Vendredi 4 octobre 5 04 /10 /Oct 11:07

 

Ca s'est passé un soir. Je me sentais vraiment trop seul devant mon ordinateur. Je voulais une rencontre coûte que coûte.

 

Aussi lorsque cette jeune femme m'a aguichée sur la messagerie, j'ai accepté avec empressement son rendez-vous. 

 

4-copie-1.jpg

 

Mais chez elle, elle m'a annoncée que la condition d'avoir un rapport sexuel avec elle était que j'accepte de me soumettre à ses désirs trés particuliers.

 

5.jpg

 

Son attitude hautaine et son exigence plutôt flippante m'ont sérieusement refoidit.

Mais je voulais me la taper à tout prix. D'autant qu'elle était sacrément exitante.


  6-copie-1.jpg


Elle m'a entrainé dans son sous sol, dans lequel je n'étais apparemment pas le premier homme à venir et m'a poussé au sol.

j'aurais voulu me rebifier, mais il fallait vraiment que je baise pour ne pas devenir dingue à cause de mon manque criant de sexe.

 

7-copie-1.jpg

 

j'ai obéi à son ordre de me dévêtir à même le sol.

A peine nu, elle m'a attaché les poignets

Et puis elle a sérré comme une sauvage ma queue et mes couilles dans une corde, me faisant souffrir le martyr...

 

9-copie-2.jpg

 

J'ai cru que mon sexe allait exploser sous la pression de la corde que la tortionnaire tirait encore pour accroitre le serrage.


 10-copie-4.jpg

 

Lorsqu'elle s'est positionnée au dessus de mon visage pour me contraindre à lui sucer son vagin, je n'ai pas éprouvé de plaisir.

j'était trop envahi par la douleur et l'humiliation.

 

11-copie-4.jpg

 

Elle ne m'a pas écouté lorsque je lui ai demandé de me libérer.

Elle a collé les lèvres de sa chatte contre ma bouche jusqu'à m'en faire perdre le souffre.


  12-copie-4.jpg

 

Elle m'a ensuite imposée d'exiter son anus et je me suis exécuté. Je ne pouvais pas faire autrement.


  13-copie-4.jpg

 

14-copie-4.jpg

Satisfaite du traitement que je lui ai donné, elle m'a tirée par les cheveux pour m'allonger sur un escabeau en bois qui m'a pas tardé à me blesser le ventre et l'entrecuisses.

 

15-copie-3.jpg

 

Et puis je l'ai vu avec horreur mettre cette ceinture avec le gode.

J'ai compris ce qui m'attendait.


 16-copie-2.jpg

 

Je ne me suis pas fais prier pour humidifier au maximum le god. 

 

 18-copie-2.jpg

 

J'ai résisté longtemps avant de libérer le passage de mon anus et que le gode ne me déchire les entrailles.


  21-copie-2.jpg

 

Elle a éclaté d'un rire bestial en entendant mes cris de douleur et en me voyant tenter de me dégager. Elle a accelléré encore le ramonage sauvage de mon cul.  

 

 

22-copie-2.jpg

 

Et puis enfin est venu le moment de la délivrance.

Elle s'est retirée de moi et m'a entrainée au fond de la pièce pour me lier les poignés à un crochet fiché dans le plafond.

Elle s'est placée devant moi et s'est reculée pour enfoncer ma bite érigée dans sa chatte.

J'ai ramoné ma tortionnaire comme j'ai pu, maladroitement.


  23-copie-2.jpg

 

Au moment où j'atteignait l'extase, elle s'est retirée pour me branler, me refusant le droit de lui éjaculer dedant.

 

24-copie-1.jpg

Rien ne m'aura été épargné...

 

Je peux vous dire que dès que j'ai pu, je me suis cassé chez moi. Elle ne m'y reprendra plus !


