chatte. J’étais léchée, lâchée et toute excitée…
J'écartais mes lèvres et mes nymphes pour lui rendre l'accès facile. Puis, je me suis retournée, penchée en avant, et j'ai posé ma lune bien en chair sur sa bouche d'esclave. "Suce et lèche, petit sale pédé, enfonce ta langue dans le trou de ta maîtresse ! ".
Mon époux a obéi, pour la première fois sa langue glissait dans mon anus dilaté de plaisir. J'ai écarté mes fesses à deux mains pour mieux jouir de cette caresse baveuse. En même temps, je me branlais par-devant et ma tige d'amour se gondolait, toute rose. J'ai pressé ce petit sexe en érection jusqu'à ce qu'il devienne douloureux, alors je l'ai simplement titillé du bout des doigts et j'ai joui.
Mon jus coulait entre mes cuisses, dans mes poils. Je me suis retournée à temps pour pose ma fente sur la bouche de Karim et lui ordonner de me boire. II a bien nettoyé ma fente juteuse, alors je lui ai accordé une caresse sur la joue.
Je me prenais à fond au jeu puisque, lui aussi, apparemment adorait cela… j’en rajoutais alors…
Karim reçut l'ordre de faire la vaisselle, le ménage, de nettoyer la salle de bain, le tout en petite tenue. II était mignon, son cul moulé par mon slip de dentelle, sa queue en érection, et ses cuisses gainées de nylon. J'ai passé l'inspection, déniché une tasse mal lavée, ce qui lui a valu vingt coups de manche en bambou. II se tortillait de douleur, moi je frappais très dur, je jouissais debout, rien qu'à voir mon homme réduit à l'état de soubrette.
J’avais une terrible envie de le battre qui me faisait me mordre les lèvres, J'ai dégrafé son soutif et sucé ses tétons qui ont durci. Alors, je les ai cinglés avec l'extrémité du manche, et cette fois, Karim s'est écroulé à mes pieds. II m'a supplié d'arrêter.
Je lui ai fait grâce et je lui ai dit de s'allonger sur le lit. Je lui ai retiré son slip et j'ai sucé son gland. Je titillais le méat du bout de ma langue et puis je m'enfonçais ce manche dans le gosier jusqu'à ce que ses couilles me caressent le menton. J'ai bien joué avec ma "poupée mâle", et puis je me suis emmanchée sur sa petite bite luisante de salive. J'ai chevauché mon esclave de face, en l'autorisant à me travailler délicatement le bout des seins. II s'est appliqué et m'a fait jouir très fort.
Depuis ce jour, mon mari me supplie de le travestir en femme et de le commander. II supporte de mieux en mieux les punitions, la cravache (que je viens d'acheter), et accepte même sans rechigner de se mettre au service de mes amies intimes.

Dernièrement, avec mon amie Jamila, nous avions passé l'après midi à nous distraire avec Karim. Il avait d'abord fait le ménage en tenue de soubrette pendant que nous faisions l'amour toutes les deux dans la chambre. (Jamila est une superbe blonde de 30 ans très portée sur les femmes) ensuite nous avons "inspecté" le travail effectué par notre "bonniche" et, bien sur, nous avons trouvé plein de choses à redire ! Nous lui avons donc infligé une punition de 50 coups de cravache. Karim voulut discuter comme quoi c'était trop, mais Jamila lui dit "Un mot de plus et ce sera 100 coups" il se tût immédiatement et sur mon ordre, il se mit en position sur « le punissoir ». Il s'agit d'un banc assez haut au-dessus duquel il peut se plier. On attache ensuite ses chevilles écartées aux montants d'un des cotés et ses poignets de l'autre coté. Son cul est alors offert et nous pouvons donner libre cours à nos envies de le maltraiter. Le petit salaud ne se plaint d'ailleurs pas souvent de cet "accessoire" puisque c'est lui qui l'a construit. Une fois encore, nous avons eu la preuve que mon esclave était excité par ce qui allait lui arriver car il bandait comme un Turc. (Si ce n'est la dimension de son engin qui n'est pas vraiment comparable à un Turc.)

