Le souffle court, je caresse la queue de
l'homme, la suçant et l'aspirant pour lui donner le maximum de plaisir... Je sens son sexe se gonfler au maximum, indice de son imminente éjaculation et je l'entends grogner " la bonne chienne,
elle y met du cœur "
Les secondes s'égrènent, interminables, comme autant de coups de
fouet. Va t'il enfin jouir ?!
C'est très long à venir... Mais les spectateurs me laissent
quand même finir le travail. On ne va pas lui couper son plaisir... Je le hais ! Avec un dernier spasme, l'homme se vide enfin dans ma bouche.
J'entends des pas qui s'approchent. On m'enlève le bandeau et je
cligne des yeux. Un inconnu se penche vers moi, m'attrape par les cheveux et me force à le regarder. Je baisse les yeux. Il me souffle dans l'oreille d'un ton menaçant : " maintenant, tu es à moi
pour toute la nuit ".
Il me lâche et je m'effondre par terre, les mains toujours
attachées dans le dos. Depuis vendredi soir, j'ai été attachée, pénétrée de toutes les façons possibles, forcée, fistée, fouettée et battue... Que peut-il bien m'arriver de pire ? Mais je devine
que le sadisme de cet homme à l'aspect mauvais n'a d'égal que sa créativité. Et il m'a gagné pour une nuit entière !
Les autres arrivent autour de nous. Je suis toujours
agenouillée.
Celui que j'ai été obligée de pomper prend une courte laisse en
cuir, l'attache à mon collier et la tend à l'inconnutellement inquiétant qui se prénomme Christophe :
" Elle est à vous. Jusqu'à demain matin 9 heures
".
Je regarde mon homme qui observe dans un coin et qui soudain me
parait lointain, et j'ai peur. Son geste est tellement explicite... Jusqu'au lendemain, j'appartiens à Christophe. il lui délègue le pouvoir sur moi, ce malade peut me faire ce qu'il veut
!
Un cri de frayeur sort de ma gorge au moment ou Christophe, attrapant la laisse, tire un petit coup sec sur celle-ci en m'ordonnant " debout ". Il m'entraîne derrière lui, sous les regards goguenards des autres.
Yves, le propriétaire des lieux et celui qui semble le plus ami
avec Christophe lui jette au passage négligemment " Ne l'abime pas trop... Faut la rendre à son mec demain soir ! ". Cette phrase déclenche un éclat de rire général et Christophe répond avec un
petit haussement d'épaules " Je vais faire un effort ! ". Nouvel éclat de rire puis nous quittons la pièce.
Je le suis avec terreur. Il m'entraîne dans des couloirs qui me
semblent interminables. Cette bâtisse est immense en réalité, ce que je prenais pour une maison est plutôt un labyrinthe !
Nous arrivons dans une partie reculée, qui semble constituer un
petit appartement isolé. Manifestement le logement de Christophe. Il me jette enfin un œil et me dit négligemment : "Bienvenue chez moi. Comme tu le vois, nous serons totalement tranquilles ici :
tu pourras crier tout ton saoul... Enfin : si je t'en laisse la possibilité ! ".
Puis il appui sur un bouton fixé dans le mur. Quelques secondes
après, une soumise apparait. Elle est grande, brune, avec les cheveux longs, des petits seins et des jambes fines. Et belle. Elle ne porte qu'un collier et un voile vaporeux noué autour de la
taille, qui laisse transparaitre son cul rebondi. Christophe lui confie la laisse et lui dit " Talya, prépare la pour ce soir. Comme d'habitude. Tu sais ce que tu as à faire ".
Les yeux baissés, la soumise répond " oui Maître ". Puis attrape la laisse et
m'emmène.
Christophe disparait de ma vue pendant que je la suis dans un couloir.
