Le soir lorsque l'église est vide de fidèles. Lorsque les portes sont fermées.
Soeur Anne reste seule avec ses tourments.
Soeur Anne est entrée dans les ordres depuis quelques mois. Elle a la foi, une foi inébranlable.
Mais soeur Anne est aussi une jeune femme. Elle sens de plus en plus un manque cruel la torturer entre ses cuisses et peut de moins en moins lutter contre l'envie qui la tenaille d'y mettre la main.
Elle maudit ce vagin qui lui cause tant de tourments. Elle elle n'est qu'une femelle soumise à la tentation du sexe...
Elle voudrait tant pouvoir calmer le feu qui enflamme son ventre tout entier.
Alors soeur Anne prie, chaque soir, pour obtenir de l'aide, pour pouvoir rester chaste.
Les deux prètres de la paroisse subissent les mêmes démons, mais eux craquent.
Ils ne peuvent plus résister au besoin impérieux de faire l'amour.
Ils ressentent cela comme un échec cuisant, et la femelle si tentante en est la cause.
Alors il faut se résoudre à fauter, mais dans la soumission de la terrible tentatrice.
Il faut l'utiliser pour satisfaire les instincts primaine de sexe, mais en humiliant la femme, en la faisant souffrir par là où elle est responsable, par son vagin maudit et son cul diabolique...
Déhabillée sauvagement, jetée nue sur son petit lit, soeur Anne doit subir les assauts violant des deux prêtres complèment rendus hystériques par cette peau blanche. Cette peau fragile qui apparait sous les vêtements austères arrachés sauvagement.
Pour la première fois ils découvrent l'intimité d'une femme, ses seins, son vagin, ses fesses, son anus, son ventre.
Tout est émerveillement pour eux et ils se troublent profondément à sentir leur bite qui se tend incroyablement. C'est sale, c'est renversant de plaisir !
Même les cuisses de la fille les submergent d'extase.
Soeur Anne est attachée, baillonnée sans ménagement.
Le sexe avec elle doit être une punition !
L'un des prêtres enfonce sans précaution sa main entre les fesses de soeur Anne, dans l'anus qu'il dilate douloureusement.
La pauvre hurle de douleur pendant que les doigts vont encore plus profond dans son fondement.
Et l'autre qui regarde en ricannant !
Ils affirment à la pauvre jeune femme pratiquer l'exorcisme en jetant de la cire bouillante sur la peau fragile de la soeur.
L'un des prètres la déflore sans pitié à grand coup de bite, avec des cris rauques, malgré les suppliques de la dépucelée tandis que l'autre la contraint de s'occuper de sa bite.
Soeur Anne perd sa virginité avec un mélange de désespoir et de plaisir insensé.
Elle se sait devenue femme, elle en est heureuse et honteuse.
Elle sent un liquide chaud et épais au goût douceureux jaillir dans sa bouche.
Elle ne peut que l'avaler.
L'autre, derrière elle, éjacule dans son vagin avec de petits cris de plaisir un peu ridicules.
Soeur Anne pense que son calvaire est terminé lorsque les deux prètres se retirent d'elle et la détachent.
Elle doit vite déchanter.
Ils la poussent, l'entraînent nue à travers l'église pour la placer au milieu d'une grande salle derrière la nef.
Là, ils l'attachent à nouveau pour la suspendre au dessus du sol.
Ca lui fait mal. La jeune femme souffre. Les liens lui pénètrent dans la peau, brûlant sa chair tendre.
Plus que jamais la jeune religieuse se trouve à leur merci
Les prètres la frappent pendant de longues minutes, pour la purifier, affirment-ils.
Les lanières cinglent sa peau avec des douleurs fulgurantes.
A chaque coup c'est comme si son corps entier s'embrasait.
Elle pousse des hurlements de souffrance que personne ne peut entendre hors de l'église.
Au bout de plus dune heure de torture, enfin, ils remettent la jeune femme épuisée sur ses pieds.
Soeur Anne est chancelante, à bout de force !
Mais elle ne se rebelle pas vraiment...
Ce n'est même pas un instant de répis : ils la jettent au sol et se mettent à la besogner à nouveau avec férocité.
Ils la baisent comme des furieux avec le besoin impérieux de faire mal, de soumettre, humilier, de rabaisser, de violenter !
Soeur Anne prie intensément pour que lui soit pardonné le plaisir intense et malsain qu'elle a prise à se faire déflorer.
Elle implore la miséricorde pour s'être faite malnenée sexuellement par ces deux hommes qui lui crachent leur sperme dans la bouche.
Non, soeur Anne ne quittera pas l'église.
Elle implore pour qu'elle ne soit pas tombée enceinte.
Elle sait que ses deux tourmenteurs reviendont à la charge et abuseront encore d'elle.
Mais elle se dit que c'est son destin et qu'elle est prête à subir encore et toujours, le temps qu'il faudra, les assauts répétés de ces hommes en besoins de sexualité brutale...
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