Simon me conduisit dans ce lieu étrange. 

La salle était assez grande, les ouvertures dans les murs de pierres permettaient à peine au jour de passer. 

C’était idéal pour dresser les femmes.

 Et je savais que j'avais besoin d'être asservie...

Je me sentis encore plus m’humidifier. 

Simon s’était assis sur le lit, les jambes écartées, une de ses mains tenant toujours la laisse, il tira un coup sec dessus me faisant avancer. 

- Ferme la porte chienne !... Bien, maintenant approche et assied toi devant moi. Lève ta jupe. Ecarte les jambes. Branles toi devant moi !… Voilà…Non ! Ne lève pas la tête ! disait-il en caressant mes cheveux. Maintenant, fais-moi un strip-tease.  

- Oui, maître.

Je commençais à me déshabiller lentement, mais n’enlevais pas ma culotte.

Simon se fâcha, et me balança sur le sol, il écarta mes cuisses, et après m’avoir retiré ma culotte, me fouetta la chatte avec une cravache. 

 Mais il frappait tout en me caressant et mes lèvres vaginales se gonflaient aussi. 

 Tant et si bien qu’à la fin, j’ondulais des hanches ne demandant qu’à être ouverte. 

 Simon m'entraîna contre un mur, dans une espèce d'alcove et m'attacha nue contre les pierres. 

La paroie était froide et rugueuse, blessant ma peau.

Je commençais à avoir sérieusement peur, à craindre pour ce qui allait m'arriver. 

Je savais que Simon était capable du pire pour soumettre une femme à ses caprices sexuels.

Il a commençé à me menacer des pires outrages. A ce moment, la crainte s'est muée en folle terreur. 

Mais il était trop tard pour me défier. Je me trouvais à sa merci. Je devrais tout supporter...

Simon me fit me plier et le plaça dans un jou de bois qui m'effrayait terriblement. 

Mes seins durcis par une certaine forme de jouissance et par l'angoisse qui les étreignant pendaient dans le vide. 

Il attacha à mes tétons des poids qui me firent pleurer de honte et de douleur intense. 

J’avais vraiment mal, même si j’avais aussi envie de couiner comme une truie qu'on mène à l'abatoir.

Simon se dévêtit et se plaça derrière moi. Il me branla longuement, brutalement, avec des doigts dans mon vagin, d'autres dans mon anus. 

Il me masturbait en même temps mes deux orifices qui ne tardèrent pas à se tremper de mon foutre, puis à devenir hypers excités, sensibles et douloureux.

Il passa devant mon visage et entra sa bite dans ma bouche. Il fit un va et vient de plus en plus rapide et profond dans ma gorge, m'empêchant de respirer convenablement, me faisant mal.Il me m’ordonna de venir le sucer.

- Suces-moi la bite cochonne, parait que t’aimes ça !
- Oui maître j’aime ça sucer des bites.
- Petite salope, t’inquiètes pas va, t’en aura des coups de queues. Huum, ouii, huum….oh, tu fais très bien l’esclave ! Continues, fais des gorges profondes j’aime ça… OOOOOhhh, quel délice de sentir ta langue de salope, huuum, t’aimes ça, hein, les grosses bites dans ta bouche.

- Huum, oui, regardez maître comme je vous fais plaisir, ma bouche vous est réservée…
- Oui, continues, tu fais très bien, tu es faite pour être baisée comme une vraie pétasse… AAhhh, attention, je viens pétasse, prépares-toi à avaler ma liqueur.

Simon cracha son sperme dans ma gorge, j’étais au bord de la nausée tellement sa bite longue et bien gonflée était profond dans ma gorge.

Il caressa ensuite mes seins, attardant ses doigts sur mes tétons pointés par l'extase. 

Puis il retourna derrière derrière moi, face à mon petit cul crispé, pour me pénétrer à nouveau alternativement par mon vagin et mon anus.

J'aurais voulu résister davantage, mais son branleur électrique me fit jouir comme une folle une première fois. 

Le plaisir intense se prolongeait interminablement malgrès moi, et je crus défaillir, tomber en syncope.

Ecroulée, inerte contre le jou, Simon me détacha et me montra l'espace d'une seconde un peu de tendresse.

Mais vite, il se ravisa. 

Il me guida vers le lit, m'ordonna d'exposer mes orifices intimes. 

Il m’allongea sur le lit. Il tenait mes deux seins dans ses mains, les écrasant sévèrement. 

 Il m’attacha aux barreaux du lit et maltraita tout mon corps. 

Il me lécha le clito et l’aspira quatre fois durant lesquelles, j’eus différents orgasmes. Je dégoulinais de cyprine qu’il me faisait lécher sur ses doigts. 

 Il m’enfonça ensuite un vibro dans l’anus. J’étais dans un autre monde. J’avais l’impression de ne voir que des bites et du sexe. 

Je bavais du foutre entre mes fesses écartées tellement  le vibro me défonçait ma rondelle. 

Simon me pétrissait les seins, faisaient des branlettes avec. Enfin au bout d’un instant qui me parut une éternité, il me pilonna la chatte.

- Oh ouiiii maître, faites-moi du bien… Votre bite bénie, je la veux partout, je veux… Je…Haaan, ouiiii, j’aiiime ça maître…Haaan, ouiiii, huuum, haaan, huuuuuum, encore, encore…
- Salope, cochonne… Huuum, ta chatte est serrée mais très confortable.
- OOhh, ouiiii, elle est pour vous ma chatte. C’est une chatte à bites, huuum, haaan, haaan, ooohhh ouiiii…
- Sale cochonne…
- Ouiiii, je suis une cochonne. Haaan, j’aiiime… J’aiiime votre queue elle me déchire bien…

J’étais comme envoutée. J’ondulais du bassin, réclamant encore plus de coups de queues.

La bite de mon maître s’acharnait en moi, me faisant mal à certains moments...

Mais ma mouille était là pour me soulager.

Huum, haaan… J’étais une vraie salope.

Ma bouche bavait mon plaisir. Ma chatte coulait de plus en plus.

Le sperme de mon maître recouvrait mes tétons avec lesquels il jouait.

Mon anus aussi goûtait au plaisir de s’écarter.

Enfin pour me faire comprendre que c’était lui le maître, à qui je devais obéissance sexuelle, pour me montrer que je n’étais qu’une esclave de plaisir, il me burina la bouche fort avec sa bite. 

Il me laissa ainsi, avant de me détacher pour me préparer à recevoir ses amis

Il me poussa sans ménagement sur le lit pour se glisser entre mes cuisses. Je sentis douloureusement son sexe en érection pénétrer profondément mon vagin.

Mes cris de douleur et de plaisir mêlés ne l'empêchèrent pas de me ramoner furieusement encore et encore...