La jeune femme s'est dévêtue avec un rire mauvais.

Elle a retirée sa culotte et sous sa jupe j'ai découvert un long sexe de mec en érection.

Cette fille n'en était pas une !

Le reste je n'avais pas le choix.

J'ai été obligé de le faire !...

J'aurais voulu me débattre.

j'aurais voulu foutre une bonne dérouillée à cette femme ou cet homme pour l'apprendre à respecter les hommes, mais il était trop tard.

Sa bite s'enfonçait au fond de ma gorge me contraignant à la sucer...

Et puis j'ai eu droit à ses couilles qui agrandissaient démesurément ma bouche.

L'inimaginable est arrivé lorsque j'ai senti la bite s'engager entre mes fesses, forcer le passage fermé de mon anus.

C'est moi qui me faisait sodomiser maintenant !

Je sentais bien mon anus se dilater, la grosse pine aller et venir furieusement dans mon ventre...

Quelle honte pour moi !

Mais qu'est-ce que ça faisait du bien !

Je ne savais pas qu'on pouvait mouiller du cul...

Ce salaud, ou cette salope, m'a obligé à l'embrasser.

Mais j'avais l'impression que sa langue n'avait plus la même saveur...

Et puis le trans a continuer à me baiser par derrière en branlant la bite en érection.

Je devenais complètement fou de plaisirs.

Ne sachant plus vraiment par où je jouissais autant...

Comme je commençais à gueuler vraiment fort mon dépis et ma hargne, le travelo m'a fait taire en tirant fortement sur la corde qui serrait mon cou.

Avant de reprendre son viol anal sans se préoccuper de me faire mal, ou non, avec une incroyable brutalité.

Une première fois j'ai dû avaler le sperme que mon agresseur m'a projetté dans la bouche, me contraignant à tout avaler...

Il ne s'est pas satisfait pour autant du plaisir qu'il avait pris avec moi.

Il m'a forcé à me mettre à quatre pattes, le cul en extension.

Mon anus offert à sa convoitise...

J'ai sentit à nouveau sa queue glisser entre mes fesses, forcer le passage de mon cul encore sensible du viol qu'il venait de subir.

Pour la deuxième fois je me faisait enculer par cet inconnu qui s'enfonçait en moi au plus profond qu'il pouvait dans mon ventre en poussant des cris de satisfaction.

Mon fondement était brûlant et douloureux;

Cependant j'éprouvais également un certain plaisir, une jouissance malsaine qui tendait ma bite et la faisait cogner sèchement contre mon ventre.

Je me maudis de ne pouvoir résister à l'envie d'éjaculer à force de me faire masturber.

Mon sperme coulait à présent sur mon ventre et le long de mes cuisses tremblantes.

Cette fois c'est dans mon cul qu'il laissa exploser sa jouissance.

Tandis que son sperme coulait entre mes fesses, sur mes couilles et ma queue, il continait encore et toujours à me ramoner, cherchant à prolonger au maximum son plaisir.

Le transexuel violeur m'a encore forcé à nettoyer son sexe trempé avec ma langue, dans ma bouche.

Lorsque le travelo en a eu terminé, il m'a enfin laissé partir.

Moi, rouge de honte, je lui ai promis de revenir pour qu'il me fiche la paix...

Le gros problème est que je vais sans doute accepter un prochain rendez-vous...

Mais j'ai honte de cette envie sordide de me faire posséder encore par cette personne au sexe indéfini.

Ce que j'ai honte ! Ce que je suis impatient !