On s'est introduit dans la maison de ces deux salauds parce qu'on en a franchement marre qu'ils emmerdent tout le quartier.
Lui ne peut s'empêcher de draguer toutes les femmes des alentours.
Et elle, faut qu'elle allume tous les mecs qu'elle croise pour se vanter de rendre cocue leurs femmes.
Bon, elle encore, on peut admettre qu'elle nous allume. Ca nous permet de tirer un coup à bon compte.
Mais que lui se venge en niquant nos femmes ! Il y en a marre.
Regardez ce pourri!
Il est moins fière maintenant qu'on s'occupe de sa pétasse sans qu'il ne puisse rien faire pour se défendre...
Et elle, la salope, elle peut pleurnichier autant qu'elle veut !
On va défoncer sa chatte et son cul en la soumettant à nos fantasmes de sexe brutal et pervers.
Elle n'a pas le choix, la pétasse.
Elle doit sucer nos queues pendant qu'on l'attache solidement pour qu'elle ne puisse que subir toutes nos exigences...
Et l'autre con qui est obligé de la regarder se faire violenter sauvagement sans pouvoir la défendre.
Vous parlez d'un homme !
C'est ça ! Fait des efforts pour te rebeller,sale chienne.
Tu vas déguster encore plus !
Je me fais un plaisir de la niquer en premier, la pouffiasse, en la plaquant contre la table devant son mec qui suffoque de rage.
C'est doublement bon !
Elle est bonne à baiser cette pute.
je ne peux ps dire le contraire.
Tortilles toi, ma belle.
Tu ne pourras pas te dégager. Et je vais y aller encore plus profond dans tes intimités trempées de ton foutre de pétasse toute chaude !
On la retourne. On lui torture les seins.
On voit qu'elle hurle, mais ses cris s'étouffent dans son gosier avec sa boule dans la gueule.
C'est son cul qu'on attaque maintenant.
On l'explose à grands coups de bite jusqu'au fond du fion.
J'adore cette idée de l'étouffer pendant qu'on la baise comme une bête.
Elle tremble de tout son corps, à force d'avoir la trouille...
Nous allons encore plus loin dans le besoin de la posséder de la pire des manières, en lui bourrant ses trois trous en même temps.
Son mec est ravagé.
Sa garce, elle, ne sait plus par où elle souffre le plus.
C'est trop bon de se la taper brutalement, la pétasse !
Et maintenant elle nous sert de vide couille, dans ses orifices, sur sa face.
Avale notre jus, pute !
On n'a pas envie de les lacher si vite, les deux pourris.
On va encore s'occuper d'eux !...
Il n'en ont pas fini d'être humiliés et brutalisés sexuellement...