Je suis agent commercial et mon boulot consiste à vendre du matériel dans les petites entreprises du coin.
En me rendant à mon rendez-vous je suis agréablement de surpris de découvrir la patronne, cette jolie jeune femme.
C'est vrai qu'après avoir proposé mes produits, je me mets machinalement à la draguer.
Je suis un homme, vous savez ce que c'est...
Et elle ne dit pas non, cette belle salope.
Je suis surpris d'avoir un retour si rapide à mes avances.
La jeune femme ne ne se refuse pas, bien au contraire.
C'est elle qui rapidement prend la direction des opérations !
Moi, je n'ai rien contre le fait de me laisser faire...
Surtout que sa langue sur ma bite et puis entre ses seins : quel plaisir !
Par contre j'interroge sur ses manières brutales.
Je ne rechigne pas, malgrès tout, parce que je veux à tout prix la baiser.
Mais, bon, pas terrible comme attitude.
Je ne saisis pas tout de suite la situation lorsqu'elle me lève les jambes.
Mais soudain mon sang se glace dans mes veine lorsque je me rend compte de ce qu'elle a entre les cuisses.
Je fixe avec effroi sa bite, une longue pine en érection qui glisse déjà entre mes fesses, se positionne contre mon anus.
Abasourdi, je tente de me dégager de ma position scabreuse, mais la pétasse a de la force.
Et puis elle chuchotte que si je ne me laisse pas faire, elle hurlera au viol pour rameuter ses employés dans la pièce à côté.
La femme ou l'homme, je ne sais plus, me promet une belle commande si je me laisse faire.
Alors je m'abandonne. Je ne peux plus lutter...
C'est la première fois que je me fais sodomiser.
Au début la bite qui va et vient dans mon cul me fait souffrir.
Mais rapidement, l'engin en érection commence à me faire un bien fou, à me procurer un plaisir intense, que je ne connaissais pas jusqu'à présent.
Je me laisse faire, posséder entre mes fesses, dans mon ventre, par cet homme ou cette femme.
De toute manière, je ne peux que subir ses assauts sauvages.
Cette bite qui me ramone le fondement me submerge de honte et me remplit d'une jouissance malsaine incroyable.
Ce que c'est bon !
A un moment, la femme-homme éjacule dans mon orifice anal, longuement, en poussant des cris de jouissances de plus en plus puissants.
Elle se dégage de moi et commence à branler ma queue d'une main énergique.
.
Je ne tarde pas à jouir et à éjaculer à mon tour à longs jets.
Je lui suis reconnaissant de me procurer ce plaisir si spécial, inconnus jusqu'alors, mais tellement intense et inattendu.
Du coup, je rechigne moins à lui rendre la pareil.
J'accepte avec plaisir qu'il ou elle se vide encore les couilles, cette fois dans ma bouche.
Lorsque tout est terminé et que je peux me dégager, je ne demande pas mon reste pour me rhabiller fissa et quitter le bureau précipitamment.
La commande promise, je ne l'attends pas ...
J'ai honte de ce plaisir que je garde encore en moi.
Et si je renouvellais cette expérience en cherchant une prochaine occasion ?...
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