Mon homme s'approche de moi et m'embrasse langoureusement en me murmurant à l'oreille " je suis fier de toi".

Je sens sa main descendre le long de mon ventre frémissant d'angoisse glisser entre mes cuisses tremblantes et me titiller le clitoris entre les lèvres de mon vagin.

La caresse, qui me rend brûlante instantanément, ne dure pas.

Sa main remonte ensuite vers mes seins, les malaxe durement.

Il me pince sévèrement mes tétons jusqu'à m'arracher un gémissement de douleur...

 

 

 

 

 

" on en a pas fini avec elle " intervient Yves à ce moment là.

Jérome le regarde avec un petit sourire en coin, et s'écarte de moi malgré mon regard désespéré en lui disant " la fille est à vous ".

 

 

 

Christophe, le grand au regard froid ajoute alors :

" c'est pas le tout d'être dilatée ma jolie, mais il faut que tu apprennes à être conforme aux attente de ton maitre : tu dois pouvoir t'ouvrir s'il souhaite te prendre le cul, mais tu dois aussi savoir te serrer autour de sa queue s'il a envie d'éprouver plus de sensations... Voyons de quoi tu es capable de ce coté là ".

 

 

 

 

 

 

 

Les hommes et la femme  me ramènent sur la table mais sans m'entraver, et enfin m'enlève les godes qu'ils ont enfoncé en moi entre mes cuisses et entre mes fesses.

 

Une traction sur la laisse m'invite à me relever, ce que je fais avec soulagement et bien plus facilement sans les godes que précédemment.

 

Christophe me plaque ensuite un peu plus loin, debout contre l'un des murs ou se trouve des attaches qui lui permettent de rapidement me lier les poignets bien écartés. Je suis écartelée entre deux points d'attache, les bras à l'horizontale, et avec un petit rire, il tend mes liens au maximum. Puis il me fixe une barre d'écartement autour des chevilles, écartement maximal aussi.

 

 

 

 

Je suis quasiment écartelée en croix...

Alors commence un petit jeu diabolique : mon toryionnaire m'insère un plug dans le vagin qui me dilate fortement , et y suspend un poids au bout d'une chaine.

Inutile de dire que mouillée comme je suis de mon foutre et encore dilatée par mes précédentes intromissions, je baisse les jambes pour éviter de laisser la charge douloureuse suspendue...

" Redresse toi. le poids doit être dans le vite. Sinon gare à toi " dit Christophe d'un ton menaçant, en levant sa badine.

 
Je sais qu'il ne plaisante pas.

Je tente désespérément de lutter contre la souffrance que m'occasionne les lèvres fortement étirée de ma fente à cause de cet instrument de torture.

 

 

 

 

 

Au moment où je n'en peux plus... Clac ! Le fouet s'abat inexorablement sur mon ventre, mes seins, mes fesse...

Chaque coups terrible m'arrache des cris de douleur incontrôlables qui font ricanner les autres...

Il y va de bon cœur, ce salaud !.

" Petite chienne, tu vas travailler oui ? "

" oui Maitre... " ...

J'arrive à peine à articuler.

Il appuie sur le poids qui étire encore les lèvres de mon sexe.

Il va finir par me déchirer !

J'ai trops peur !

Il recommence à me taper...

Je termine la série de coups en hurlant, les larmes aux yeux.

Mon corps, surtout à l'endroit de mes intimités féminines, est zébré de marques écarlates.

 

 

 

 

 

 

Il recommence encore.

Je ferme les yeux et me concentre de toutes mes forces...

Le poids balance au rythme des coups accentuant davantage la douleur atroce...

Un petit rire sadique de contentement et je sens mon tortionnaire s'approcher et me caresser le clitoris.

Il le fait rouler entre ses doigts, le griffe, m'arrachant des gémissements de bête blessée.

Je sais que ce n'est pas pour mon plaisir : c'est juste une petite manœuvre sadique pour me faire mouiller et déclencher la chute de l'objet qui glisserait de mon sexe à cause de ma mouille.

Je ne cède pas, contractant mes muscles vaginaux au maximum.

Pour ne pas être punie encore.

 

 

 

 

Christophe arrête alors sa diabolique caresse et me rajoute du poids.

