Je me suis laissée séduire par mon voisin et je profite de l'absence de mon mari pour me rendre chez lui.

Après avoir bu un verre ensemble, mon voisin me demander d'aller dans sa chambre.

Je savais bien en venant dans sa maison ce que cette première rencontre donnerait.

Aussi, je ne fais pas de manière.

Mais c'est au bout de quelques minutes d'attente, je sens mon sang se glacer dans mes veines.

Je suis tombée dans un traquenard.

Ce n'est pas mon voisin qui me rejoint dans son lit.

C'est son frère : un vrai pervers selon la rumeur du quartier.

Il se colporte un peu partout que cet homme violent agresse sexuellement toutes les femmes quil rencontre et qu'il les brutalise.

Le frère de mon voisin ne tarde pas à s'emparer de moi et à me menacer des pires horreurs si je ne fais pas ce qu'il veut.

Je suis morte de peur...

Il arrache tous mes vêtements.

Je me laisse attachée après qu'il m'est mise toute nue.

Je n'ai pas le courage de résister...

Et il me brutalise horriblement.

Il torture mes seins qui commencent à me faire terriblement souffrir...

Et tout mon corps

Il m'étouffe jursqu'au bord de l'évanouissement.

J'ai horriblement peur de mourrir.

Je n'ai plus d'air. Je vais défaillir.

Ce salaud est comme hors de tout contrôle à me regarder sombrer dans le coma.

Heureusement, il me lache juste à temps...

Puis il s'attaque furieusement à mon intimité féminine qu'il maltraite douloureusement.

Lorsque j'ai satisfaite ses caprices, il me viole brutalement avec des cris de bête fauve.

Je suis presque soulagée d'être ainsi pénétrée sévèrement comme une moins que rien.

Au moins il ne me fait pas mal.

Pendant mon viol sauvage,je pense à mon mari que je n'aurais pas due tromper, à mes enfants...

Pour se finir en beauté, comme il dit, l'homme me sodomise sans précaution, dilatant douloureusement mon anus.

Quelle déchéance pour moi, quelle honte, de sentir son membre aller et venir dans mon ventre par mon orifice anal...

Lorqu'il en a fini, qu'il a craché son sperme dans mon ventre, il ricanne et me pousse dehors encore entièrement nue.

Il sait que je n'oserai pas le dénoncer. j'ai trop honte !

Je cours chez moi en priant pour que personne ne me voit dans la rue.

J'ai mal. Je suis blessée, humiliée. je me sens sale.

Vite la douche, des vêtements.

Pourvu que personne n'en sache rien...