Elle m'entraîne dans une salle de bain, où elle me débarrasse de
mes liens, collier et menottes, non sans avoir au préalable refixé une chaine à ma cheville. Cette chaine est attachée au sol au milieu de la pièce. Talya pose soigneusement la clé hors de ma
portée. Ce lien, cette contrainte permanente que je sens sur moi, produit un effet psychologique, me rappelant sans cesse mon état de soumise.
La fille me jette un ordre " dans la douche " , délimité par un
grand espace carrelé à même le sol.
J'y rentre en trainant ma chaine. Elle me mouille puis me
savonne, ne me laissant aucune initiative. Elle insiste sur mes parties intimes, jouant à me décalotter le clitoris, l'excitant en le frottant, puis me fourre les doigts dans la chatte, avant de
me caresser voluptueusement l'anus. Je gémis sous ses caresses et elle a un petit sourire en me disant " on dirait que ça te plait ? ".
" Oui " j'halète sous ses caresses. Elle prend bien
soin de m'exciter mais de ne pas me faire jouir... J'en profite pour tenter de lui
soutirer quelques renseignements " tu as déjà passé la nuit entière au service de Christophe ? "
" Oui comme toi, à mon arrivée ici ".
N'y tenant plus, je lance un : " il t'as fait quoi ? "
Malheureusement, sa réponse ne m'éclaire pas et ne me rassure pas
non plus ! " Maître Christophe n'a pas de limites : il s'amusera de toi et de ton corps comme il le souhaitera. il peut te conduire aux plaisirs les plus extrêmes ou faire de cette période ton
pire cauchemar, cela dépendra de toi. Obéis-lui et soumets toi, c'est ce que tu as de mieux à faire ".
Sidérée, je me tais. Elle me lave les cheveux, me sèche, me
parfume... Puis elle me refixe un collier mais en métal, un cercle rigide comme celui des esclaves, qu'elle ferme avec une autre clé. Impossible de l'ouvrir, encore moins que ceux en cuir. Le
métal est froid, il pèse sur ma gorge. Elle m'orne la cheville droite avec une bande de cuir à laquelle sont fixées des clochettes. "Comme ça, le Maitre saura à chaque minute où tu te trouves" me
précise t'elle.
Elle me détache la cheville et me ramène dans la pièce d'entrée,
ou elle m'attache de nouveau, au collier, avec une chaine dans le mur. Puis en me souhaitant une bonne soirée ( !!! ) elle disparait. Il doit être environ 19 h, d'après mes estimations.
Christophe apparait peu après, me faisant sursauter. Il
s'approche rapidement de moi, une cravache à la main. J'ai un mouvement de recul, dans un bruit de clochettes. Il sourit à ma réaction. " je te fais vraiment peur on dirait
".
Dans un souffle je lui réponds : " Oui Maitre ".
" C'est bien " rajoute t'il : " une soumise craintive est une
soumise réactive ". Et sans préavis, il me donne un coup de cravache, pas très fort mais que j'anticipe dans un hurlement.
Il se met franchement à rire et commence à
m'asticoter de coups de cravache, me frappant ou pas au dernier moment, pendant que
je recule en tentant d'anticiper ses mouvements. Les coups ne sont pas forts en fait, mais ma peur me fait sauter dans tous les sens, ce qui semble beaucoup l'amuser. Enfin il s'arrête et me
regarde avec un air étrange.
Je n'arrive pas à déterminer ce que je vois dans son regard... De l'intérêt ? Du sadisme ? De la tendresse ? Peut être un peu de tout, mais c'est indéfinissable. Il me déboulonne du mur et m'emmène dans une pièce à coté, puis me tenant toujours avec la chaine, il entreprend de me donner des ordres.
" A genoux... Debout... Présente-moi ton cul... Lève les bras...
Ouvre la bouche..." Chaque ordre cingle et s'il n'est pas immédiatement exécuté, il est puni d'un coup de cravache qui n'a plus rien de modéré, me tirant des cris de douleur. Je termine au bout
d'une dizaine de minutes toute essoufflée, le corps zébré de marques rouges.
