Quant la patronne est venue nous rendre visite sur le chantier, j'ai tout de suite remarqué les regards pervers sur sa sihouette et sa croupe des ouvriers black qui m'entouraient.
Je suis le contremaitre, le seul blanc de la boîte. Je suis pas très bien payé par cette pétasse qui ne pense qu'à s'en mettre plein des poches.
Mais c'est pire encore pour mes gars qui touchent un salaire de misère.
C'est pour ça que je n'ai pas défendu la patronne lorsqu'il se sont jetés sur elle pour la foutre à poil et lui attacher les mains dans le dos.
Il l'ont jetée au sol et forcé à les sucer un à un.
Je la voyait avaler les grosses bites noire qui lui ramonaient la bouche avec une férocité nait de leur frustration.
La patronne s'est vite rendue compte que les mecs ne baisaient pas souvent et qu'ils avaient, des besoins important, un gros rattrappage à assurer.
Pour l'humilier sans doute, ils privilégièrent le cul de la jeune femme pour la sodomiser avec une brutalité inouï.
Pour ne qu'elle ne puisse pas se rebeller, s'enfuir, ils l'attachèrent à un traiteau, la positionnant pour l'enfiler entre ses fesses, tout en mettant sa bouche à bonne hauteur des bites qui forcaient le passage de ses lèvres.
Un des black me proposa de profiter aussi de la femelle. j'avais trop envie pour rechigner.
Elle suçait bien, la salope !
Ils étaient vraiment terriblement brutal avec elle.
Plus ils la faisaient souffrir, plus elle gueulait sa douleur, plus ils accentuaient la bestialité de leur baise, ne lui laissant aucun répis !
A un moment j'attirait ma patronne sur moi, la forçant à s'empaller par son vagin sur ma bite.
Un noire, l'encula d'un coup sec, pendant qu'un autre lui pénétrait la bouche de son pieu jusqu'au fond de la gorge.
La baise sauvage dura longtemps, jusqu'à ce que tous les mecs se soient pris un maximum de plaisir en elle, par tous ses orifices
Puis l'un après l'autre, nous nous mimes tous à lui éjaculer une seconde fois sur sa face de pute.
Trop épuisée pour rechigner, elle se laissait faire, subissant en même temps des caresses brutales, des tortures de ses seins, de son vagin...
A un moment, j'eu presque pitié d'elle...
C'est moi qui lui appliqua ce sac plastique sur sa tête pour l'empêcher de respirer.
On la regarda suffoquer, paniquer avec la terreur de ne plus avoir d'air.
Ce sera à la dernière extrémité qu'on lui enlèvera son sac plastique.
Je ne crois pas que la patronne reviendra de si tôt nous casser les pieds sur un de nos chantiers.
En tous cas, moi j'ai pris bien du plaisir.
Et mon équipe d'ouvriers a pu se vider les couilles à bon compte...
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