J'ai un voisin sacrément con.

Un vrai mec chiant qui passe son temps à enquiquiner les autres à propos de tout et de rien.

Un connard, quoi !

Cela fait un bout de temps que je me dis qu'il faut trouver un bon moyen de me venger de ce mauvais type.

Je veux une punition à la hauteur de son sale caractère de con.

Je dois vous dire que mon voisin est très amoureux de sa femme.

Faut voir comment il la couve des yeux avec tendresse.

Dans la rue il tient la jeune femme par la main lui fait des bisous à la moindre occasion...

Ce pourrait être touchant s'il n'était pas aussi emmerdeur...

Alors c'est par sa femme que je le punis, ce con.

 

 

 

 

 

 

 

 

Un jour en jetant machinalement un sourire à la jeune femme croisée dans la rue, j'ai la surprise de constater que je ne lui suis pas indifférent.

Elle répond à mon sourire et tourne la tête vers moi sur mon passage...

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour être correct avec ma femme je me mets d'accord avec elle.

Elle accepte que je drague la voisine, histoire d'humilier son mec en même temps que de profiter de sa pétasse de femme.

Je ne lui dis pas que j'ai aussi très envie de niquer cette jolie femelle...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La voisine ne se pas trop fait prier et dès notre premier rendez-vous, je peux lui faire l'amour sans problème contre un mur, dans le hall de sa maison.

Elle se prénomme Sophie.

Je ne prends pas le temps de la foutre à poil.

Je trousse sa jupe. J'écarte ses jambes, puis son slip.

Et je bourre sa chatte à grands coups de bite en pétrissant ses seins à travers le tissus de son chemisier.

 

 

      

 

 

 

 

 

C'est quelques jours après, en nous retrouvant une nouvelle fois discrètement que je me venge salement de son homme, sur Sophie, sans pitié, comme je le veux...

 

 

 

 

La pétasse ne se laisse pas attacher facilement.

Je dois la contraindre à passer les mains dans le dos.

Je la force à faire ce que j'exige.

Je l'attache à un crochet que j'ai installé avec l'aide de ma femme au plafond de notre cave.

 

 

 

 

 

 

 

 

J'y vais de bon coeur, sans pitié et sans retenue, pour la frapper avec une lannière préparée spécialement pour elle.

Et puis je la torture, avant de la baiser et de l'enculer avec un gros god au bout d'un baton...

Sophie gueule et pleurniche.

Elle supplie pour que j'arrête.

Mais pas question !

 

 

 

La jeune femme tellement tétanisée par la stupéfaction et l'angoisse ne parvient même pas à se rebeller et tente vainement  de contenir ses larmes en subissant mes actes les plus pervers.

Le pire pour elle est qu'elle jouit dans la douleur !

 

      

 

 

 

 

 

 

Au bout de sa longue punition, j'oblige Sophie à s'agenouiller devant moi.

Je passe derrière elle.

Je la bascule en avant jusqu'à ce que son visage touche le sol.

Ses fesses tendues, ses lèvres vaginales offertes entre ses cuisses, je pousse ma bite dans la fente de son sexe serré.

Et je ramone furieusement.

Chaque coup de bite propulse la jeune femme en avant faisant cogner son visage contre le sol.

 

 

 

 

 

 

 

C'est super bon de la ramoner férocement, de la niquer sauvagement comme une chienne en chaleur.

Et je crache le jus de mes couilles dans son ventre...

Je lui fais maintenant me sucer la queue.

Mais en donnant de gros coups de bite pour cogner au fond de son gosier, la faisant suffoquer et pousser des cris de douleur.

En lui baisant la bouche je la regarde suffoquer, chercher désespérément sa respiration au bord de l'asphixie, de l'évanouissement...

 

 

 

 

 

 

 

Je pourrais pu en rester là, après lui avoir éjaculé encore dans la bouche, en l'obligeant à tout avaler mon sperme.

Mais je décide de ne pas me satisfaire de si peu, de la travailler encore brutalement, cette salope de pouffiasse !...

 

 

 

 

 

 

 

C'est trop plaisant de la soumettre à mes envies sexuelles, de la dominer honteusement.

A chaque coup de bite dans son ventre que je lui met encore et encore, je vois l'image de son mec.

Cette tête de con que j'humilie de l pire des manières en possédant salement sa connasse de femelle.

 

 

 

 

 

J'en rajoute à l'extrême dans la pratique de sexe crade que j'impose à Sophie.

Histoire qu'elle comprenne bien qui est son nouveau maître.

 

 

 

 

 

 

 

Et je peux dire que rien ne lui est épargné en matière d'humiliation et de pratiques sadiques.

Je suis certain que plus jamais, Sophie ne sera la même femme après ce traitement pervers.

 

 

 

 

 

 

 

En me finissant encore une fois en elle, je lui intime l'ordre de me retrouver dans ma cave dès que je lui en ferai signe dans la rue, au moment que je choisirais. 

Dans cette attente, je vais m'empresser de raconter la déchéance sexuelle de Sophie à ma femme et nous en rirons bien.

En attendant, fiche le camp petite pute de Sophie !