Avec Jamila, nous nous sommes partagé les 50 coups en riant et en nous efforçant de bien marquer ce joli cul offert à notre sévérité. Alors que nous arrivions au bout des 50 coups et que le cul de mon chéri était bien rouge et marqué, ce petit salaud se mit à éjaculer en grognant comme un porc et sans même s’être masturbé. Nous étions à la fois ravies de l'avoir fait jouir comme ça et très en colère qu'il n'ait pas demandé l'autorisation de jouir. Nous avons ensuite pris le thé, excitées comme tout, et après nous avoir servi, nous avons mis Karim au coin, les mains sur la tête, la jupette relevée pour exhiber son cul bien zébré.

Au cours de la discussion, Jamila me dit soudainement : "Ma chérie, tu sais que je ne raffole pas des hommes, mais je sais que toi, tu les aimes. Maintenant que tu as une bonniche à la place d'un mari, il serait temps que tu prennes un amant pour satisfaire tes envies. D'autant plus que si ta lopette jouit à chaque fois que tu lui caresses les fesses avec la cravache, il ne pourra jamais te satisfaire."
Je n'avais jamais pensé à ça jusque là, mais cette idée me fit aussitôt mouiller. Je répondis aussitôt : "C'est une bonne idée que tu as là, c’est que maintenant ce n’est plus vraiment un homme."

En tournant la tête vers le coin où mon époux était en pénitence, je lui dis de venir à mes pieds. Je n'étais pas certaine encore de vouloir risquer mon mariage (j'aime toujours beaucoup mon mari Karim) mais alors que mon esclave arrivait vers moi à 4 pattes, la tête baissée, je vis qu'il avait recommencé à bander. Le petit salaud, il bandait alors qu'on était en train d'évoquer l'idée de le faire cocu. Jamila ne manqua pas de remarquer cet état de fait et déclara : « Et en plus, ça fait bander ta lopette de savoir qu'il va être cocu ! ».
J’étais subjuguée de voir mon mari si bas, je pensais à toutes ces années auprès de lui où je ne soupçonnais pas ses attirances, à mes yeux il tombait bien bas, je n’avais plus de respect pour ce sous homme, une nouvelle ère s’ouvrait pour moi de liberté et de plaisir épanoui… Je m'adossais au canapé en ouvrant mes cuisses au maximum et j'ordonnais à Karim de nettoyer ma chatte trempée à l'idée des grosses bites qui allaient bientôt la pénétrer. Sans un mot, il se mit à l'ouvrage alors que Jamila évoquait des amis à elle très bien montés qu'elle pourrait me présenter. Je commençais à mouiller comme une fontaine sous les coups de langue de mon soumis. Jamila se positionna derrière mon époux qui, à 4 pattes, exhibait son cul rougi et elle lui massa la rosette avec du gel avant de lui entrer un petit gode dans le cul. Durant toute l'opération, Karim continuait son travail de léchage et j'approchais doucement de l'orgasme. Ma copine continuait durant tout ce temps à faire des commentaires salaces qui ne faisaient que m'exciter davantage : « Et puis s'il est sage ce cocu, il aura le droit de préparer ta chatte pour tes amants ».
Elle se mit alors à pistonner l'anus de Karim vigoureusement tout en lui effleurant les couilles de ses ongles en continuant à m'exciter : « Tu vois chérie, quand tu auras trouvé quelques amants vigoureux, ta vie sera parfaite : satisfaction sexuelle garantie et un petit toutou soumis pour t'entretenir et te faire la vie belle pendant ce temps ».
Au même moment, j'explosais en arrosant le visage de mon esclave de mon jus et lui se répandit misérablement sur le tapis, sans se masturber. Nous l'avons insulté de s'être laissé aller comme ça et l
commentaire n° :3 posté par : lailatvx le: 30/08/2014 à 16h53
je suis passif 'j'aimerai bien trouver 2 ou 3 males pour medefonce comme j'ai envie je suis du lot 46 si celavous dit un trou dispos vous attend sans retenu
commentaire n° :4 posté par : granval le: 27/06/2015 à 18h15

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  • : 27/11/2009

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