Nous sommes assistantes sociales et nous nous rendons chez des personnes qui ont sollicité une aide financière.

Nous avons l'habitude d'aller chez les gens pour faire une enquète afin de savoir s'ils peuvent prétrendre à l'aide financière qu'ils ont demandés.

Quelques questions, une petite visite dans leur logement et nous décidons s'ils peuvent l'obtenir ou non.

Et puis nous rentrerons tranquillement dans notre bureau avec notre chauffeur sans trop nous fatiguer.

Mais cette fois sur place tout dégénère rapidement.

Ils sont bien cinq ou six à nous jeter à terre à peine sorties de voiture.

Ces monstres lient le chauffeur sur une chaise et arrachent nos vêtements en riant de nos protestations, de nos cris horrifiés.

Sentir leurs mains sur nos corps, sentir nos intimité de jeunes femmes fiévreusement fouillées, c'est trop horrible !

Je suis obligé de prendre ces sexes dans ma bouche. Les pines durcies coulissent jusqu'au fond de ma gorge, me faisant presque vomir...

Nous sommes attachées avec de grosses cordes qui nous serrent douloureusement...

Mon Dieu !

Il me sodomise. c'est tellement humiliant et douloureux !

C'est la première fois que l'on me pénètre par là !

Je la sents bien aller et venir dans mon conduit anal...

Ils m'obligent à faire ça avec notre collègue qu'ils contraigent à tout regarder...

Et pendant ce temps, un autre me prend par derrière...

Mon vagin s'ouvre démeusurément en se dilatant comme je n'aurais pas cru possible.

La main entière disparait dans mon intimité féminine, fouille sans précaution dans mon ventre...

Maintenant ils sont à plusieurs en même temps à me violenter et me baiser comme une moins que rien.

Je ne maîtrise plus rien. Je ne m'appartiens plus.

Mais pourtquoi est-ce que j'érprouve une forme de plaisir incontrôlable ?

Je suis tellement honteuse et mon corps est parcouru d'ondes formidablement magnifiques !

Ma collègue subit aussi les assauts sexuels de nos agresseurs déchainés.

Pendant qu'ils la sautent sauvagement, ils l'obligent à des actes ignobles contre moi

On va leur donner sans problème l'aide financière qu'ils ont demandé.

Je ne crois pas que ma collègue et moi reviendrons les contrôler de sitôt.

Méme si sans nous l'avouer, nous ne regerettons pas ce qu'il nous est arrivées...