Elles sont horribles avec moi !
Elles se comportent comme de terribles harpies sans coeur.
Je me sens tellement demunie face à un tel déchainement de haine et de violence...
Je me sens atrocement humiliée et blessée avec mes vêtements déchirés, toute nue devant tous ses voyeurs.
A début je n'ai pas franchement compris ce que l'on me voulait...
J'ai même jouée un peu la mijaurée plutôt prétentieuse...
Et puis lorsqu'elles se sont emparées de moi, j'ai pris peur...
J'ai accepté de sortir avec ces filles alors que ce n'est pas dans mes habitudes de jeune femme plutôt réservée, sans m'imaginer que ce pouvait être un piège immonde.
Notre sortie entre filles avait agréablement débuté pourtant. Nous nous étions bien amusée jusqu'à ce qu'on entre dans ce lieu glauque empli de gens inquiétant.
Autour de nous, il y a une foule d'inconnus qui n'en peuvent plus de me regarder sans pouvoir intervenir, sans pouvoir me toucher...
Pendant mon calvaire d'autres femmes n'en peuvent plus d'envie de sexe, et se mettent à accomplir des actes vulgaires entre elles...
Des pratiques que la morale réprouve...
Ces hommes et ces femmes dévorent des yeux mon calvaire sexuel, encouragent mes tortonnaires à me maltraiter davantage encore...
Mes dominatrices refusent obstinément que les hommes se joignent à elles pour assouvir leurs fantasmes. Elles veulent absolument être les seules à pouvoir me violenter de toutes les manières qui leur viennent à l'esprit.
C'est une affaires de femmes exultent-elles, complètement déchaînées contre moi.
Je suis agressée sexuellement à n'en plus oser me rebeller de peur d'aggraver le déchainement de brutalités.
Je dois accepter le pire des actes sado maso.
Je suis contrainte de me soumettre à toutes leurs exigences infâmes de détraquées sexuelles...
Je suis blessée, torturée, violée à l'aide d'engins inquiétant par des femmes qui se défoulent sans retenues sur une femme comme elles.
Mes soi disant copines de sortie me méprisent et me martyrisent sous les regards avides, envieux, irrespectueux, sans compassion ni pitié qui nous entourent.
Et ce n'est pas fini...
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