Je n'ai pas l'argent que je lui dois.

C'est pour lui demander un délai de paiement que je me rends chez lui.

J'ai l"habitude de négocier des reports avec mes créanciers.

Quelques belles paroles, quelques sourires, quelques regards calins permettent habituellement de parvenir à mes fins sans difficultés.

L'arme classique de la jeune femme avenante...

Mais cette fois, avec cet homme, cela ne se passe pas si facilement

Je prends peur lorsqu'il m'empêche de ressortir et qu'il pose les mains sur ma poitrine en ricannant. Le salaud écrase mes seins sans gêne.

Il s'en permet des choses, ce dégueulasse !

Sans tenir compte de mes protestations, il passe la main entre mes cuisses et presse mon sexe sous le tissus de ma culotte. 

Je ne maitrise plus rien...

Je sens la peur s'insinuer en moi, m'envahir.

J'ai la gorge sèche, le corps crispé jusqu'à la douleur.

Le souffle court, à la recherche éperdue de ma respiration, je tente de ne pas me laisser faire.  

Mais je ne peux que me laisser entrainer à l'intérieur.

Je ne peux lutter lorsqu'il arrache furieusement mes vêtements.

Il m'oblige à m'agenouiller. Ma bouche est attirée contre son sexe que je dois mettre dans ma bouche.

Comment pourrais-je ne pas sucer ?... Je dois pomper le dard...

Puis il me pénètre avec une férocité qui me fait pousser des cris de douleur autant que de plaisir

Pas satisfait du traitement qu'il m'inflige, il me frappe pour me punir encore...

Pour m'asservir davantage, il m'attache pour abuser de moi sans que je puisse aucunement me rebeller...

C'est affreux !

Toute nue, les jambes écartées, il entre encore en moi, dans mon intimité de femme.

Il va et vient dans mon ventre de plus en plus brutalement à m'en faire devenir folle de jouissance malsaine...

Je jouis, je crois. J'ai terriblement honte.

Il crache son sperme dans mon vagin douloureux et brûlant.

Lorsqu'il sort sa bite, il me saisit par les cheveux pour m'obliger à pomper le reste du contenu de ses couilles.

Il me laisse une semaine pour payer sinon il remet ça avec des copains.

Ce que j'ai peu !...