Je ne voulais pas que cela se passe ainsi.
Je suis toujours trop imprudente et j'ai conscience de mettre en péril la réputation de ma famille.
Il faut vous dire que mes parents ont une situation très importante et qu'un scandale serait terrible pour nous.
cependant j'ai succombé stupidement aux avances de cet homme sans me rendre compte qu'il ne me voulait que du mal.
Maintenant j'ai peur. je suis à sa merci, térrorisée.
L'homme profite honteusement de moi et je ne peux que subir ses assauts sordides en priant qu'il ne révèle rien de mon calvaire sexuel...
Ce que je redoutais le plus arrive malheureusement.
Ce pourrit, ce salaud, enregistre toute ma déchéance, toutes les pratiques sexuelles dégradantes qu'il m'impose cruellement...
Lorsque ma famille, lorsque mon entourage, vont découvrir cette vidéo, tout le monde va être anéantie.
Quelle scandale cela va occasionner en ville. Et tous ces gens qui vont me railler, me mépriser...
Cette ordure a contacté ma soeur. Ma brave soeur qui vient si souvent à mon secours, qui me sort si souvent des mauvais plans dans lesquels je me mets...
Elle découvre avec effroi le film de mes perversions...
Pour ne pas laisser le scandale terrible éclater, ma pauvre soeur n'a pas d'autres possibilité que de d'accepter l'immonde choix imposé par l'homme : se faire dominer par lui qui veut la soumettre à ses pratiques avilissantes.
Ma pauvre soeur si bourgeoise, qui n'a jamais fait l'amour qu'avec son mari, doit tout accepter sans rechigner.
Elle subit les pires outrages seuxels pour payer ma faute impardonnable...
Le plus atroce survient lorsque l'homme nous réunit pour nous contraindre à l'innomable : faire l'amour entre soeurs.
Cette pratique du sexe est immonde !
Nous souffrons toutes les deux horriblement.
Il se permet tout, même la sodomie dégradante pour les femmes que nous sommes...
Je cois que nous allons nous détester entre soeur maintenant.
Certe, le scandale est étouffé, mais à quel prix !...
Vue leurs gueules de garce, je suis certain qu'elles seraient d'accord de me faire passer un sale quart d'heure à ma bite où je serais à poil et attaché devant-elles.