" Tu n'obéis pas assez vite. Je vais te laisser un peu réfléchir
à ta condition de soumise ".
Il m'emmène vers une grosse bande de bois d'environ
1 m, entaillée de dents sur le coté tourné vers le haut ( on dirait une lame de scie, mais plus épaisse et aux dents moins vives ), horizontale et suspendue par des chaines au plafond. Il la
passe entre mes jambes puis la relève jusqu'à mon sexe, la fixant à la bonne hauteur pour la mettre en tension contre mon corps. Je suis contrainte de me mettre sur la pointe des pieds pour
éviter le contact. il m'attache les poignets à la chaine en face de moi, grâce à une
paire de menottes qui y pendent. il recule et me regarde.
Je comprend vite l'intérêt qu'il a à me faire subir ce système : dès que je descends pour soulager la pointe de mes pieds, les dents de la barre s'enfoncent dans ma chair, me causant une douleur intense. Je n'ai d'autre solution pour y échapper que de me hisser de nouveau sur la pointe des pieds et ainsi de suite... De la perversion à l'état pur. Et évidemment il a fait attention à attacher mes poignets à la hauteur de mes seins mais pas plus haut, ce qui fait que je ne peux même pas me soulager en tirant sur mes bras !
Une barre d'écartement complète le tableau, histoire d'éviter que
je ne me dégage en enjambant l'engin. Une technique digne des pratiques médiévales !
" A tout à l'heure " me dit-il, et sans me laisser
le temps de réagir il quitte la pièce.
Je lutte pour éviter le contact, tentant de rester au maximum sur
la pointe des pieds, mais chaque perte d'équilibre me fait grimacer de douleur. Combien de temps me laisse t'il comme ça ? je n'en sais rien, peut-être une simple demi-heure. Je sais seulement
que quand il revient pour me détacher, j'ai des larmes plein les yeux et je suis à moitié couchée sur l'objet de torture, les crampes dans les mollets m'ayant terrassées. Pour éviter une douleur
trop grande, la seule solution que j'ai trouvé est de répartir mon poids sur toute la longueur, en me couchant sur l'abominable objet.
Il me relève et me détache, puis me dit " tu as compris ?
"
je tombe à genoux devant lui et gémis " oui Maitre, je suis votre
soumise Maître, je suis à votre disposition ".
" tu obéiras ? " me demande t'il encore.
" Oui Maitre ".
" Bien " me dit-il. " Allons manger ". Et me trainant en laisse
dans un bruit de grelots il m'emmène "dîner".
Nous rentrons dans une pièce ou sont réunis les 4 autres
compères. Christophe s'assoit, puis négligemment me fait signe de m'agenouiller et de passer sous la table. il attache ma laisse au pied de sa chaise, comme une chienne, et me dit simplement : "
suce " .
Je passe le repas sous la table, suçant les convives qui me font
signe. Le premier est Denis, qui ouvre son pantalon et sort un sexe déjà gonflé. Je le suce consciencieusement, jusqu'à ce qu'il décharge dans ma bouche. J'avale docilement : j'ai bien compris le
risque à ne pas tout ingérer, et je le nettoie ensuite soigneusement avec ma langue. Pour me remercier, il me jette un bout de pain que je mange rapidement. je meurs de faim ! Les autres se font
sucer à la suite, et pour chaque fellation, on me jette à manger.
J'ai sucé 3 hommes,
Soudain j'entends un claquement de doigts : je me tourne et je vois le pantalon de Christophe se déboutonner. J'arrive et l'embouche avec crainte... S'il n'est pas content, il me le fera payer. Je le lèche, puis j'enfonce son sexe au fond de ma gorge presque jusqu'à m'étouffer, lui offrant des pénétrations buccales aussi profondes que je le peux. Sa main passe sous la table et il m'empoigne la nuque, me forçant à m'enfoncer encore d'avantage... Je tousse et suffoque, il me lâche. Il recommence la manœuvre une dizaine de fois, puis saisi sa queue, la lève et m'ordonne " suce-moi les couilles ". Je les saisi goulument mais avec précaution et je joue avec, allant jusqu'à les gober précautionneusement.