Je sens de nouveau le gros plug glisser, sortir de mon orifice de femme... Il tombe.

 

 

 

 

 

 

 

"Décidément, quelle idiote " fait-il satisfait de sa manœuvre.

Tu es bonne pour 20 coups ".

Qu'il me distribue en rafale.

J'ai le souffle coupé, mais écartelée comme je le suis, je ne peux rien éviter, je ne peux que hurler.

 

 

 

 

 

 

 

" allez petite chienne, recommence ".
Il ramasse de nouveau le plug, et me le remet.

Il l'enfonce brutalement jusqu'u fond de mon ventre à me faire hurler.

Les coups ont du me sécher le vgin , car cette fois-ci j'arrive à tenir lengin en moi.

Il me regarde et me dis " nous revenons tout à l'heure, gare à toi s'il est retombé ".

 

 

 

 

 

 

 

Seule, nue, attachée, en mauvaise posture, je ne pense qu'à ça...

J'ignore combien de temps dure mon supplice, mais je finis avec soulagement par voir revenir, non pas Christophe qui me terrorise vraiment par sa brutalité, mais un autre homme que je ne connais pas.

L'inconnu accompagné d'une soumise, qu'il mène en laisse et qui le suit respectueusement, les yeux au sol.

La jeune femme apeurée a les mains liées derrière le dos.

 

 

 

 

 

 

Il me délivre du plug et du poids, mais pas de mes liens.

 
" a genoux et caresse-la " ordonne-t-il à la soumise, une jolie blonde d'environ 25 ans, en me désignant.

 
La fille s'exécute sans discuter.

Je sens sa bouche se poser sur mon sexe, sa langue s'immiscer autour de mon clitoris.

Mon bouton d'amour ne tarde pas à gonfler sous ses caresses, étrangement douces, après tous les sévices que j'ai subi ce matin...

 

 

 

 

 

 

 

La fille me lèche avec application, descends vers mon vagin, arrive à y rentrer un bout de langue...

Je gémis de plus en plus fort.

Elle revient sur mon clitoris, me l'aspire, joue avec entre ses dents et sa langue.

Je me tords de plaisir. Les sensations deviennent de plus en plus intenses. J'ai les yeux fermés de bonheur.

Quand soudain je sens une main se poser sur mes seins : une main d'homme.

Denis me caresse la poitrine, me titille les bouts, déjà durcis par le plaisir...

Et brutalement une douleur fulgurante : il vient de serrer une pince sur un mamellon et je crie de surprise autant que de souffrance.

 

 

 

 

La deuxième pince sur mon autre téton me prend moins au dépourvu mais la douleur se mélange au plaisir, se liant en une confusion des sens totalement perverse.

 

La soumise accélère ses caresses à l'intérieur de mon sexe.

Denis qui sent monter mon plaisir m'attrape à la gorge et me plaque énergiquement au mur en m'ordonnant " va y maintenant chienne ".

 Je jouis avec brutalité, parcourue par une onde sauvage qui se répercute dans tout mon corps.

Une extase sauvage amplifiée par la sensation opposée de ses mains brutales posées sur moi, de la douceur de la langue de la soumise, et de la douleur des pinces accrochées à mes tétons rendus hyper-sensibles par l'excitation.


La soumise se relève et Denis l'accroche négligemment un peu plus loin, comme un chien au piquet.

Puis il me retire mes pinces, m'occasionnant une dernière fulgurante douleur lorsque le sang recommence à circuler.

 

" C'est bien, maintenant que tu as le vagin resserré, tu es prête pour la suite ".

Ca ne s'arrêtera jamais ?

Je suis là depuis moins de 24 heures et je l'ignore encore mais le pire est à venir...

En attendant, je prends la direction d'une cage d'environ un mètre cube, ou Denis m'enferme négligemment avant de venir me glisser une assiette de nourriture.

Il me dit au passage " t'as intérêt à manger, l'après-midi va être longue ".

 Je sais que je vais être torturée et violée par eux et pas des inconnus...

Je réussi à voir sa montre : elle indique 14 heures... Que vont-ils encore me faire subir jusqu'à demain soir ?!