Nous sommes trois nouvelles embauchées dans l'entreprise.
Toutes les trois nous sommes invitées dans une soirée d'intégration, comme ils disent.
Nous sommes tellement heureuses d'avoir obtenues ce travail que nous avons à coeur d'accepter l'invitation.
Bon, c'est vrais que la salle est plutôt glauque et que je suis surprise des regards un peu bizarre qui nous sont jetés à notre entrée,. Les conciliabules qui cessent lorsque nous approchons des uns ou des autres, m'étonnent aussi, de même que les ricannements et le sentiment bizarre de me faire déhabiller du regard.
Cependant au début tout se passe bien et l'ambiance est plutôt chaleureuse
Mais brutalement tout dérape.
Il y a cet homme qui s'empare de moi pour m'immobiliser, et l'autre qui écrase brutalement mes seins de ses deux mains fébriles.
J'hurle mon incompréhention. je crie au secours en jetant autour de moi des regards de panique.
Une main se plaque contre ma bouche tandis que des mains venues de je ne sais où m'arrache mes vêtements. Je me retrouve nue, à genoux, prise de panique.
Une main se glisse entre mes cuisse, dans mon sexe. Des doigts écartent mon anus et y entrent sans ménagement.
Tout cela devient tellement horrible, si brutalement.
Un inconnu place son sexe contre mes lèvres, exerce une pression sauvage jusqu'à ce que j'ouvre la bouche.
Alors il enfonce son membre durci jusqu'au fond de ma gorge.
Ca fait mal. Tous autour de moi s'en fiche et sortent à leur tour leur sexe en érection.
Autour de moi, je découvre soudainement que les deux autres filles subissent le même sort.
L'une d'elle jetée sur un canapé, les cuisses écartées se fait déjà pénétrer sauvagement à grand coups de reins.
Moi, les agresseurs m'attachent à un fauteuil dans une position dégradante qui laissent sans défense mes orifices de femmes. Je me sens pénétrée avec un brutalité inouie qui me brûle le ventre et le fondement.
Quelqu'un me déchire le cul à grands coups de bite qui s'enfoncent de plus en plus profond.
Je n'ai pas d'autre choix que de sucer d'autres bites qui forcent le passage de ma bouche
Rien ne m'est épargné par le vagin comme par l'anus, et par ma bouche.
Je ne peux que subir, qu'accepter les actes sexuels odieux qui me souillent et me fonf souffrir.
Le plus horrible peut être est que j'éprouve une jouissance révoltante à me faire ainsi violer par tous ces inconnus en rut.
Quant je crie trop fort ma douleur et ma rage, il y a toujours qu'elqu'un pour me faire taire jusqu'à me faire perdre mon souffle, jusqu'à m'étouffer.
J'ai peur de mourrir, ainsi, sous les assauts sans pitiés de tous ces gens qui ne pensent qu'à leur propre plaisir.
Aussi je me laisse de plus en plus dominer par tous ces déguelasses !
A un moment, je ne me rends plus vraiment compte qu'il sont plusieurs à aller en venir en moi, qu'ils me baisent comme une moins que rien par toutes mes intimités de femme.
Je suis violée, humiliée torturée, et je ne me défends plus.
Je fais tout pour les satisfaire, malgré ma haine et ma rancoeur.
Avec les deux autres jeunes femmes, je me souviendrais longtemps de ce bizutage odieux.
Mais je n'en parlerais jamais à personne. J'en ai trop honte !
Il me faudra vivre avec. Peut être accepter de le subir à nouveau si on l'exige...
C'est ignoble de traiter les femmes de cette façon. Nous sommes traité de simple objet sexuel, sans respect pour notre dignité de femme !
Le pire de tout est que nous en éprouvons de plaisir.
De plus en plus nos cris de femelles et nos râles de souffrances laissent de la place au couinnement continu de jouissance crade
La prochaine fois le bizutage sera subi par de nouvelles jeunes femmes embauchées.
Nous y viendrons toutes, les trois humiliées de ce jour, pour nous venger sur elles de ce que l'on vient de nous faire subir...
Et nous saurons être particulièrement cruelles et sadiques, croyez nous...
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