Christophe pousse un grognement de plaisir : je marque un
point... Enfin j'espère ! Il continue de m'agacer avec sa queue pendant un bon moment, je le sens limite de jouir mais à un moment il m'arrache à ma succion brutalement. il ne veut pas se laisser
aller...Probablement pour garder des batteries pour la nuit.
Pour me féliciter, il me pose une assiette par
terre dans laquelle se trouve... Des petits morceaux des restes de leur repas. Je saisis les morceaux péniblement, me servant de mes lèvres, de ma langue, de mes dents,, à 4 pattes aux pieds de mon Maitre d'un soir, sans pourvoir y mettre les mains.
Une fois le repas fini, les hommes se lèvent et se rendent dans
un petit salon adjacent. Christophe m'y traîne, toujours en laisse. Pendant que les hommes s'assoient dans des fauteuils de cuir, je suis positionnée au milieu de la pièce. J'y reste immobile, la
tête baissée, pendant que les maitres des lieux se servent un petit digestif.
Christophe reporte son attention sur moi et claque des doigts en
me disant " à genoux ". Je me jette instantanément par terre.
" wouah quelle efficacité ! " s'exclame l'un d'entre eux. tu lui
as fait quoi ? "
" la cravache et le berceau de Judas ( voilà donc le nom de ce
truc infernal... ) Rien de mieux pour éveiller les sens et la docilité d'une soumise " répond t'il.
Puis il se lève et viens vers moi : "nous allons
faire un petit jeu, puisque tu adores ça !"
Encore ? on a vu où m'a mené le précédent...Christophe me bande les yeux puis me passe une ceinture autour de la taille. Ensuite, il me fait lever et tourner rapidement sur moi-même 4 ou 5 tours. Je ne sais plus ou je suis. il n'y a plus de bruits dans la pièce...je l'entends jeter quelque chose par terre puis il me dit : " on va voir si tu es une bonne chienne de chasse et si tu sais rapporter à ton Maitre : il y a 3 balles par terre. trouve-les et rapporte-les moi mais attention ! Si tu passes trop près de l'un des hommes assis dans cette pièce et qu'il te saisi, tu seras à la merci de ce qu'il aura envie de te faire. Tends l'oreille !
Aveuglée, je pars à 4 pattes en ayant perdu tous mes repères, cherchant désespérément les balles. Je pense éviter les fauteuils mais je bute contre l'un d'eux et en riant l'un des hommes m'attrape. Immédiatement il me tord le bouts des seins, m'arrachant un cri de douleur, puis m'attrapant par les cheveux, il me met en travers de ses genoux et me donne une vigoureuse fessée. Je hurle et prend une bonne dizaine de claques, avant qu'il ne me relâche, le cul rouge. Je pars à l'opposé, essayant de tendre l'oreille pour oublier la douleur de mon postérieur chauffé à blanc, mais je suis gênée par le bruit des clochettes, toujours attachées à ma cheville. Soudain sous mes mains une balle de tennis. Ouf !
" Bien " me dit une voix. " Rapporte ! ". Je me met debout et
d'un pas hésitant, tire le plus droit possible vers la voix. Hélas je bute encore dans un fauteuil et l'homme m'attrape sans ménagement par la ceinture, probablement placée autour de ma taille
pour faciliter la tache des " chasseurs". Sans lâcher la balle, je sens qu'on me fixe des pinces sur les seins, pinces serrées qui m'arrachent des gémissements, puis celui qui me tient m'ordonne
d'écarter les jambes et des pinces saisissent également cruellement les lèvres de mon sexe. L'ensemble est relié par des chainettes que je sens battre contre mon ventre. On me repousse et
j'arrive près d'un autre homme : c'est Christophe, à qui je remets ma balle.
