L'église du quartier a depuis quelques semaines un nouveau curé.

Les gens de nos jours ne vont plus trop à la messe et sa venue serait passée inaperçue, si on ne le voyait plusieurs fois par semaine aller dans les rue et sonner à certaines portes.

Pour l'accompagner, il y a toujours Madame Bertrant, une jeune femme très croyante et active pour apporter la bonne parole.

Ce pourrait être vraiment bien d'avoir ainsi des personnes croyantes pour apporter un peu de soutien aux gens.

Cependant de mauvaises rumeur commencent à circuler au sujet du prêtre, sans que les habitants ne sache pourquoi...

Aujourd'hui le prêtre sonne à ma porte avec Madame Bertand.

Je frémis malgrès moi, prise d'une sourde angoisse.

Comme j'arrive chez moi pour rejoindre une amie qui m'attend, j'ouvre quant même, un peu tranquilisée par la présence de la femme...

Je n'ai que le temps d'entrer un sac plastique me recouvre la tête et je panique aussitôt...

Le prêtre arrache brutalement mes vêtements et m'attache avec une corde.

Je suis à sa merci, sans défence.

Je découvre Madame Bertrand entièrement nue, allongée sur mon lit, les jambes écartées.

Et alors, je suis obligée d'accomplir des actes incroyables qui me font honte...

Je sens le sexe du prètre me pénétrer sauvagement, aller et venir dans mon ventre par ma fente que je n'ai pas réussi à garder fermée.

Madame Bertrand mouille fortement et je dois prendre son foutre sur ma langue et l'avaler.

Le prètre éjacule en moi avec des cris de plaisir sordide et m'attache.

Il se saisit de mon amie solidement mantenue par Madame Bertrand et c'est elle maintenant qu'il pilonne sauvagement.

Il la viole sans manière en s'oocupant en même temps de Madame Bertrand que je découvre comme jamais je ne l'avais vue auparavant.

Ce que nous subissons mon amie et moi est terrible, atroce.

Nous sommes maltraitées, violées avec le sexe du prètre, des objets qu'ils ont amené.

Nous ne pouvons que tout accepter activement, pour ne pas être plus encore malmenées...

je ne pourrais pas vous dire pourquoi à la fin de ce terrible traitement sexuel, nous ne leurs en voulons pas, aux deux monstres, de nous avoir ainsi brutalisé.

Je crois que dans le quartier toutes les femmes choisies pour être dominées par ce couple, le prètre et sa complice, acceptent d'être à nouveau dominées dans des pratiques sexuelles dégradantes.

Je ne sais pas pourquoi.

Mon  amie et moi, en tout cas, supplions le curé de revenir nous voir au plus vite...