Ces deux salopes font exprès le soir de baiser devant leur fenêtre pour exciter tous les mecs du quartier.

Ces putes de lesbiennes nous pourrissent la vie à nous mettre la trique sans qu'on puisse se vider les couilles dans leurs trous de gouinasses.

C'est pour cela qu'on a fini par décider de nous venger à quelques gars de la cité en nous les appropriant pour notre plaisir.

Sans rien dire à nos femmes, bien sûr (elles seraient jalouses) nous débarquons chez les gouines et les foutons sauvagement à poil.

Elles peuvent supplier, menacer, chialer, on s'en fout !...

A genoux, pétasses et sucez nos bites.

Ne vous rebellez pas, sinon, gare à vous !

Venez par ici, on vous attache à la table pour mieux vous baiser sans manière.

Ca va être marrant de niquer deux filles qui n'aiment que les femmes...

Elle n'ont encore jamais reçu la visite de bites dans leurs trous de femelle, les connes...

Les orifices résistent fortement au commencement.

Mais sous les coup de boutoir ils finissent par céder, et on s'enfonce bien profond dans leur intimité de garces pour pilonner leur ventre secoués de spasmes de plaisir ou de souffrance...

Vous savez quoi ?

On se rend compte qu'elles mouillent, les pétasses.

Et tout en pleurnichant, elles jouissent malgrès elles...

Bien évidemment, on en profite pour les maltraiter.

On les humilie. On leur fout la trouille...

"Salope, pompes moi bien le dard. Vides moi le reste de mes couilles. Tu vas tout avaler. Je t'en ai déjà craché une bonne dose dans ton vagin de salope"

Lorsqu'on les quitte, les deux gouinasses.

Elles se serrent dans les bras l'une de l'autre, allongées nues, souillée de sperme.

Elles doivent admettre qu'elles ont apprécié le traitement qu'elles ont subi.

Et c'est peut être l'occasion pour l'une ou l'autre, ou pour les deux d'avoir de se retrouver engrossées sans avoir besoin de don de sperme...