" les autres " ordonne t'il.
Je m'éloigne mais sens une tension sur mes chainettes : ce
sadique a attrapé les liens reliées à mes seins et à mes lèvres au passage. " Alors qu'attends-tu ? " me demande t'il, comme s'il n'y avait aucun problème ! Je tire mais il ne lâche pas...je
comprend ce qu'il souhaite et avec un cri de douleur, j'arrache les pinces en m'éloignant de lui. Mes seins se tendent, la douleur est vive, je tombe à genoux, les larmes me montent aux yeux. Ca
doit être trop lent à ses yeux, car immédiatement, un cinglant coup de cravache sur les reins me remet en mouvement.
Je manque de trébucher sur une deuxième balle. Par chance aucun fauteuil dans le coin ou je me suis dirigée. Je la ramasse et tente de me repérer mais le silence m'entoure..." Maitre ? " je demande à Christophe de se localiser.
" Viens par ici " claque une voix. je me dirige vers le bruit et
me fait attraper par un autre compère qui me saisi par la ceinture, puis au collier. En plus, Christophe triche... je suis sure qu'il s'est déplacé pour me diriger au mauvais
endroit.
Tétanisée par mes deux rencontres précédentes, j'attends la
douleur...Mon agresseur m'insère un doigt lubrifié dans l'anus, puis je sens qu'on m'insère un plug trop gros pour mon orifice. Mais soudain je réalise que le plug prendre du volume dans mon cul
: c'est un modèle gonflable que l'homme pompe rapidement, me dilatant l'anus.
Je supplie : " non non pitié Maitre, je vous en prie, j'ai mal "
mais il me tient fermement par mon collier en métal, me plaquant contre le fauteuil. " Tais-toi chienne ". Son ordre me cingle et j'essaye d'atténuer la douleur en gémissant contre le cuir. Il me
dilate de plus en plus, le plug est entièrement dans mon cul, seule la base en dépasse.
Un fois le plug gonflé au maximum, il me relâche. Je m'éloigne,
marchant difficilement, livrant la deuxième balle à Christophe.
Hélas celui-ci ne se suffit pas de cette dernière... Il me fait
remettre à 4 pattes, et au moment ou je m'éloigne pour aller chercher la troisième, je sens qu'il me retient comme précédemment...Mais par le cul. Il a attrapé la base du plug et le tient
fermement. La douleur me stoppe net. " Avance chienne, va chercher "... Mais si j'avance, mon sphincter sera dilaté au maximum pour laisser sortir le plug, bien gonflé et calé dans mon rectum. Je
tente d'obéir mais impossible, la douleur est trop vive.
" Il va falloir choisir petite chienne " me dit-il puis
rapidement, il me pose une nouvelle paire de pinces sur les seins, mais plus " piquantes " cette fois, et jette l'extrémité de la chainette qui les relient à l'un des compères.
" Ce modèle de pinces" me dit-il " est conçu pour serrer de plus
en plus s'il y a traction ".
Et joignant le geste à la parole, je sens mes seins se tendre
dans une direction et les petites dents des pinces rentrer dans ma peau.
En quelques secondes c'est le supplice : suivre la traction de mes seins et me faire déchirer le cul, ou rester là et me faire déchiqueter la poitrine ?
En criant je tente de m'arracher les pinces, la douleur est trop grande. Je suis immédiatement stoppée et on me fixe les mains dans le dos, puis je suis relâchée, et la contrainte recommence. Je hurle, tombant par terre, tendant mon corps pour tenter d'échapper à la douleur qui me cisaille par les deux bouts...Le plug est un peu sorti mais il est loin d'avoir atteint le maximum de diamètre.
Les hommes exercent une traction de quelques secondes puis lâchent... Pour recommencer plus fort. Je suis limite de perdre connaissance et dans un dernier souffle, j'arrache le plug de mon cul. J'ai l'impression d'être traversée par un obus, un objet géant, j'ai le postérieur déchiré.
