Je me retrouve là, debout au milieux de cette grande salle entourée par tous ces gens par la faute de mon copain.
Nous avons particité à un jeux qui se tient tous les samedi soir dans un endroit discret.
Le jeux consiste à allumer les membres d'un juri, lui démontrer ses capacités de séduction.
J'ai perdue la compétition et je sais que je vais devoir en payer les conséquences au prix fort. Et je ne dois pas attendre d'aide de la part de mon mec qui lui même paiera sexuellement son échec un peu plus loin dans la salle
C'est cette pétasse qui a gagnée le concours qui m'oblige à me mettre nue, puis à quatre pattes.
Je sens chaque brûlure de la lanière de cuir qui zébre ma peau.
C'est une souffrance térrible, de plus en plus forte qui irradie tout mon corps. Et elle me force à tendre les fesses pour mieux viser ma raie.
Me faire fister comme ça l'anus en forçant brutalement le passage jusqu'à y enfoncer le poignet me déchire le cul, le ventre.
Humiliée, j'entends les murmures d'étonnement satisfaits de l'assistance.
Mon Dieu, que me veut ce gars qui prends le relais après que ma tortionnaire m'ai attachée en extension, m'empêchant de poser les talons au sol.
Il me maltraite, cherchant à me faire mal en explorant mes passages intimes. D'autres personnes se joignent à lui, trop excitées pour rester spectateurs de ma déchéance.
Je ne peux que me laisser faire, subir les outrages de leurs fantasmes malsains.
Lorsqu'ils me laissent exangue, je sens un sursaut de rage m'envahir.
J'aimerais tous les frapper.
Les femmes encore plus qui se moquent de moi.
Mais je ne peux rien faire, uniquement subir.
Je sentais que je n'en aurais pas fini si vite.
D'autre on eu envie de profiter de moi et se sont emparés de mon corps, le brutalisant sans la moindre retenue.
Et puis, il y a eu cette fille qui a gagnée le concours et qui ne m'a pas laissée le moindre répis, m'obligeant à satisfaire tous ses caprices sexuels
Les autres autour de moi profitaient pleinement du spectacle de ma déchéance. Je sentais sur ma langue coller le foutre abondant de la femme qui me forçait à sucer encore en me maintenant par les cheveux.
Les mecs ont rapidement voulu leur part et c'est une multitude de bites que j'ai dû sucer, avaler jusqu'au fond de ma gorge rendue douloureuses par les coups de boutoir assénés sans précaution.
Et toujour cette femelle maudite qui ne me faisait pas de cadeau et me maltraitais peut être encore plus méchamment que les autres.
-c’est ça suce bien, caresse lui les boules en même temps , venez tous quand y a de la place pour un y en a pour dix ou vingt ! hurla-t-elle tandis je pompais deux bites en perdant peu à peu ma respiration.
Lorsqu'ils m'on positionnée de manière à ce que mes passages intimes soient à disposition, j'ai compris que toutes ses bites allaient me pénétrer avec la même sauvagerie dont ils avaient fait preuve jusqu'à présent.
Et c'est vrai que j'ai subit les pires outrages sexuels, chacun paraissant mettre un point d'honneur à être plus cruel avec moi que les précédents.
Mon sexe, mon anus, ma bouche ont été remplis, limés, défonçés avec une violence qui me tirait des cris de souffrances qui excitaient toujours plus l'assistance.
Je ne sais pas combien de temps a duré cette affreuse séance de violence sexuelle collective. Je sais que mon copain est venu me ramasser nue, souillée de sperme sur tout le corps.
Nous sommes partis sous les quolibets de l'assistance, tous les deux nus, le sexe violé, honteux, mais bien décidés à tenter de nouveau notre chance...
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