Depuis qu'elle s'est faite agressée sexuellement dans l'église par deux pretres, soeur Anne, n'est plus la même.
Après ses journées au service du seigneur et de la communauté, la jeune religieuse est confrontée seule, dans sa petite chambres aux affres intolérables de la tentation de luxure.
La lutte est totalement inégale.
Le résultat horrible pour elle.
Mais qu'y faire ?...
Son corps de jeune femme qui a goûté aux plaisirs de la chair réclame de nouveaux plaisirs charnels.
Pendant que son esprit de fille croyante exige la chasteté.
Soeur Anne cherche par tous les moyens à concilier son manque de sexe et sa piété...
Cependant, il y a ces deux prètres qui l'ont abusée et qui continuent obstinément de tourner autour d'elle le soir.
les deux religieux viennent souvent devant son petit lit, cherchant à l'attirer vers l'acte sexuel maudit.
Certaines nuits, les deux hommes l'entraînent à travers l'église, dans une petite chapelle qu'ils ont aménagés pour leur pratiques dégradantes.
Là, à nouveau, ils abusent honteusement de la pauvre soeur Anne.
La malheureuse religieuse, doit alors se laisser dominer par son instint de jeune femelle qui réclame du sexe.
Pour se punir elle même, elle accepte les brutalités de ses tortionnaires, comme une sorte de rédemption malsaine.
Mais elle jouit, comme n'importe quelle femme prise par un homme...
Et elle en souffre térriblement...
Même la cire liquide ppliquée par ses tortionnaires et qui lui brûle ne la guérit pas dans la douleur de sa déchéance !
Soeur Anne prend du plaisir malgrès elle...
Elle remercierait presque ses violeurs brutaux...
C'est de cette manière sauvage et brutale que la religieuse peut subir son besoin de sexe, sans perdre la raison.
C'est parce que ses agresseurs la violentent que soeur Anne peut accepter le plaisir sordide qui lui emplit le ventre, les seins, son intimité de femelle qui aurait dû rester vierge.
Soeur Anne n'en veut pas aux deux prêtres qui abusent d'elle aussi terriblement.
Elle prie pour le salut de leur âmes tourmentés pendant qu'ils la besognent bestialement sans se préoccuper de lui faire du bien ou du mal.
Si elle accepte avec sa bouche la semence qu'ils n'ont pas crachés dans son ventre.
Et si elle l'avale.
La jeune femme se dit que c'est pour rendre grâce au seigneur...
En priant pour ne pas tomber enceinte.
Ce qui serait le pire des péchés pour elle.
Lorsque les prêtres se sont bien soulagé en elle, qu'elle se sent comblée par le sexe qui lui a été imposé, soeur Anne reste là.
Elle tombe en prière, jusqu'au petit matin, jusqu'à ce que l'un ou l'autre des pretres vienne la délivrer pour la journée.
Comment savoir ce que soeur Anne pense de son destin de religieuse bafouée ?
De vierge dépucelée de force, devenue femme malgrès elle ?
Elle ne le dira jamais à personne, sauf peut être en confession...
Mais ce sera à l'un ou l'autre des deux prètres.
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