Je reste immobile, gémissante, couchée sur le tapis, je ne sens plus mes fesses. Je sens qu'on m'enlève les pinces et qu'on me délie les mains ... Puis Christophe, insensible à ma douleur, me cingle d'un coup de cravache et me dit " il en reste une, va chercher ".
A 4 pattes j'explore le reste de la pièce et fini par trouver la
dernière, cachée au pied d'un meuble. Je reviens vers le centre, en espérant éviter les fauteuils... je ne pourrai pas supporter une autre épreuve comme celle-ci. Hélas je bute encore contre un
fauteuil et j'essaye vraiment de fuir en sautant de coté, mais je me fais saisir par la cheville. Je tire pour m'enfuir et soudain, on m'attrape aussi par les cheveux. Bien joué ! J'ai réussi à
me faire avoir par deux hommes en même temps...
" Tu n'es vraiment pas douée " conclu Christophe, placé juste à
coté : je l'ai loupé de quelques cm. Il prend ma balle, puis me laisse à la merci des deux compères. Les deux me saisissent, m'attachent de nouveau les bras dans le dos, puis l'un d'eux se cale
dans son fauteuil et m'ordonne de le chevaucher, face à lui. Je sens son sexe s'enfoncer dans ma chatte et je découvre par la même occasion que je suis trempée. Il m'attrape par les cheveux, me
penche en avant et je sens le deuxième se positionner derrière... Je vais être prise en double, chose inédite pour moi ! Je n'ai jamais senti de vrai sexe me posséder par les deux orifices en
même temps, seulement des plugs immobiles...
Mais au lieu d'être prise par le cul, ainsi que je m'y attends, je sens le deuxième sexe se présenter à l'entrée de mon vagin, déjà occupé par le premier visiteur. Mon vagin se dilate sous la pression, puis cède et j'accueille la deuxième queue en gémissant sous l'emprise des deux poignes qui me paralysent. Les hommes font des va-et vient puissants et de plus en plus rapides, celui qui est dans mon dos me saisi les poignets et m'immobilise, puis après quelques minutes se retire... Pour se présenter face à mon anus, qu'il entreprend lentement. Je suis déjà ouverte par l'énorme plug et les sodomies à répétition du week-end, la pénétration est facile et rapide : je sens le sexe dressé s'enfoncer en moi, j'entends l'homme pousser un râle de plaisir. Je gémis, l'extase et la douleur se confondent tellement mes orifices ont été sollicités depuis le début de mon séjour.
L'homme derrière moi est très excité et je suis soudain sure que
c'est Josh, qui profite enfin de mon cul librement mis à disposition comme il n'a jamais pu le faire avant. Je reconnais son toucher...Cela me rassure, j'ondule de plus en plus et je sens le
plaisir monter. je suis prête à jouir quand soudain un ordre claque :
" STOP ! ". Dans un bel ensemble, les deux hommes s'arrêtent net
et se retirent.
Christophe m'arrache du fauteuil et s'écrit " elle va jouir la
garce ! je te l'interdis chienne, toutes tes sensations sont sous mon contrôle jusqu'à demain matin 9 h ".
il m'ôte mon bandeau, me relève et me donne quelques claques magistrales sur le clitoris, qui me tirent des cris tellement ce dernier est sensible et gonflé de désir. Puis il m'attache de nouveau à ma laisse en cuir et m'entraine, après avoir souhaité une bonne soirée aux autres.
J'ai le temps de voir en passant dans la pièce voisine d'autres soumises, dont une qui s'agenouille au pieds de mon homme pour finir de le soulager de son excitation. Je la vois du coin de l'œil prendre la belle érection de mon chéri dans sa bouche.
Une pointe de jalousie me traverse...
Un coup sec sur la laisse me rappelle à mes préoccupations immédiates. La tête basse, je suis Christophe, les mains toujours liées dans le dos, dans un bruit de clochettes...
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