Voyez comment on accueille les petites nouvelles à l'écoles des infirmières.

J'en ai fait l'amère expérience à la rentrée scolaire...

Je ne souhaite à personne de vivre une expérience sexuelle aussi perverse !

Ces filles se sont portées volontaires pour s'occuper de moi.

Les garces ont commençées par m'enfermer dans une salle de cours et m'ont dévêtues malgrés mes réticences.

J'ai eu tout de suite terriblement peur. Je me doutais que mon sort serait pas enviable...

Pour ne pas attirer l'attention et étouffer mes cris, elles m'ont introduite cette boule dans la bouche, m'enpêchant de respirer correctement.

J'ai eu vraiment trés peur de mourir !

Elles m'ont retournée pour me frapper durement les fesses qui sont devenue rapidement brûlantes.

Et puis sans précaution, l'une m'a dilatée le sexe en y introduisant brutalement sa main entière et m'a  masburbée en me cognant de plus en plus fortement le fond de mon vagin si étroit.

Elles m'ont obligée à les lècher, à sucer leurs seins aux tétons incroyablement durcis.

Et venu le moment où elles m'ont immobilisée avec cet appareil en acier qui m'a emprisonnée les poignets entre les jambes.

J'ai senti un énorme vibromasseur me pénétrer et branler mon intimité avec une force démentiel.

J'avait beau hurler, aucun son ne sortait de ma bouche emplie de cette boule qui me faisait baver en long fils translucides collant sur mon visage.

J'ai subit bien d'autres outrages dont j'ai trop honte pour pouvoir en parler et qui resteront indéfiniment imprimés en moi.

Je n'arrive plus à en dire davantage.

Je me laisse soumettre et humilier jusqu'à ce qu'elles considèrent que j'ai suffisamment subi leur folie sexuelle.

Ne l'écoutez pas, cette pétasse!

C'était l'expérience vécue pour elle comme pour toute les nouvelles élèves infirmières, et dont nous avons bénéficiées également en entrant à l'école.

Nous les anciennes, nous profitons du bizutage pour les découvrir intimement.

L'entrée dans notre corporation nécessite de la part des arrivantes de gros efforts d'adaptations.

Et vous savez quoi ?

Elles n'ont par vraiment le choix : elles doivent se plier à nos espériences sexuelles et se soumettre jusqu'à l'humiliation ou quitter l'établissement...