 

Par Le Pierre - Publié dans : H dominé par F - Communauté : Sexe brutal.
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Retour à l'accueil

Commentaires

Plutôt hard pour une initiation, mais malgré (ou grâce à?) la douleur, l'humiliations, vous bandiez tout de même, l'excitation était-elle due uniquement à la vue de cette femme, de cette Domme? ou également à la situation?
piment-et-vanille
apprentie a.
commentaire n° :1 posté par : piment-et-vanille le: 12/10/2011 à 21h26
Je me prénomme Nadia, je suis âgée de 26 ans, et je contrôle la sexualité de mon mari Karim (lailatvx), un bonhomme très porté sur le sexe et le travestisme, et qui m’agaçait à toujours vouloir m’imposer sa libido.
Je suis très loin d’être une nympho. En effet, j’ai très peu de désir sexuel, sauf à un moment très précis qui correspond à mon ovulation. Mon mari lui était tout le temps excité et me demandait en plus, chaque week-end, de l’aguicher en portant des tenues sexy qui me faisaient passer dans les rues pour une pute, ce qui me déplaisait au plus haut point. Mais je l'aime, alors par amour je m'exécutais.
Par contre quelques jours après mes règles, j’avais un besoin pressant de queue. Je voulais être prise comme une vulgaire salope, me sentir pleine et culbutée. Et là, alors qu’il m’avait fait chier tout le mois, Monsieur n’était pas capable de me satisfaire. Il n’est pas éjaculateur précoce, mais n’arrivait pas à suivre le rythme qu’il me fallait ! J’adore être prise violemment, intensément, à un rythme effréné, et surtout sans interruption.
Après des années de vie commune, où finalement tous les deux nous étions frustrés, je découvris par hasard que mon mari était abonné à un site de soumission et de sado-maso. Ce fut pour moi un choc. Je découvrais un monde qui, je l’avoue, me répugnait à l’époque.
Je décidais alors de l’observer, était-il réellement l’homme que j’aimais ? Quelle facette de sa personnalité me cachait-il ?
Le contenu du site me laissait penser qu’il devait être maso. Un soir, je suis rentrée avec une paire d’escarpins que je venais d’acheter, aux talons vertigineux comme dans son site. Je sentis immédiatement son trouble. Prétextant que mes chaussons étaient au lavage, je restais perchée sur mes escarpins toute la soirée. Invoquant une légère fatigue, je lui commandais de s’occuper de la maison. Il le fit sans la moindre protestation, à mon grand étonnement. Les tâches ménagères étaient jusqu’à cette soirée là disons mon domaine réservé !
Après avoir pris ma douche, j’étais comme tous les soirs assise sur le canapé en train de regarder la télé. Il vint vers moi et s’assit à mes cotés.
Gardant tout mon calme, je le regardai fixement, et inspirée par les récits de son site, je lui dis « Ce soir, ta place sera à mes pieds, tu sors ta bite, tu la mets au garde à vous, puis tu me lèches les escarpins ».
Je n'en revenais pas, il s'exécuta sans broncher, et alla jusqu’à lécher mes semelles ! Honnêtement, je trouvais ça répugnant.
Ce fut une soirée révélation, il m’avoua tous ses fantasmes, et je découvris qu’en fait mon mari n’était pas maso mais soumis. J'aime mon mari, je suis heureuse avec lui, mais j'avoue que cette situation était très déstabilisante. Je me suis demandée si je pouvais continuer à vivre avec un homme qui désirait devenir mon esclave. J'aurais pu nier ses désirs, mais j'avais envie de construire ma vie avec lui, et construire un couple, c'est aussi savoir accepter et comprendre l'autre. Notre relation de couple a donc évolué. Mes désirs et sa soumission s'y sont bien intégrés. Ce ne fut pas facile, mais aujourd’hui, j’en tire tous les bénéfices, et nous sommes heureux.
D’un regard, je peux le mettre au garde à vous. Il m’obéît au doigt et à l’œil. Ce n’est plus moi qui dois aguicher les passants le week-end en portant des tenues sexy, mais lui qui sort avec un plug bien enfoncé dans le cul.
Malgré toute sa dévotion, il était toujours incapable de me satisfaire. Il faut se rendre à l’évidence, mon mari ne peut me faire jouir. J’ai donc décidé de prendre mon plaisir en main.
