Je n'aurais pas dû accepter de me soumettre à son besoin malsain de m'humilier.

 

Ce n'est pas la première fois qu'il m'offre aux appétits sexuels crades d'inconnus qui profitent honteusement de moi pour se défouler en m'imposant leurs fantasmes sans limites.

Je m'étais jurée de refuser toute prochaine séance de domination infamante.

 

Et pourtant lorsqu'il me jette dans le coffre de cette camionette, je me laisse faire encore une fois.

 

 

 

 

Lorsqu'il se gare dans un coin tranquille pour m'obliger à lui faire une pipe je me demande si je l'aime encore.

 

Mais je suis bien obligée de m'exécuter...

 

 

 

Après que j'ai avalé son sperme chaud et épais, il redemarre pour s'arrêter à nouveau après quelques kilomètres.

 

Là il me tire par les cheveux sans s'occuper de mes tentatives désespérées de rebellion et me jette sur le sol d'un troquet mal famé que je ne connais pas.

 

 

 

 

Ces gens qui m'observent allongée sur le sol, la jupe relevée, les cheveux en bataille, me stressent terriblement.

 

J'ai honte et je voudrais pleurer... Mon salaud de copain m'oblige à boire comme une chienne dans le verre d'un client pas très content.

 

 

 

 

Un client au comptoir veut profiter de la situation , jette un gobelet remplit d'un liquide indéfini et m'oblige à lècher à même le sol. C'est dégueulasse !

 

 

 

 

Et il en profite, ce pourrit pour fouiller entre mes fesses en écartant le tissus de mon slip.

 

 

 

 

Il ne tarde pas à me dépoitrailler et à enfoncer sa bite au fond de ma gorge. Je suis bien obligée de sucer pour ne pas étouffer...

 

 

 

 

Celle là d'où elle sort ?

 

Elle est forcée comme moi ou elle le fait de son plein grés ?

 

 

 

 

 

Une autre salope approche et écrase mes seins. Elle me fait horiblement mal.

 

 

Et puis je sens des doigts fouiller dans mon sexe, le branler sans ménagement...

 

 

 

 

 

Ca me fait mal et pourtant je mouille pire qu'une chienne en chaleur.

 

 

Je me débat comme une furie lorsque l'homme m'entraîne dans le fond de la salle, mais que puis-je faire d'autre que pleurer à chaudes larmes.

 

Je vois mon copain plus loin draguer sans la moindre gêne une fille déjà à moitié nue...

 

 

 

Je suis à la merci de tous, attachée à un crochet, suspendue au plafond, nue et sans défense.

 

 

 

 

Ils ont beau jeu de me frapper, de me faire subir les pires tortures en riant de mes supplications.

 

 

 

 

Et toujours cette femelle qui se fiche de moi !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A un moment, ils n'ont plus suporté de m'entendre me plaindre et crier ma souffrance, ils m'ont baillonnés plutôt que me laisser partir. Pour pouvoir continuer à me violenter comme bon leur semble, avec des accès de cruautés insoutenables...

 

 

 

 

 

 

 

 

Bientôt, les mecs enfilent l'un après l'autre leur bite en érection dans ma chatte qui n'en peut plus de se faire ramoner avec fureur. Le sperme des mecs ressort de mon sexe tellement il y en a dans mon vagin, et coule entre mes cuisses.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je sais que j'en ai encore pour plusieurs heures à subir les assauts brutaux de ces mecs et de ces femelles déchainées.

 

Mais je n'ai plus la notion de temps.

 

Tout à l'heure mon copain me récupérera en lambeaux, mais pour l'instant je jouis comme une cinglée de sexe brutal...