Amélie s'ennuie dans la vie.
la jeune femme subit une existence terne et sans relief avec son homme tellement chiant et peu intéressant.
Le sexe n'est pas des plus excitant non plus au sein du couple...
Elle s'en plaint souvent au boulot.
Il faut dire qu'Amélie est une collègue de travail qui ne se rend pas compte qu'elle gêne tout le monde en exposant ainsi ses états d'âme de femme insatisfaite...
Alors lorsque l'impensable survient, qu'elle doit accepter le sexe qui lui est imposé.
Amélie ne peut se résoudre à admettre qu'en se faisant violer elle a plus jouit que jamais auparavant avec nimporte lequel de ses amants.
Hors de question pour elle de reconnaître qu'elle est heureuse d'avoir été violée par cet inconnu.
Cet homme sans gêne qui a abusé d'elle brutalement sans la respecter, en en faisant son jouet sexuel.
Amélie ne pleure pas seulement pour son honneur de femme bafouée, mais aussi parce cette bite non désirée dans sa bouche, dans son ventre par sa fente et par son anus lui manque malgrès elle.
Oui, Amélie, même si elle ne l'avouera jamais, ressent du bonheur d'avoir été abusée sexuellement.
Elle est comblée d'avoir été ainsi violée par devant et par derrière, sans respect pour sa dignité de femme...
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