Madame la ministre a voulue venir sur le terrain, être enfin en contact avec les gens du peuple.
C'est le Président qui veut que les élus quittent un peu leurs palais dorés pour se rendre compte de la vraie vie.
Certaines personnes se laissent prendre aux simagrées du Président et de ses Ministres.
Mais pas tout le monde...
Madame la Ministre s'est organisée un repas chez l'habitant pour faire style de s'intéresser aux gens qu'elle représente.
Mais celui-ci ne se passe pas vraiment comme la jeune femme l'espérait !
La pétasse n'aurait pas dû me choisir.
Grave erreur, Madame la Ministre, Madame la garce!
En sachant qu'elle venait, j'ai invité en toute discrétion quelques copains bien disposés pour le sexe brutal et méchant.
Des potes à la recherche comme moi d'une bonne occase d'humilier une saletée de bourgeoise qui passe son temps à faire des promesses non tenues, à se foutre de nous.
Les gardes du corps de madame la Ministre sont restés à la porte.
Elle était trop sûr d'elle, la conne.
On l'a un peu saoulée, notre Ministre.
Et maintenant la femelle est à nous.
on la fout à poil, complètement à poil.
La pétasse ne sait plus trop où elle en est, et on va en profiter, pleinement...
A un moment, elle se retrouve allongée par terre, un peu hors service.
C'est à ce moment là qu'on se décide de profiter de la bonne occase pour se la taper, mais pas gentiment, avec un maximum de cruauté.
On a trop envie de nous venger de ses mensonges permanents, de son mépris pour les gens.
Et son Président à la con qui nous ment tout le temps sans gêne, ni remord.
Elle va s'en prendre plein la chatte, et plein le cul...
Nous nous y mettons tous. Nous nous jetons sur elle pour la dominer, pour l'humilier sans limite.
On la baise salement. Elle se fait niquer par ses trois trous de pétasse bien salope...
Elle a vite désaoulé, la garce.
Elle voudrait se débattre, mais elle n'ose plus vraiment...
On l'encule à deux bites à la fois.
On la pénètre et on la pistonne par tous ces trous en même temps...
Nous on se prend un pied du tonnerre.
C'est du plaisir total, intense !
On se vide les couilles dans son ventre secoué de spasme de douleur et de jouissance extrême...
Cette la conne de jeune ministre prétentieuse ne dira jamais rien de ce qu'elle a subi pour ne pas entacher sa carrière de menteuse...
On lui a craché tellement de sperme dans le vagin qu'elle devra peut être avorter en cachette.
On va observer son ventre à la télé pour nous marrer un coup...
Allez, casse toi, pétasse !