Elle travaille depuis quelques temps dans la clinique où moi même je bosse.
C'est une jeune femme pas mal fichue, et bien qu'elle ait déjà un mec, je sens bien que je l'attire sexuellement.
Nous échangeons des regards en douce, des petits mots sympas.
Au point que je commence à sérieusement être travaillé par le démon de midi et l'envie de donner un coup de canif au contrat qui m'unit à ma femme.
Fatalement arrive le moment où le besoin irrépréssible de tenter ma chance me pousse à agir.
Et ça marche, elle ne se refuse pas, bien au contraire.
Sans réfléchir au fait que nous soyons dans une salle de clinique et que quelqu'un risque d'entrer à tout moment, je l'entraine sur le lit qui sert habituellement au patients.
je lui ouvre ses vêtements de mes mains fiévreuses pour mieux la caresser.
J'explore de plus en plus intimement son joli corps de femelle en chaleur.
La salope aime ça. Je vais profiter de son envie de faire l'amour pour la baiser comme une bonne petite chienne.
Elle ne demande que ça, la chérie, de se faire enfiler et je me tape sa chatte chaude et mouillée de son foutre abondant.
Tout va pour le mieux et je passe un merveilleux moment de baise lorsque l'imprévu surgit sans qu'il est été possible de le prévoir.
Son mec déboule dans la pièce pour lui faire un "bonjour".
Moment de stupeur.
Puis cris de rage du mecs, d'autant que je suis trop chaud pour pouvoir arrêter comme ça mon va et vient dans le vagin trempé de sa femme.
Il faut que j'éjacule dans son trou avant de pouvoir me retirer d'elle.
Je crois que le bonhomme va me fracasser la tête de rage.
Il n'est est rien, il agrippe sa femme en ouvrant se braguette et la contraint à lui sucer la queue.
Il m'est d'avis qu'elle ne doit pas souvent se donner à lui.
Et puis, il y a ce fouet qu'il sort de je ne sais où.
Il me contraint à attacher la fille et à la punir sévèrement, m'obligeant à taper plus fort lorsque je veux amortir un peu les coups.
La pauvre salope que je viens de baiser avec tant d'entrain subit douloureusement les sévices cruels en étouffant péniblement ses cris pour ne pas rameuter tout le monde alentours.
Le mec me force maintenant à sodomiser sa femelle avec un god sorti de sa poche.
Ma parole il avait prévu de violenter sa femme quelles que soient les circonstances.
Moi, je ne veux pas le contrarier et je vais et vient sauvagement dans le cul de la soumise.
Et plus elle pleurniche de souffrance de se faire mettre à sec, l'enculée, plus je prends de plaisir à me la farcir sauvagement.
Arrive le moment où le mec veut se la taper à son tour, et il n'y va pas avec délicatesse.
Il se saisit de la femelle et la force à accepter ce qu'il exige.
Il délaisse la chatte et attaque directement le cul.
Il enfonce sa bite dans l'anus désespérément serré qu'il force avec délectation.
Il s'enfonce à grands coups de reins et ramone le fondement dans la douleur.
Il faut vraiment que la pétasse arrête de gueuler sinon elle va attirer l'attention de tout le monde.
Le mec, qui a décidément tout prévu, lui enfonce une boule dans la gorge.
La jeune femme roule des yeux épouvantés, mais plus aucun son ne sort de sa bouche.
L'homme en profite pour attaquer les seins de sa femme, les torturer sans pitiée. maltraitant les mamelons avec une cruauté infinie.
Viens une suite terrible de sévices sexuels, où la cruauté se mêle à la perversion la plus horrible.
Il a tout prévus pour humilier et faire souffrir sa femme en la rabaissant au plus bas...
La cire lui brûle les seins, le ventre, les cuisses et même son sexe violenté à maintes reprises.
Et puis, il y a cet appareil dont j'ignorais l'existence et qui lui donne des décharges d'électricité dans les zones intimes, la rendant folle de douleurs et de jouisssances malsaines et non désirées.
Je ne peux m'empêcher de profiter de la situation pour remettre le couvert.
Je la baise cette fois par le cul, pendant que l'autre lui démonde la chatte en lui pilonnant l'intérieur du ventre de sa bite dure comme du béton.
Le moment final arrive où on la jette au sol pour nous finir sur elle en serrant brutalement les corde pour la bonder le maximum possible.
Lorsque tout est fini, que le mec et moi sommes apaisés. Nous la détachons et lui intimons l'ordre de se rhabiller.
Chancellante, elle s'exécute et reprends tant bien que mal son travail.
Lui et moi, nous nous promettons de nous revoir pour nous occuper à nouveau de sa putain de soumise.
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