Premièrement, puisque sa bite m'est devenue inutile, il porte une ceinture de chasteté. Deuxièmement, il doit me trouver une fois par mois, un amant très bien membré et endurant pour satisfaire mes plaisirs ! Il a intérêt à bien chercher car, s'il ne me convient pas, il devra attendre le mois suivant pour pouvoir se branler.
Hier, il m'a présenté Vincent, un type français vivant à Rabat (capitale du Maroc) et dont mon mari a jaugé la bite dans les vestiaires de son club de sport. Une tenue plus que sexy, robe noire fendue laissant apparaître la lisière de mes bas couture, un décolleté échancré, et une paire de mule à talons aiguilles a mis rapidement Vincent dans tous ses états. Mon époux m'a alors préparée avec sa langue sous ma robe pendant que Vincent me regardait en se caressant la bite. Je le complimentais sur la grosseur de son zob. La comparant à la petite bite de ma lopette, je lui expliquais que Karim ne parvenait pas à me faire jouir. Je sais que mes paroles excitent Karim. Chaque humiliation accélérait le rythme de sa langue. Mais il ne peut pas se caresser, sa ceinture l'en empêche. Son zizi est entravé, tout gonflé dans son étui, il sait que si Vincent ne m'apporte pas un orgasme, il restera ainsi, ses couilles pleines de sperme jusqu'au mois suivant. Alors il s'applique, ma jouissance en dépend. Après une bonne demi-heure de lèche, Karim met un préservatif à mon futur amant. J'ai envie de sa queue, et je vais enfin l'avoir. On peut dire que Vincent m'a bien baisée. Il m'a prise brutalement, je sentais sa verge me remplir et taper au fond de mon vagin. Aucune douceur, juste de la queue. J'adore. J'adore ce moment où je ne suis plus qu'un trou, où je m'entends jurer. Il me baise bien ce salaud. J'aime sa queue. « Regarde chéri comme il me baise. Regarde ta femme dans les mains d'un autre ! ».
Cette situation perverse m'excite, je me laisse aller. Parfois dans ces moments là, j'offre mon cul à mes amants, mais pas ce soir, sa bite est trop grosse, mon vagin est gourmand, je vais jouir. L'orgasme est puissant, pas besoin de me caresser, sa bite me suffit. Je jouis. Ma lopette me regarde, je ferme les yeux, un petit cri. Vincent comprend qu'il est en train de me faire jouir, son excitation est alors à son comble, il se vide.
Son préservatif est plein, mon mari le lui retire et le noue, puis le repose sur la table. Il sait qu'après le départ de Vincent, une fois que son contenu aura été réchauffé afin de le stériliser, il devra le déguster sous mes yeux en se branlant. C'est la seule forme de jouissance que je lui autorise.
Vincent est parti, Karim va faire chauffer le préservatif dans un bain mari. Il revient. Je lui retire sa ceinture avec difficulté, son membre oppressé se raidit instantanément. Il troue le préservatif avec ses dents, et déverse le sperme sur les lèvres de mon vagin. Karim aime le sperme. Il lèche, et se branle modérément pour ne pas jouir. "Arrête ! Va dans le congélateur, j'ai une surprise pour toi".
"Cette après midi, je me suis tapé Najib, ton meilleur ami, et je t'ai conservé sa semence pour ton dessert. Tu sais, pour un ami, il ne m'a pas résisté longtemps".
Karim revient à mes pieds, met le préservatif congelé dans sa bouche. "Pendant que tu dégèles le sperme de ton pote, branle-toi bien".
Mon mari est à genou devant ma moule, le préservatif de son ami dans la bouche. "Maintenant mâche-le bien ce préservatif, tu va sentir le sperme de ton ami Najib couler dans ta bouche. C'est bon, tu aimes le sperme petit cocu, allez jouis !"
commentaire n° :2 posté par : lailatvx le: 29/10/2012 à 06h51

Recherche

Mon délire de sexe brutal

  • : Le sexe brutal
  • : Salut aux amateurs de sexe brutal, méchant et sans pitié pour ceux et celles qui acceptent de s'y soumettre. Si vous aimez souffrir pour jouir, restez... Si vous aimez les amourettes romantique et cul-cul, partez ! Chaque jour je remets le couvert, alors si vous aimez le sexe sévère revenez... Découvrez le site du sexe brutal et méchant. Les pratiques extrêmes du sexe sado maso et fétichistes. Lorsqu'il faut souffrir pour jouir! Jade
  • Le sexe brutal
  • :
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact
  • : 27/11/2009

Pages

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés