J'ai déniché cette jeune femme sur internet . Je l'ai attiré chez moi en lui laissant croire que nous aurions une relation intime discrète en cachette de son mari.

Chez moi, après l'avoir baisée vite fait contre un mur, son slip baissé, sa jupe simplement relevée, j'ai enfermée Patricia dans la cage.

je l'ai laissée là avec son angoisse toute la nuit, sans écouter ses supplications.

Je l'ai laissée implorer de pouvoir retourner chez elle afin que son homme ne remarque pas son absence.

Ca me plait tout particulièrement que son mec se ronge les sangs toute la nuit, durant des heures en ne la voyant pas revenir.

"Tu peux pleurnicher autant que tu veux, salope. Tu n'auras qu'à tenter de lui raconter des bobards, comme vous les femelles savaient si bien en inventer..."

Ce n'est que le lendemain de sa mise en cage que je m'occupe véritablement  de la pétasse.

Et de quelle manière !

Elle n'est pas à la fête, Patricia. C'est le moins que je puisse dire.

Moi je me prend un pied pas possible, à la travailler méchamment.

Elle, elle dérrouille salement, la pouffiasse.

Patricia n'est pas prête d'oublier le traitement sauvage que je lui inflige...

Internet, c'est impeccable pour profiter des salopes en recherche de sexe hors du couple...

Maintenant passons aux choses sérieuses.

Tu vas jouir et souffrir !

Patricia, tu ne te débrouilles pas mal pour la baise.

D'autant que tu ne t'attendais pas à pareil traitement.

Le sexe brutal te convient bien.

Tu vas devoir revenir...