Je suis le plus heureux des hommes.Je viens de me marier avec une jeune femme adorable. Je l'aime comme un fou.

 Nous nous connaissons depuis quelques mois. Et aussitôt, ça été le coup de foudre.

Toute la journée je ne pense qu'à elle, quoi que je fasse et où que je sois.

Je rentre du boulot plus tôt que prévu et je me fais une joie de la retrouver chez nous.

Dans le hall d'entrée, j'ai un mouvement de recul en entendant des voix dans le séjour. Et en jetant un coup d'oeil par l'entrebaillement de la porte, je manque de défaillir. Je découvre ma femme tirant une drôle de tête en compagnie d'un inconnu.

Mais c'est quoi ce collier qu'elle a autour du cou.

Je suis tétanisé, incapable de bouger alors qu'il lui introduit une barre dans la bouche la tiens par une laisse. Je ne comprends pas qu'elle se laisse faire docilement. Mais qu'arrive-t-il à ma chérie ?

Il lui ôte sa robe et lui caresse les seins. Je suis totalement anéantie. et pourtant je ne peux détacher mon regard de la scène maudite.

Il jette ma femme sur le fauteuil et lui retire de la bouche cette tige qui l'empêchait de respirer convenablement. Il enfonce aussiôt sa queue tendue entre les lèvres ouvertes. J'ai l'impression qu'elle m'a aperçue et que cela ne la gêne pas plus que ça! Ma femme ne se refuse pas, au contraire et se met à sucer frénétiquement l'organe de l'homme.

Il y a une machine que je n'avais jamais vue auparavant dans la maison. L'homme entraine ma femme, l'oblige à se pencher de manière à se que sa chatte soit positionnée devant une espèce d'énorme godemichet. Il pousse mon épouse qui s'empale avec des cris stridants de souffrance.

Il actionne le mécanique qui fait aller et venir l'objet dans le sexe et il se met à lui ramoner la bouche avec sa bite.

Au bout d'un interminable moment, il l'entraine contre un appareillage sur lequelle il attache les poignets de ma jeune femme avant de la chevaucher et de la pénétrer sauvagement de son pieu tendu à l'extrême.

Je ne reconnait pas mon épouse, c'est incroyable, irréelle. Pour l'empêcher de crier, il remets le baillon dans sa bouche. Il défonce sa chatte à grands coups de boutoir avec la volonté de faire mal.

Il a envie de changer de position et contraint ma femme à se mettre à sa disposition. Il entre en elle en poussant des cris de plaisir et en saisissant ses seins qu'ils pétrit de plus en plus durement à mesure que son ramonage lui amène du plaisir de plus en plus intense. A un moment, il se place sous elle, et enfonce sa queue dans l'anus étroit de ma femme qui n'accepte pourtant quasiment jamais de se laisser sodomiser par moi.

Et puis l'inconnu lui ordonne quelque chose d'incroyable : vas-y maintenant, pisses. Laisses toi aller ou je te mets une trempe!

Ma femme s'exécute et parait apprécier la chose.

Moi qui la croyait tellement comme il faut. Je suis sans doute plus honteux qu'elle. Je reste les yeux rivés sur le long jet qui fuse des lèvres de son vagin pour tremper ses cuisses et couler sur le sol.

Et puis son amant se place au dessus d'elle en se branlant énergiquement. Dans un rale interminable il lui éjacule à la face. Je vois qu'elle en est satisfaite.

Je n'en peux plus. Je ne veux pas savoir ce qu'ils vont faire ensuite. Je me sauve hors de la maison. Je reviendrais plus tard.

Je crois que je vais faire comme si je n'avais rien vu. Je l'aime trop. Mais quelle souffrance horrible je vais porter en moi de savoir ce qu'elle aime subir avec d'autres hommes lorsque je ne suis pas là.