19h41.

Les clefs s’insérèrent dans la serrure de la porte d’entrée et j’entendais celle ci s’ouvrir doucement.

Des pas traversaient le couloir, et s’arrêtaient devant la porte de la cave avant d’y entrer.

Ce que je pouvais être angoissée. J'en avais mal au ventre.

C’était bien l'homme rencontré sur internet, mais il avait un autre regard. D’habitude si chaleureux et doux là il était presque glacial et dur.

Je parvins tout de même à discerner un léger sourire quand il pu vérifier que j’avais respecté à la lettre son petit message.

- Alors, comme ça on a des fantasmes, inavouables même à son propre mari ?

Ce n’est pas bien de cacher des choses et de mentir à son mari, surtout quand il est dans une position bien supérieur à la sienne…

En disant ces mots, il s’était rapproché de moi et j’avais presque son sexe à la hauteur de mon visage.

Je pouvais sentir à travers son pantalon le membre gonfler sous ses paroles.

J’étais à sa merci et j’aimais ça. En fait c’est ce que j’avais toujours voulu connaître.

Il prit son sac de sport et le posa sur le sol à côté de moi.

- Alors ma petite Marie, voilà encore d’autres cadeaux pour toi. 

Il ouvrit le sac et j’étais impressionnée de voir qu’il était presque rempli uniquement de gadgets sexuels en tous genres.

Il les sortit un par un et m’expliqua qu’il prendrait le temps de tous me les faire essayer mais pas aujourd’hui. 

- Voilà ce que j’ai prévu pour toi ce soir 

Je commençais tout de même à me poser des questions. 

C’est alors qu’il sorti du sac des cordes épaisses, une cravache, un collier assez large et une laisse.

Tout l'attirail en cuir évidemment.

Il me demanda de me retourner et me passa un énorme joug autour du cou.

Il hissa la pièce de bois qui me souleva me laissant suspendue par la pointe des pieds...

Il attacha mes bras dans le dos et enfonça une grosse boule dans ma bouche. 

- Je vais frapper fort. Tu vas souffrir ! C’est sûrement ta première fois, du moins en réel. Tu peux crier, avec ce bâillon il est très peu probable que l’on t’entende. 

Au bout d'une longue séance de sévices, il me décrocha pour me positionner sur le dos, les jambes écartées, tendues vers l'arrière au dessus de mon visage...

Un premier coup de cravache cingla encore mes fesses.

Je poussais un cri strident plus fort encore que les précédents, mais il fut comme les autres étouffé par le bâillon.

Un deuxième suivi et ainsi de suite jusqu’à 30.

Il avait parcouru tout le dos et les fesses et me demanda de me retourner, ce qui réveilla la douleur des premiers coups.

Il recommença l’opération, cette fois sur la poitrine, le ventre et les cuisses, en comptant jusqu’à 40.

Il avait pris soin de bien bonder ma poitrine à l'aide de grosses cordes pour plus d’efficacité.

Il s’arrêta et sembla satisfait du résultat.

Il me détacha, m'obligea à me relever pour me présenter cet appareil de torture qui me glaça le sang.

Il enleva ensuite le bâillon et me demanda de rester muette jusqu’à nouvel ordre.

Il me quitta quelques minutes me laissant libre d’admirer les marques rouges laissées par la cravache.

Lorsqu'il revint, il me lança d'une voix mauvaise que j'aurais à passer une nuit éprouvante de tortures et de sexe brutal sadomaso...

Et moi qui ne parvenait pas à lui en vouloir !...

Pauvre conne que je suis.