J'ai l'impression de sortir d'un mauvais rêve.

Mais non ! j'étais trannquillement chez moi en train de boire un verre et je me retrouve ici dans cette mauvaise posture.

Je découvre cette jeune femme nue, a genoux, attachée.

Je me souviens vaguement d'avoir refusé les avances de cet inconnu que j'ai imprudemment invité dans mon appartement.

Je suis un homme qui aime la pratique du sexe avec les hommes. Mais pas n'importe quel homme !

Je que ce sale type m'a drogué et entraîné dans ce lieu trouble.

Je dois avouer que j'ai peur. Je n'ai pas la liberté de mes mouvements.

La jeune femme doit subir des actes sexuels cruels de la part de cet homme à qui j'ai refusé les avances.

C'est la première fois que je découvre la nudité féminine. c'est troublant, totalement gênant...

Je n'aime pas voir ce corps nu de femelle, ca me répugne.

Je n'aime vraiment que les hommes, leur contact sensuel.

Ce qu'ils m'offrent en matière de sexe, ce que je leur donne aussi...

Le fait que la fille souffre, qu'elle soit sadiquement brutalisée, violentée m'importe peu en fait.

M'indifère même.

Par contre je me rends compte avec horreur que l'homme m'a entièrement dévêtu également et et qu'il m'a engoncé dans ce carcant de cuir qui colle à ma peau.

Je découvre que seul mon pénis en sort, qu'il est en érection malgrès tous les efforts que je fais pour qu'il ne soit pas durci par un désir coupable.

Non, mon Dieu ! Monsieur, ne faite pas ça. ne m'imposez pas cet horreur. Pas la bouche de la femme. J'accepterai tout ce que vous voulez mais ne m'obligez pas cet acte ignoble avec cette femelle.

Je sens la bouche de cette garce saisir ma verge tendue.

Je sens sa langue sur mon gland...

Ses lèvres glissent de mes couille jusqu'à mon gland en aller retour sur mon sexe qui durci encore...

Je me sens totalement humilié.

L'homme force la femme à se mettre à genoux devant moi.

Il la bascule en avant le visage contre le sol.

je ne peux que voir la fente de son intimité de femelle entre ses cuisses, les fesses l'une contre l'autre puis légèrement écartée pour dévoiller son anus.

L'homme écrate les jambes nues de la soumise pour en montrer plus. 

Je suis quasiment reconnaissant à mon tortionnaire de ne pas me contraindre à pénétrer le vagin de cette créature dégoûtante.

Alors pour le satisfaire, je me résous à forcer brutalement le passage anal de cette fille inconnue.

La fille pousse des hurlemnts de douleur à mesure que je pénètre durement dans son ventre par son anus qui se dilate avec difficultés .

Lorsque je commence à la pistonner, la femelle se calme avant de pousser des grognements de jouissances malsaines.

Je trouve cela écoeurant, cette femelle sodomisée qui ne se rebelle plus vraiment, qui parait jouir de mon traitement brutal.

Elle doit bien sentir dans son ventre ma bite qui va et vient de plus en plus sauvagement.

Et elle semble apprécier de se faire enculer par moi !

Je ne peux retenir le reste du sperme encore contenu dans mes couilles qui n'a pas été éjaculé dans son cul.

Je crache mon jus avec un plaisir qui me répugne...

Oui, Monsieur ! Si vous acceptez de suspendre le traitement sexuel abject que vous m'imposez avec cette femelle je serais à vous.

Vous pouvez disposer de moi comme bon vous semble. je ne me refuserais pas, rien.

- Voulez-vous que je vous suce ? Une bonne fellation vous tente ?

- Voulez-vous m'embrasser ?

- Voulez-vous que je vous offre mon petit cul. Il est accueillant, vous verrez. Vous ne le regretterez pas ! 

Je j'aurais pas dû vous repousser. J'ai eu tort. Vous me plaisez finalement.

Je veux être votre amant le temps que vous voudrez de moi. Ou votre jouet sexuel.

Comme vous préférez...